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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 24.1894

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https://doi.org/10.11588/diglit.6804#0078
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LE GRELOT

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LE

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Vie Parisienne ....

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23 » 12 »

M. J. Madré se charge de l'abonnement sans jrais
à tous les autres journaux de Paris.

Adresser les lettres et valeurs au nom de
M. J. MADRE, 5, cité Bergère, a Paris.

Il n'est pas donné suite aux demandes
d'abonnement non accompagnées d'an man-
dat-poste on d'une valeur à vue sur Paris.

GAZETTE DE MONTRETOUT

L'alliance russe et le mariage du
czarCAviich. — L'encrier de finie
Adam. — licbal de Cornélius Hertz.
— Les 3000 francs de Mme Lej-
■uarie. — Le pétomane et *on di-
recteur

S'il y a une chose qui m'amuse, c'est
l'effarement des trente-neuf douzaines et
demie d'idiots quand on leur affirme qu'il
n'y a pas d'alliance russe-française.

Les fiançailles du grand duc Nicolas,
héritier présomptif de la couronne de
Russie, avec la princesse de Hesse, de-
vraient pourtant ouvrir les yeux des
myopes assermentés qui nous gouvernent
au doigt, mais pas à l'œil.

L'affaire du comte d'Aunay, il y a quel-
ques semaines, aurait pourtant du nous
prouver notre inaptitude à comprendre
ce que les privilégiés appellent la « poli-
tique générale ».

La mère de la fiancée actuelle du cza-

rewitch était la seconde fille de Whis-
keytoria. Et vous voulez, ô na'jfs, que
cette jeune fille anglo-allemande, fiancée
à un russe ayant déjà du sang anglais
dans les veines, devienne l'alliée de la
France !

La petite cour de Darmsladt a toujours
été le centre de l'espionnage anti-fran-
çais.

Oh! notre bon Champagne bu à Toulon
et à Paris par les officiers russes! Oh!
nos bons coupons d'obligations conver-
tis en coupons de rente russe convertible
à merci!... Sommes-nous, oh! sommes-
nous assez bébêtes.

L'encrier reçu ces jours-ci par Mme
Adam, envoyé par les dames russes, en
échange des myosotis en argent et autres
bagatelles expédiées par les dames fran-
çaises, il y a ud an, est une des plus jolies
fumisteries du siècle. Les marins, la ma-
rine, les canotiers et les canotières, quelle
bonne blague. Mme Nadejeta Saint-Asfs-
vovna nous dit que l'amour ne se com-
mande pas, qu'il est tout spontané. Où
donc est la spontanéité dans cet échange
de myosotis et d'encrier?

« Rendez l'encrier », Mme Adam, ren-
dez l'encrier 1 comme on disait jadis à
Laboulaye. Rendez-le de peur qu'il n'en
sorte quelque nouvelle bêtise, russe...
mais pas franco pour nos finances.

On convertit déjà pas mal d'obligations.
La seule fois que les russes n'aient pas
menti, c'est quand leur amiral nous a
dit : « Jamais nous ne pourrons nous
acquitter des obligations que nous vous
devons! »

Le Dr Cornélïuz Herz a donné samedi
un grand bal à Bornemouth. Pour un
prisonnier bien gardé, c'est un prisonnier
bien gardé ! Mme Herz a dansé avec un
des sergents de détectives chargés de
garder les abords de Tankerville-Hôtel.
Quant à Cornélius il a fait danser supé-
rieurement l'anse du panier.

Le gouvernement, paraît-ii, compte,
ces jours-ci, demander le retrait de la de-
mande d'extradition, logée à Bow street,
contre le cadavre récalcitrant de Borne-
moulh.

M. Marcel Habert interpellera, le mi-
nistre de la justice arguera, la Chambre
s'inclinera et amen.

Et l'on dit que les Français sont diffi-
ciles à gouverner 1

*

* *

Mme Leymarie, arbitrairement arrêtée
•par la police des mœurs— 6 temporal
ô mores ! — a reçu des excuses de M. Lé-
pine et a accepté la somme de 3,000 fr.
comme indemnité.

C'est un assez joli denier, et demain
nous verrons sans doute une foultitude
de petites bourgeoises immaculées, avec
leurs certificatsdans leurs poches, essayer
de se faire pincer dans une rafle pour
encaisser 3,000 francs.

Eh ! Eh ! ce ne sera pas si bête ; à seule
fin, dirait Dumanet, de donner une leçon
au pouvoir et aux argousins qui per-
sécutent l'honnête femme qui va-t-à pied.

> * #

M. Oller intente un procès au Péto-
mane, de son vrai nom M. Pujol, parce
qu'il a « violé son engagement » le com-
ble du viol !

C'est à la Foire du Trône que le Péto-
mane a joué de son trombone.

M. Oller réclame un dédit de 3,000 fr.

La 1™ Chambre civile a donné gain de
cause à M. Oller.

Il est probable que les débats ont été
bruyants et qu'on a prié le juge de paix
de Soissons de présider.

montretout.

On so souvient que, il y a une douzaine
d'années, au moment où l'on parlait d'en-
voyer à Kayes, au Sénégal, une commission
d'enquête chargée de constater les gaspil-
lages éhontés auxquels s'étaient livrés les
entrepreneurs du chemin de fer projeté jus-
qu'au Niger, on apprit brusquement qu'uii
incendie avait dévoré tous les magasins.

Un phénomène semblable vient de puri-
fier, au nez et à la barbe des députés enquê-
teurs, la scierie du Mourillon, à Toulon.

Les agences officieuces affirment que la
malveillance est étrangère au sinistre.

Ce n'est pas précisément l'opinion du
grand public qui, lui, estime que ce sinistre
est, au contraire, dû à la malveillance... dont
ont fait preuve nos bons archevêques de la
marine 1

X

La loi coopérative, attendue depuis six
ans, vient d'être votée par la Chambre, à
l'unanimité moins une voix, celle de
M. Georges Berry, toujours désireux de se
singulariser et de faire des mamours à ses
électrices mûres qui tiennent honnêtement
commerce de cravates, de gants et de parfu-
merie dans les passages et parages avoisi-
nant la Chaussée d'Antin.

C'est, dil-on, la République économique
que l'on nous codifie là.

Au taux qu'atteint chaque année davan-
tage le budget, cela va fichtrement nous
changer !...

X

Le système décimal des poids et mesures
sera obligatoire dans le courant de cette an-
née, pour tous les médecins et pharmaciens
russes.

La date n'est pas exactement indiquée par
la Nowié- Vrémia, mais étant donnés les déci-
gramuies, centigrammes et milligrammes
utilisés par ces praticiens, ce devra être
l'époque de la tloraisou des petits pois.

X

On expose, à l'école des Beaux-Arts, divers
modèles proposés de timbres-poste, qui
remplaceront la vignette actuelle.

Celle-ci était cependant déjà suffisamment
laide, le besoin de quelque chose de plus
vilain encore ne se faisait que médiocrement
sentir.

Pourvu qu'on n'aille nous coller là-dessus
ni la bille de Carnot III, ni la bobine du
Grand Casimir !...

Une seule chose serait originale et pein-
drait bien la situation : le Marasme dans
lequel croupit la France et dont elle ne sor-
tira qu'en se débarassant de l'opportunisme.

Mais Boquillon, lui-même, ne pourrait
pas dessiner cela : comme l'eau qui chante,
c'est trop difficile !...

X

Cornéliuz Herz vient de voir rayer son
affaire du rôle, et Wilson est réélu à Loches.

Nous serions curieux de savoir si nos iné-
narrables gouvernants voient là des mani-
festations de l'Esprit nouveau.

En tout cas, nous les avertissons charita-
blement que ce qui peut leur sembler très
spirituel aujourd'hui, leur apparaîtra sûre-
ment comme une lourde gaffe peut-être dès
demain,

X

Le général Perron vient de mourir.

Ce fut un fort brave homme, qui n'eût que
le tort d'être trop modeste et de laisser la
gloriole de toutes les réformes qu'il réalisa
ou prépara dans l'armée, sans le crier sur
les toits, à son cabotin de successeur, le
trop illustre et trop ph...ameux, brav' gén'ral
Boulanger !...

X

Le Sénat a voté le projet Joseph Fabre sur
la fête de Jeanne d'Arc.

Déjà, à Toulouse, le mardi 8 mai, on a vu
ce que serait cette fête soi-disant patrioti-
que : un prétexte pour les ralliés d'arborer
le "vrai drapeau selon leur cœur, le drapeau
.blanc.

Quel rêve, voir la Pucelle d'Orléans, jadis
brûlée par un Cauchon d'evèque de Beauvais,
aujourd'hui mise en sainte par l'Église catho-
lique, et accouchant d'une trifouillée de ma-
nifestations cléricales!...

Décidément, ces calotins ont tous les tou-
pets; !...

X

Dans quelques coins, de loin en loin, on
constate qu'il y a encore des juges en
France.

Ainsi la Cour de Douai vient de casser le
testament d'un vieux crétin, qui léguait
B00,0O0 francs à un chanoine, secrétaire
d'archevêché et à un notaire, chargés tous
deux de répartir cette somme ad majorent
Dei gloriam.

C'est décidément à se demander lequel est
le plus immense, ou de l'avidité cléricale, ou
de la bêtise humaine.

X

Dans la Seine-Inférieure, un curé vient
d'enlever la femme de son sacristain.

Le sacristain a porté plainte.

Mauvais chrétien : Dieu lui rendra sa
femme vierge là-haut 1

X

La Chambre s'est, une fois de p4u9,^apl»
devant le Grand Casimir:l'honorable M.To
saint sera poursuivi, comme coupable
crime grave u^avoir suspecté l'urbanité d
gendarmes de Trignac.

M. Toussaint ne peut ainsi quê récol
une notoriété qu'il lui eut été beaucoup pl
difficile d'obtenir autrement, en étant ai
poursuivi...

Et, si par hasard, il était acquitté, c'est
Grand Casimir, qui serait attrappél...

C'est — de grand cœur — la grâce que
lui souhaite !...

Gringoire.

ESPRIT DE PARTOUT

Fragment de dialogue :
fr Moi... on ne peut pas dire que je ne s
pas né à ternie...

— Parce que ?

— Parce que je suis né le quinze avril...

— Félicitations!... Tes parents devaient è
dans une situation brillante ?...

— Parce que ?
«- Parce que, sans cela, tu serais né le huit'..

- —o—

Sans-Gène est venu passer quelques jours
Paris, à l'occasion du vernissage ; il a pris lo-
gement chez de vieux amis. Ceux-ci, dérangé^
dans leurs habitudes, insinuent :

— Ne pensez-vous pas que vous devez ma
quer à votre femme et à vos enfants?

— Vous avez raison, répondit Sans-Gène.
Et après quelques secondes de réflexion :

— Je vais leur écrire de venir.

—o—

On parle, devant Marius Capoulade, des gen»
qui poussent la méticulosité jusqu'à la manie-

— Z'ai connu un type de ce zenre à Marseille,
s'exclame notre Provençal. Imaginez-vous que
ce gaillard-là, ayant un jour commis un crime,
qui l'avait fait condamner à mort, n'a vuul1*
mai cer à l'éçafaud qu'après s'être fait délivrer
un reçu attestant qu'il avait « payé sa dette à
la société » !

—o—

Un individu au nez très rouge voyage en che-
min de fer ; son vis-à-vis dans le wagon a l'in-
tention de se moquer de lui.

— Ce n'est pas à sucer de la glace, n'est-ce pas>
monsieur, que vous avez rougi votre nez?

— HélasI mon cher monsieur; j'avoue que
j'aime fort le vin; et pourtant, pendant toute
une année je n'ai bu que du lait.

— Toute une année?

— Oui, monsieur; il est vrai que c'est l'année
où j'étais en nourrice.

Job.

MAISON DE LA LIBRE-PENSÉE j

L'inauguration de la Maison de la Libre-
Pensée so fera le samedi 19 mai, à 8 h. 1/&
du soir, par des causeries et un concert, ru«
des Ecoufles, 7, près la rue de Rivoli. Plu-
sieurs députés et conseillers municipaux on'
promis leur concours.

Tous les libres-penseurs de passage à Pa-
ris, sont priés d'assister à cette fête de
famille.

H. V.

fëhronique buissonnière

AUX GRANDS MAUX, LES &R4NDS REMÈDES!

« Ainsi qu'il l'avait annoncé à son avocat,
Emile Henry ne s'est pas pourvu en cassa-
tion contre l'arrêt qui l'a condamné à la
peine de mort.

« Les délais que la loi lui accordait pour so»
pourvoi sont expirés. »

Il ne lui reste donc plus qu'à en faire au-
tant.

Mais au lieu de livrer banalement « s»
jeune tète blonde » — selon la poétique ex-
pression de M' Hornbostel, son avocat — à
M. Déibler, grand prévôt de VAbbaye de
Honte-à-Regret, ce serait peut-être le cas de
rompre avec cette funèbre routine et d'en-
voyer ce misérable dans « l'autre monde »i
par une application anticipée du projet de
loi que vient d'y présenter — au Parlement
américain de l'Obio — M. l'awlens, représen-
tant du comité de Stohr, et disposant qu'à
l'avenir, « les condamnés à mort seront uti-
lisés pour des expériences de vivisectioD,
dans un but humanitaire et scientifique.

« Ce nouveau projet de loi abolit la potence,
en usage dans l'Ohio, et il prescrit que les
condamnés à mort soient insensibilisés, de
manière qu'on puisse leur enlever sans dou-
leur la boîte crânienne et une partie de la
poitrine, et qu'il soit possible d'observer
l'action du cerveau, du cœur et de tout autre
organe interne.

« Une campagne vient d'être ouveaje eU
faveur de ce projet, et l'Etat de l'Ohio es'
littéralement inondé de circulaires et de brO'
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