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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0222
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LÉ &*«LÔÎ

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bieu entendu,
niions de cba-

LA SEMAINE

La politique a été, cette semaine, avanta-
geusement remplacée par la charcuterie.

L'andouiUette et le boudin ont triomphé sur
toute la ligue.

Si vous rencontriez un député et que vous
lui disiez :

— Eh bien, voyons, et cette petite commis-
sion?... comment va-t-elle? travaillez-vous
beaucoup?

— Ah! re m'en parlez pas! vous répon-
dait-il, j'ai trois réveillons sur la planche et
je ne sais auquel aller. Le premier, chez mon
propriétaire ; le second chez un de mes élec-
teurs influents, venu tout exprès à Paris; elle
troisième chez la petite Brascarobille. Je
crois que je me déciderai pour celui-là... elle,
est si droit!... mais ne le dites pas a ma
femme, hein?

Même dialogue avec le sénateur.

Que diable voulez-vous que fassent les pau-
vras journalistes en présence de ce marasme
parlementaire.

• Je sais bien qu'il nous reste la question
d'Orient !

Cette fameuse question d'Orient!

A ce propos, j'en ai vu une bien bonne dans
les journaux, cette semaine.

J'ai lu la Constitution que le sultan daigne
octroyer à ses sujets pour leurs étrennes.

Non!... ce que je me suis tordu!

On ne se f. ..iche pas du monde plus carré-
ment que çà.

Et du monde diplomatique encore!

Quel toupet! mes enfants, queltoupetl

Prendre la première Constitution venue,
celle de la Belgique, par exemple, la traduire
en turc et la proclamer sérieusement avec ac-
compagnement de coups de canon, quand on
sait paifailement que le premier article en
est radicalement impraticable!... ah! ma pa-
role, je ne saurais trop le lépéttr :

Quel toupet, mes enfants, quel toupet!

Qu'il faut peu de chose à Pars pour devenir
célèbre, mon Dieu!

Et je parle, non pas seulement pour les

hommes, mais pour les choses, les plus hum-
blement placées sur l'échelle sociale.

Ainsi, par exemple, voilà l'urinoir dfttis Ie-
gnel l'infortuné M. de Germiny est allô médi-
ter. Et

Certes, rien ne recommandai!, ce modeste
et utile monument à l'attention des popula-
tions. .

Perdu dans son massif d'arbustes, csitime
la violette, il se contentait de rendre d'indis-
cutables services à l'humanité.

Dp là, à unfc célébrité quelconque, il y avait
un abîme!

Eh bien, rrac!

Voilà M. de Germiny qui passe!... comme
le tramway.

M. de Germiny entredans ce simple Rambu-
teau,

h y séjourne. ..: ^vscJH^jjft*/

Cela se dit, se répète et voilà mon Rambu-
teau légendaire !

Et pendant toute la journée de dimanche
dernier, la foule la plus compacte n'a cessé
d'inonder les portiques de ce monument salu-
taire.

Dira-t-on que c'est par'le fait d'une curlô-

sité malsaine? 1ir0ri- ,........,, „ ,„„ „ -,m^m

Non.

Sachons reconnaître dans cette action, si
simple en apparence, un juste hommage
rendu à la célébrité.

Désormais le Guide de l'étranger dans Paris
contiendra, au chapi re des curiosités de la
capitale, la meniion suivante, ajoutée en ma-
nière de supplément :

IN. B. Recommandation à MM, les étrangers.

«Ne pas manquerd'aller vi.siterauxChamps-
E ysées tout près du café des Ambassadeurs,
un Ramhuieau à jamais illustre de par la cu-
riosité un peu vive de M. de Germiny, mem-
bre du conseil municipal de Paris et. président
de nombreuses sociétés religeuses. »

Ça n'est pas plus difficile que ça de se faire
un nom

L'imbécillilé parisienne ne saura décidé-
ment jamais se maintenir dans de justes bor-
nes.

Ncus avions déjà VAmant d'Amanda,

Ce qui était déjà bien joli!

Eh bien, l'Amanï d'Amanda est en traîH de
faire un plongeon, détrôné par la chanson du
tramway.

a Vlà le tramway qui passe l »

Ici, on imite le cornet des conducteurs, et
la foule enthousiasmée ne sait plus contenir
son délire.

Ce que cette mélodie fait foreur!...

Ah! Parisiens, mes frères, laissez-moi vous
dire que si le ramollissement disparaissait uu
jour de la surface de la terre, — ce qui n'est
pas probable,—on le retrouverait dans vos
murs.

Ce qui est toujours une consolation!

Sur ce, chers lecteurs, permettez-moi de
vous la souhaiter bonne et heureuse, accom-
pagnée de plusieurs autres (Formule bien c n-
nue, mais toujours touchante).

Et de me dire IsÉfek. '%-'*'

Votre bien dévoué,

NICOLAS FLAMMECHE.

FEUILLES AU VEUT

Les musées sont des institutions excellentes.

Et, en France, ils nous font honneur. ;

Ils sont accessibles à tout le monde.

Il ne faut pas payer vingt sous, comme"- elle/, ces
voleurs de. belges, pour voir chez nous le portrait du
bon Dieu.

S'il est peint par Van Dyck,

pour parler comme le maître.

De plus, on n'a pas chez nous, comme à Londres,
l'ingénieuse idée de fermer les collections de tableaux
et de statues les dimanches et jours de fêtes;

De sorte que le peuple de Paris qui ne étache pas
sur les arts, peut chaque semaine s'ea payer une
tranche de longueur.

Je sais bien qu'il y a des abus;

Qu'on laisse moisir dans les greniers des toiles de
maîtres qu'on ferait bien mieux de loger darls les ap-
partements du Louvre, que les lonctinnnaiies qui y

font leur nid; jStp

Qne sous les gouvernements « forts » les Chambel -
lans, les porte-cotons et les porte-cuvettes décorent
leurs tabagies et leurs salons de billard Avec des ta-
bleaux achetés à beaux deniers comptants par les
contribuables.

Et que sous l'Empire, il est arrivé à.tfti carembo-
leur malheureux d envoyer dans un Mùrillo ou un
Léonard de Vinci — je ne me rappelé plus lequel des
deux, — mie bdle qui y fit un de. ces trous comme
du Vemois sait en faire» la lune.
Mais que voulez-vou? ?

Tout dans ce monde à ses petits inconvénients, —
même les pantalons à pont, comme dirait M. de Ger-
miny.

Par conséquent, notre conseiller municipal M. Louis
Gotnbes a eu une excellente idée de demander qu'on
créât un muée nouveau, le musée révolutionnaire,
où I on mît les reliques de nos vieilles révolutions.

Je douté néanmoins qu'on lui laisse mener à bien
sou projet:

Si l'on mettait, en effet, dans ce musée certains
serments de 1 s30, et certaines professions d e foi de
1*48, on rencontrerait trop de gens dans les rues
dont le nez ferait, trouver enfantine la trompe de l'é-
léphant du jardin des plantes :

Mais qu'ils ne craignent rien pour leurs narines ni
même pour leurs oreilles; le rêve de M. Louis Combes
ne se réalisera pas.

Il ne se réalisera pas, car j'ai la conviction qu'un
homme de bon sen, et de prévoyance, tout, en recon-
naissant l'intention généreuse et la banteur du projet,
fera au conseil municipal la réllexion suivante :

« Les propriétaires de collections particulières in-
téressant, les époques révolutionnaires se connaissent
entre,eijjx; ils admettent, facilement les curieux dans
Icitrs eaoin&ts, etjes raeominéndent à leurs confrères.
Ce'son l pou* la plupart, des républicains ; et par con-
séquent, ces collections ne sauraient se trouver mieux
qu'en leurs mains: les document! qu'ils possèdent
sont, conservés par eux précieusement, et sont assurés
d'une longue vie.

« Faites un musée, au contraire, où viendraient
allluer les dons, et auquel on affectera un budget an-
nuel, — ce sera sans doute fort commode et tort agréa-
ble pour les chercheurs, et très-intéressant pour le
pub ic.

o Mais supposez tout est supposable, — qu'un de
ces matins un gouvernement quelconque vienne à
succéder au « provisoire perpétuel », il trouvera là,
rassemblées une foule de pièces pouvant servir à f<iire
l'histoire véridique des défaites du peuple; aussi met-
tra-t-il avec enthousiasme la main dessus et les fera
disparaître, avec le même soin que si c'étaient des
couverls d'argents...

« Car si le gouvernement de la république telle
quelle dont nous jouissons, a eu l'h nnêteté, en dis-
solvant le musée des souverains de rendre aux dona-
taires les présents que l'Etat en avait reçus.

« Il est certain, qu'un Badinguet, par exemple,
ayant le pou>oir en main ne manquerait pas de flan-
quer au IVu tout ce qui le gênerait.

« E-sâyez fin peu, pour voir, d'aller demander aux
archives le dossier de I affaire Malet ou celui des tri-
omphantes expéditions île Mrasbouig et de Boulogne.

« Kt vous verrez ce qu'il en reste i »

Voilà ce que quelqu'un dira, sans doute, au con-
seil municipal,

Ht ce que j'y dirais moi, si j'avais l'honneur d'en
être.

Du reste, le Conseil municipal aura-t-il le temps
de s'occuper du mutée révolutionnaire?

Pauvre Conseil ! il a tant d'ouvrage ! il est en proie
à tant de soucis. j

Ne le voilà-f-il pas actuellement plongé dans un
projet d'urinoirs lumineux.

Ou croirait à mie féerie du Chàtelet.

Il paraît que cette bagatelle ne coûtera pas moins
de huit cent mille francs,

Et on se demande si c'est la Ville elle-même qui a
gagné tout les gros lots au dernier tirage de ses obli-
gations pour se permettre des fantaisies de cette es-
pèce.

Il est vrai que quand on a des collègues surpris par
la police des mœurs dans la plus obscure des ves-
pasiennes.

Çà jette un mauvais vernis sur un corps,

Et on tient, à ce qu'il y ait au moins un lampion

dans les o endroits écartés » auxquels ne songeait

pas le misanthrope.

Défait,

S il y avait eu seulement une bougie,

Les agents des mœurs n'auraient pas commis l'é-
pouvantable bévue qui égaie en ce moment toute l'Ku-
rope.

On sait, en effet, qu'il n'y a là qu'une bévue de
leur part, tous les Jésuites l'assurent, et ils ne im n-
tent jamais, comme on le voit :

Un bout de rat-de-cave leur eût démontré clair
comme le jour que M. de Germiny « étudiait ».

Oui!

C'est son moyen de défense, à cet homme.
Il étudiait !II

C'était, dans l'intérêt des mœurs, qu'il inspectait à
à une heure du matin l'intérieur des vespasiennes des
Champs-Elysées

Ce n'est donc pas ce que vous pensez :

C'est un moraliste !

0 perversité des hommes qui osent accuser cette
brebis !

* *

Il y a des pays qui se poussent un col,
Mais un col tel que ceux de la haute-gomme ont
l'air rudimenlaire à côté 1

Or de tous les pays qui se poussent le col en ques-
tion,

H n'y en a aucun qui soit à la hauteur delà Bel-
gique.

kavez-vous, en effet, ce qu'elle raconte en ce mo-
ment cette Belgique qui a donné naissance au pro-
verbe si connu : Belge comme une oie ?

Elle raconte qu'on voudrait bien lui faire des mi-
sères,

Et lui faire occuper, la Bulgarie.
Bégueule, va !

*

* *

Je me rappelle que sous l'empire, après la guerre

de Crimée, les Lillois étaient subitement devenus

très-braves.

Et. qu'on agita dans un cercle de fabricants de ro-
binets à musique et de marchands de fil à couper le
beurre la question de savoir.

Si on n'enverrait pas le garde champêtre de Bouchin

— pays célèbre dans tout, le Nord pour ses hannetons,

— afin d'annexer la Belgique à la commune des
Moulins qni faisait, partie de la banlieue de Lille.

Et je me de.nande encore pourquoi on ne mit pas
ce projet à exécution, car à ce moment là personne
certainement ne nous en aurait empêchés.

«

* *

Personne, pas même les Belges.

Car il suffit de passer la frontière pour voir que les
soldats Belges sont, d'excellents joueurs de boules

Mais qu'à côté d'eux, la feiu ne colosse de la foire
de Saint-i.loud qui n'ose pas remuer un doigt de peur
que son poids ne diminue est un prodige de souplesse
et d'agilité !

Brave Belgique !

Je la vois occupant la Bulgarie!

Ah ! elle a autre chose à faire que çà, savez-vous ?

Et elle a de (dus grandes préoccupations qui résu-
ment ce qu'on appelle dans le Nord les trois souhaits
du flamand.

Ces trois souhaits du flamand, les voici :

On lui dit :

— Si vous pouviez faire trois souhaits, que souhai-
teriez-vous?

Il réfléchit un instant ; puis il finit par dire :

— D'abord je voudrais avoir autant de bière que
j'en pourrais boire.

— Bon, lui dit son interlocuteur,... Et puis..

— Puis, je voudrais avoir autant de beurre' que
j en pourrais en manger.

— Parfait... Kt j>uis... quelle est la troisième chose
que vous souhaitern z !

Mon flamand lélléebit longtemps.
Puis, à la lin :

— Ma loi. dit-il, j'ai beau penser, savez-vous !..
root bien réfléchi, je voudrais avoir un peu plus de
bière que je pourrais en boire et un peu plus de beurre
que j'en pourrais manger....

* *

Un bohème qui n'avait jamais connu les pièces de
vingt francs que par les récits des romans, fut un
lour mené par un ami dans une f <rge de batteurs
d or, je ne sais trop par quel hasard il regarda curieu-
sement les forgerons, et à la fin, fort intrigué.

— Qu'est-ce que c'est qu'ils frappent ainsi! de-
mandai il à quelqu'un.

— C'est de l'or; parbleu !

— De l'or? mais qu'est-ce qu'ils lui font!

— Mais vous le voyez, ils le battent.

— Us le battent !.. Ils n'ont doue pas de cœur!

Chez un médecin :

— Qu'est-ce que vous avez, mon garçon ?

— Voilà docteur, je ne dors pas.

— Quelle vie menez-vous?

— Voilà, docteur: je travaille comme un bœuf, je
mange comme un loup, le snirje suis fatigué comme
un chien... Aussi la nuit je no peux [as dormir.

Le docteur, avec bonhomie.
-- Et bien mon ami, alors il faut vous adresser à
un vétérinaire.

BK10AINE.

IL\ DÉFAIT FRÉQIEIXT

Parmi tous les défauts dont la prévoyante
Providence a eu soin de nous gratifier, il en
est un que l'on retrouve chez; presque tous les
échantillonsde !a race humaine, hommes ou
femmes... et même auvergnats :

C'est la disposition naturelle qu'à noire es-
prit à poétiser le passé et l'avenirauëétriment
du présent.

11 nous semble que ce qui se faisailautrefois,
ou ce qui se fera dans quelques centaines
d'années e t plus noble, plus fort, plus géné-
reux, ou plus vil, plus petit, p us ignoble,
mais en tout cas, est plus grand que ce qui
se fait maintenant.

c'est là un défaut dans lequel nous tom-
bons fréquemment, et, puur ma part, j'y ai
barbotté tout à mon aise la semaine dernière
dans l'article intitulé tout dégénère que certains
abonnés du Grelot ont peut être eu le malheur
de lire.

J'exposais dans ces deux cents lignes une
théorie que je croyais vraie alors, mais que
j'ai reconnu fausse depuis.

Mon honnêteté naturelle me force à venir
rétracter aujourd'hui cette erreur, et l'hu-
milité avec laquelle je viens faire amende
honorable devant mes lecteurs, doit leur
donner une haute idée du soin méticuleux
que l'on aj'porte â ia rédaction du Grelot, et
de l'houtiêleté avec laquellt- on épure les
principes que l'on admet à figurer daus ses
colonnes.

—o—

Donc, j'ai en tort de prétendre que les
miracles d'aujourd'hui valaient moins que

ceux d'autrefois.

Une étude plus approfondie m'a démon-
tré que les miracles anciens ne valaient pas
niiiux que ceux d'aujourd'hui.

Je me repens très vivement d'avoir fait à
ces phénomènes une réputation qu'iis ne

l
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