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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0218
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LE OHELOT

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PRIME GRATUITE

Toute personne de la province qui «'abon-
nera h un des journaux ci-après, par l'entre-
mise de M. Madré, directeur-gérant du Grelot,
77, rue Neuve-des-Petits-Champs, à Paris,
aura droit à un abonnement gratuit au jour-
nal le GRELOT, savoir :

Poux an abonnement d'un an : s mois an GRELOT.

— — de ni mois : 3 moi» —

— — de troii — i 1 moii l/i —

L'abonnement à plusieurs journaux dou-
blera, triplera la durée de l'envoi gratuit du
GRJSLOT,

Bien public.........

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Rappel.............

République française
Revue des Dkux-Mow>s^

Siècle..............

Soir................

Temps ..............

Tribune.............

Univers.............

Oîmon...............

Les prix qui précèdent sont, bien entendu,
les prix fixés par les administrations de cha-
cun de ces journaux.

LA SEMAINE

Dieu! que j'aime
Les ministères!
J'aime les ministères,
faime\... etc.

Dans la Grande-Duchesse il y a : militaires.

Mais M. Jules Simon qui adore la musique
d'Offenbach, a substitué ministères k militaires.

Et le revoilà à nouveau en possession de
son petit portefeuille.

Nous en sommes très»heureux pour lui.

Mais nous voudrions bien l'être un peupour
nous.

Nousvoudrions bien, par exemple, que l'on
pût s'apercevoir, aux façons d'agir de la cen-
sure des dessins, que nous sommes en Répu-
blique et non plus sous le régime tant regretté
de M. Gallonid'Istria.

Nos lecteurs se feraient difficilement une
idée des petites misères qu'on nous fait.

Allons, monsieur Jules Simun, un peu de
vrai libéralisme.

Souvenez-vous que vous ête3 profondément
républicain!

C'est vous qui l'avez dit!

Et veillez à ce que les ciseaux de vos em-
ployés soient un peu moins affilés.

Enfin, donnez-nous nos étrennes.

Çà vous coûtera si peul

Ét nous fera tant de bien!

*

* •

Les bons pères jésuites de toutes les robes,
— courtes et longues — sont en ce moajent
dans le plus épouvantable marasme.

Un de leurs plus fervents adhérents, un per-
sonnage officiel, un homme bien pensant, vient
«l'être saisi aux Champs-Elysées, en flagrant
délit de conversation criminelle avec un...
ancien forçat.

Drôle de goût, n'est-ce pas?

Ça été aussi l'avis des agents des mœurs
qui ont pincé le digne homme et l'ont fourré
à Mazas en attendant que la justice ait tiré la
chose au clair.

Qui est-ce qui a l'oreille basse?

Ce sont les tons pères.

Je sais bien que tous ces gens-là ne sont
amais embarrassés.

Ils vont faire jouer tous les ressorts imagi-
nables pour étouffer l'affaire.

Mais je les en préviens charitablement :

Çà ne sera pas facile!

Et si leur client est coupable, — ce dont
je dois douter encore, tant que l'instruction
n'a pas dit son dernier mot —je le vois dans
d'assez vilains draps.

Fil le vilain malpropre!

*

« «

Inauguration à Aix delà statue de Mirabeau.

Vous;pensezbien que cette cérémonie a fait
quelque peu glapir les feuilles réactionnaires
n'est-ce pas?

Glorifier le tribun qui a si vigoureusement
démoli le rempart des vieilles bastilles féo-
dales, parait à ces messieurs d'une audace lé-
gèrement pommée.

Aussi il faut voir quelles blagues sur tonte
la ligne.

Et quelles spirituelles plaisanteries!
Non! je ne comprends pas, quand on pos-
sède tant d'esprit, qu'on ait si peu d'abonnés.

Vous croyiez peut-être maintenant.

1° Que nous avons un ministère.

2° Que la question d'Orient semble entrer
dans la voie pacifique.

Vous croyiez peut-être que nousallionspou-
voir être un peu tranquilles et distribuer en
paix les bûches de Noël et les marrons glacés
du jour de l'an?

Ali bien, ouiche!

Vous comptiez sans le Sénat.

Il paraît que la chambre haute n'est pas
contente;

Et qu'elle veut rétablir tout ce que la
chambre basse a flanqué par terre.

Nos sénateurs se sentent pris d'une tendresse
ineffable pour les sous-préfets de Sceaux et
de Saint-Denis ;

Les aumôniers militaires leur semblent
pleins d'intérêt et les cbanoinesdeSaint-Denis
leur tirent les larmes des yeux.

Donc, sous-préfets, aumôniers et chanoines,
ils ne songent qu'à une chose, e'est à en ra-
masser les morceaux.

De là, conflit probable avec les petits cama-
rades de l'Assemblée,

Eh bien, franchement, si çà doit toujours
durer comme çà!

Allons, voyons, messieurs, songez un peu
à ceux qui vous ont envoyés où vous êtes t

Faites un peu leurs affaires avant de faire
les vôtres.

Et pas d'amour-propre !

Mon Dieu, nous savons que vous êtes de
braves gens;

Nous voudrions être aussi sûrs que vous
êtes de bons patriotes.

11 serait question, paralt-il, de supprimer le
service des femmes dans certaines brasseries
de Paris.

Là-dessus grande jubilation dans le camp
des Prudhommes du journalisme.

« Ahl... enfin I... bravo!.;, très-bien!...
admirable!... la morale... la société 1... les
pères de famille!... bravo!... braVi!...
brava !... »

Eh bien, vrai, voulez-vous savoir mon opi-
nion?

Je trouverais cela fort hôte et surtout fort
inutile.

Vous figurez-vous, par hasard, nsïfs pro-
vinciaux, que parce que, monsieur votre fils
sera servi par un grand benêt en culottes au
lieu de l'être par une jeune fille en jupons, il
en sera beaucoup plus préservé de la tenta-
tion ?

Allons donc !

Il faudrait à ce compte, fermer tous les bals
de la rive gauche,à commencer par Bullier et
tous les cafés-concerts, à commencer par le
fameux Beuglant.

(Je suppose que cet intéressant établisse-
ment existe toujours. Le contraire serait
déplorable.)

Et puis les femmes ont-elles donc tant de
moyens de gagner leur vie?

Je sais bien... mon Dieu, je sais bien que
la plupart de ces Hébés du bock et de l'ab-
sinthe ne vivent pas précisément de leurs
pourboires. Mais, à ce compte, est-ce qne les
actrices, les modistes, les couturières, les
blanchisseuses, etc.,etc., n'eu sont pas toutes
un peu là, hélas t

Toujours est-il que ces demoiselles sont
libres de se bien ou mal conduire, à leur gré,
eh bien, il me semble que du moment où le
scandale n'est pas public, on aurait tort d'em-
pêcher ces pauvres filles, de gagner leur via
en distribuant des petits verres, pendant
qu'on en autorise d'autres à plumer des pi-
geons en hurlant des insanités ou en mon-
trant aux fauteuils d'orchestres de certains
théâtres les beautés qu'elles doivent à mes-
dames leurs mamans.

Qu'on surveille tout ce petit monde-là,

Bien.

Qu'on le renvoie faire d'autres métiers
moins avouables,

Non. .

Quant à espérer, en chassant ces aimables
enfants du Bas-Rhin, du Midicis, amener les
étudiants à mériter le prix de vertu...

Ah ! elle est bien bonne, celle-là ! I

NICOLAS FLAMMÈCHE.

LES CAQUETS DE PICHENETTE

LE CHEMIN DE FEff DE CEINTURE.

Bien des personnes ont été vivement et pénible-
ment surprises en entendant faire un v«u,au Conseil
général de la Seine, pour qu'il fût établi une caisse
ne retraite en faveur des employés du Chemin de fer
de ceinture.

On nous demandé si cette Compagnie est dans un
tel état de détresse qu'elle ne puisse assurer un mor-
ceau de pain à ses employés, quand ils « sont hors
de service. »

Et cela semble d'autant plus extraordinaire que
partout où il existe des fonds de retraite, ces retraites
sont constituées par des retenues faites sur les
appointements des employés.

Voici quelques renseignements sommaires que
nous avons recueillis à ce sujet.

Le Chemin de fer rie ceinture est le plus riche de
tous les Chemins de fer, puisqu'il l'ait les plus fortes
recettes kilométriques.

Il appartient à un syndicat composé des quatre
Compagnies : le Nord, le Lyon, l'Orléans et l'Est.

L'Ouest a son tronçon à part et ne veut pas fusion-
ner. Je comprends ça.

+

— Mais, riisais-je, comment cette caisse ne fonc-
tionne-t-elle pas comme dans les autres Compagnies,
qui passent pour être équitahlement administrées à
l'égard de leurs employés T

— Ah ! rn'a-t-il été répondu, il y a comme direc-
teur rie ce Chemin un homme qui ne fait pas les choses
à la légère ; il y a déjà longtemps qu'il médite sur ce
sujet, et l'on espère qu'avant la fin du siècle il aura
trouvé une combinaison phénoménale qui lera l'admi-
ration rie toutes les entreprises rie voies ferrées.

Eu attendant, braves employés, vivez rie vos mai-
gres appointements et <l'esperancc : e'est une nourri-
ture qui ne vous donnera pas d'indigestion.

la jeunesse d'un roi très-chrétien.

Je veux parler de Charles X quand il était comte
d'Artois.

Ce personnage avait dans sa jeunesse ries allures
quelque peu canailles.

On sait — ou on ne sait pas — qu'il ne se conten-
tait pas des filles de l'Opéra, mais qu'il aimait aussi
beaucoup ces maisons que la pudeur empêche de
nommer.

Laissons ces détails qui pourraient nous mener un
peu loin.

Le comte d'Artois avait aussi une passion pour le
jeu rie paume, et ne dédaignait pas de faire sa partie
dans les salles où tout le inonde était admis.

Un jour que la galerie critiquait un de ses coups,
il s'écria dans ce langage exquis qui lui était fami-
lier:

— Qu'on f.... tous èes bougres et ces jean-f.....à

la porte !

Un officier, n'obtempérant pas à un ordre si gra-
cieusement donné, son altesse lui cria :

— Est-ce que vous n'avez pas entendu ce que j'ai
dit?

— Pardon, mon seigneur; mais comme je ne suis

ni un bougre, ni un jean-f....., je n'ai pas pensé que

cela s'adressait 1 mot.

-f

Ce fut à cette époque qu'il apprit à danser sur la
corde; il y acquit même une certaine force: on dit
que Marie Antoinette en était émerveillée.

C'est ainsi que ce futur roi de France — par la
grâce rie Dieu... et des baïonnettes étrangères —
apprenait l'art de gouverner une grande nation.

+

Je ne sais pas si je me trompe, mais je crois qu'il
eût mieux fait — quand il était en exil — de gagner
son pain avec ses talents d'acrobate que de le devoir
à l'aumône de l'Angleterre.

Et plus tard, quand il fut roi, quelle joie pour le
peuple de voir soti monarque faire assaut d'agilité et
de souplesse sut la corde raide avec Mine Saqui !

Mon Dieu ! mon Dieu ! que j'aurais voulu voir ça.

+

Il est temps, je crois d'aborder la note gaie.
Un farceur voyant un paysau marcher jambes nues
et voulant le railler, lui dit :

— Mon ami, quand les bas que tu portes seront
usés, viens nie trouver, je t'en donnerai d'autres.

Le paysan, sans s'émouvoir, lui répond :

— Monsieur, il y a longtemps qu'ils me servent, et
ils ne sont pas près d'être usés ; l'étofle en est si
bonne, qu'il y a plus rie trente ans que, je porte la cu-
lotte pareillt et il n'y a encore qu'un trou. Voulez-
vous le Voir t...

PICHENETTE.

TOUT DÉGÉNÈRE!!.

Malgré tous les dithyr âmbes que l'on en-
tame en faveur du progrès, il est, selon moi,
évident que nous dégénérons.

Les caractères s'amollissent,

Les alcools diminuent de force,

Le caoutchouc perd beaucoup de son élas-
ticité,

Les cuirs et les tissus sont de bien moindre
qualité,

Les pruniers ne produisent guère plus que
moitié de mirabelles de ce qu'ils en don-
naient il y a trente ans,

La fidélité conjugale devient aussi rare que
les acquittements de journaux républicains en
correctionnelle,

La générosité est bannie presque entière-
ment du cœur des hommes : on ne la retrouve
plus guère dans son ancienne grandeur que
chez 1er. princes d'Orléans,

Enfin, tout diminue, s'amollit, s'amoindrit,
baisse, se rapetisse, dégénère.

Cette dégénérescence, — sur laquelle le
Grelot verse de temps en temps quelques
pleurs, et qu'il combat avec l'énergie que
l'honorable directeur de l'Odéon met à refuser
une pièce k un jeune auteur, — n'atteint pas
seulement les choses humaines.

Comme un cancer dévorant, elle est visible
même dans les choses d'essence divine, sur
lesquelles il semblerait qu'elle né peut avoir
aucune prise.

Il est certain que les miracles ne sont plus
ce qu'ils élaient autrefois.

Et c'est là, selon moi» un grave indice qui
nous montre clairement que le monde s'en va,
et que dans quelques années d'ici, il ne sera
même plus capable de produire des hommes
de talent comme J.-B. Loustalot, Chesne'ong,
Bauriry d'As^on; Tristan Lambert, de G.isté et
d'aussi admirables inventions que le Cri-Cri.



—o—

Ainsi, nous sommes loin du temps où on
ressuscitait les morts, et où les saints ramas-
saient la tête qu'on venait de leur couper, et
s'en alla'ent, l'emportant sons le bras, vaquer
à leurs pctiles occupations quotidiennes, sans
que cette amputation leur produisit d'autre
effet que de leur inspirer cette réflexion :

— a Tiens, je n'aurai pas besoin oc passer
chez mon chapelier, ça m'évitera trois sous
d'omnibus, s

Maintenant, l'arf dt tuer les gens a fait tant
de progrès que ces phénomènes deviennent
absolument introuvables.

Et nous n'avons plus, pour nous consolei
de leur disparition, que quelques gigotte-
ments produits chez un paralytique à moitié
mort, par l'aspersion de quelques gouttes
d'eau venant d'une source près de laquelle la
Vierge a dit quelques mots d'un français plus
que oouteux.

On guérit bien encore les maladie?,

Mais pour les morts, c'est bien fini, ils ne
doivent espérer revoir la lumière du jour
qu'au jugement dernier.

Ce qui indique, sans aucun doute une grave
infériorité vis-à-vis de nos ancêtres pour les-
quels, remettre la femme coupée en morceaux
en parfait état de santé, eût été aussi simple
qu'un électeur bonapartiste.

Avec celle franchise inamovible, qui est le
seul point que mon caractère ait de commun
avec celui de M. Rouher, je n'hésite pas à dé-
clarer que tous les éloges que l'on décerne
aux chirurgiens pour les progrès qu'ils ont
faits dans l'art de charcuter leurs semblables
me semblent complètement immérités. '

On faisait bien mieux autrefois

Ils enlèvent, en quelques coups de bistouri,
un bras, une jambe, ou une tranche quelconque
du corps d'un êlre... homme, femme... ou
même séminariste.

Ceci est fort bien.

Ils opèrent sans douleur.

Ceci est parfait.

Mais où ils sont d'une faiblesse inouïe, c'est
lorsqu'il s'agit de remplacer ce qu'ils ont en-
levé.

Ils reçourrentaux béquilles, aux jambes en
caoutchouc, aux obturateurs d'argent, etc..

Est-ce assez pauvre, est-ce assez mesquin?...

Du temps des apôtres, cela ne se passait
pas ainsi.

Un juste avait perdu un bras.

Vlan !... un des saints qui étaient alors si
fréquents, lui imposait les mains, et le bras
repoussait comme la queue d'un lézard.

Oserez-vous soutenir que Dnpuytren et Vel-
peau sont autre chose que de la gnognotte, au-
près de celai

—o—

Certes, j'éprouve une profonde admiration
pour les cures pharamineuses qui se produi-
sent à Lourdes, mais je regrette d'être obligé
d'avouer qu'elles n'atteignent pas à la hauteur
de la cheville de celles qui furent faites autre-
fois.

Trouvez-moi donc quelque chose de com-
parable au cas de Tobie recouvrant la vue,
rien qu'en se frottant les yeux avec le foie
d'un gros goujon!...'

Montrez-moi quelqu'un qui puisse rivaliser
avec Jonas, restant trois jours dans le ventre
de la baleine, sans même sortir une seule fois
pour prendre l'air et fumer une cigarette!...

—o —

Dans le temps, on mettait les'martyrs dans
des chaudières pleines d'huile bouil-
lante, et ils n'en étaient pas plus incommodés
qne si on leur avait fait prendre un bain au
mois d'août.

Quand il allait arriver une calamité, il sur-
gissait un prophète, ou quelqu'un de ma/que
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