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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 24.1894

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https://doi.org/10.11588/diglit.6804#0146
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LE GRELOT

LE

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-Art................ 60 » 30 » »

[ Autorité........... 25 . 13 » 7

'Charivari.........80 » 10 » 20

• Chasse ill'jstrèe ... 30 i 15 » 7 50

^Correspondant...!. 35 » 18 » »
, ovMner Françaxs. 25 » 12 50 »

-XIX' Siècle......-. 24 » 12 » 7

-Droit.............. 64 » 32 » 16

Evénement........ 22 » 11 » 6

■ Estafette..........24 » 12

-Figaro illustré----36 » 18

-Figaro............ 78 » » 19 50

-France............ 40 » 20 » 10 <

-Gaulois........... 64 32 » 16 «

Gaz. d. Beaux-Arts 64 » 32 » i <

Gazette de France .66 » 35 » 18 «

Gaz.des Tribunaux 72 » 36 » 18 i

-Gil Bios........... 60 ï 31 » 16 <

-Illustration........ 36 » 18 » 9 .

-Intransigeant..... 28 > 15 » 8 i

-Jour............... 20 «10 » 5 <

-Journal...........24 « 12 » 6 i

Journal des Débats- 40 » 20 » 10 «

— (2 édit.) 72 » 36 » 18 i

Journal Officiel.... 40 25 20 25 10

\Justice ........... 20 » 11 » 6 i

Liberté............ 48 » 25 » 13 »

Libre Parole....... 24 » 13 » 7 »

Matin............. 40 » 20 » 10 »

Monde illustre----24 > 13 » 7 .

Moniteur universel 60 » 32 ■ 17 »

-National.......... 52 . 26 » 13 »

-Nouvelle Revue— 56 » 29 » 15 >

-Paix.............. 24 » 12 » 6 .

-Paris.............. 40 » 20 » 10 »

* Parti National____24 » 12 » 6 »

Patrie............. 24 » 12 » 6 »

Petit Journal...... 24 • 12 > 6 »

Petites Affiches____45 » 24 » 13 »

Petite République.. 24 » 12 » 6 »

-Presse j..........24 » 12 » 6 »

-Radical........... 25 » 13 1 7

•Rappel............ 20 . 11 » 6 »

-Revue illustrée.... 36 » 18 a 9 »

'Rev. des Deuœ-Mon. 56 » 29 » 15 »

Semaine financière 12 » 7 » » »

Siècle.............. 24 » 14 » 8 »

-Soleil.............. 24 » 12 » 6 »

Temps.............68 » 34 «17 »

* Tour du Monde.... 26 » 14 » » »

* Univers...........40 »21 »11 »

Vie Parisienne .... 30 » 16 » 8 50

* Voltaire...........40 » 20 » 10 »

UNIOH POSTAL»
1 an 6 mois 3 mois

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45 .23 » 12 »

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18

Si. J. Madré sé*charge de l'abonnement sans frais
à tous les autres journaux de Paris. ' '

Adresser les lettres et valeurs .au nom de
M. J. MADRE, 5, cité Bergère, a^aris.

Il n'est pas donné suite anx demandes
d'abonnement non accompagnée* d'an man-
dat-poste en d'une valeur à Tue fur Paris.

PACIFIQUE CONGRÈS

Connaissez-vous quelque chose de plus
bête que la guerre Y

Des gens qui, sans connaître «(ni des
lèvres, ni des dents », comme dit le colo-
nel Ramollot, s'emploient très conscien-
cieusement à s'envoyer ad patres ou à se
tarauder la peau avec^un enthousiasme
aussi vigoureux qu'inexplicable pour les
neuf dixièmes, lesquels ignorent^congru-
ment pourquoi l'on ise bûche, ce qui ne
les empêche pas de se bûcher en toute
conscience, au contraire!...

— Misère et corde !... comme dit Tho-
mas Vireloque, j'ai toujours estimé stu-
pide cette façon de procéder et plus stu-
pide encore ceux qui la pratiquent et en
défendent la légitimité et même l'utilité,
à grand renfort de sophismes renouvelés

de de Maistre, de Malthé et des émules
de ces défuntes bètes fauves, à deux pat-
tes, sans ailes.

Aussi ai-je accepté, avec plaisir, d'aller
suppléer Gromier au Congrès de la Paix,
à Anvers, la semaine dernière.

Qu'il me soit permis de déclarer que
l'hospitalité qui nous fut offerte dans les
bâtiments de l'Athénée et le lunch auquel
on nous convia, à bord d'un bateau à va-
peur de l'Etat, qui nous promena durant
cinq heures sur l'Escaut, ne laissaient
absolument rien à désirer.

Mais si la partie matérielle du Congrès
fut ainsi des plus satisfaisantes, il n'en
est pas de même de la partie intellec-
tuelle.

Sans doute, il y avait, dans le Congrès,
des gens de valeur, désireux d'aboutir à
des solutions pratiques et de substituer
dans des cas de plus en plus nombreux
l'arbitrage au coup de tampon.

Mais combien 1... oh ! combien de vieux
raseurs, sans compter Frédéric Passy,
qui avait la prétention de représenter la
France et ne manquait pas une occasion
de faire l'apologie de l'Angleterre !

Combien !... oh combien !... surtout
d'Anglais et d'Anglaises aux frimousses
indescriptibles, qui philosophaient sur
des pointes d'aiguilles et discutaient sur
des pattes de mouches, en leur idiome
enchanteur.

Notez que tout ce monde-là parlait
français comme vous et moi.

Mais il s'agissait d'affirmer que la na-
tion anglaise est la première nation du
monde.

La pale-ale, le porterie stout, les pre-
mières bières du monde.

Le wiskey, le brandy et le gin, les
boissons les plus saoûlographiques du
monde (demandez plutôt à leur gracions,
majesty).

Et la langue anglaise, le plus harmo-
nieux et le plus universel des idiomes du
monde !...

De là le supplice que nçfts infligeaient
quantité d'Anglo-Saxons qui bafouillaienj
chacun durant une dizaine de minutes
leur enchanteur patois nègre, agrémei
de postillons pour rafraîchir les petits!,
seaux, qui ne zézaient pas davantage,
mais crachottent moins.

Un traducteur nous r<
saient ces insulaires.

C'était assommant, mais ils se sont
bien gardés de démordre de la ligne de
conduite qu'ils s'étaient tracée, seuls du
Congrès, tandis que des Italiens, des Da-
nois, des Allemands, des Portugais, etc.,
ne dédaignèrent nullement de s'exprimer
de leur mieux dans la langue de Voltaire,
mieux qui pour beaucoup ne fut nulle-
ment l'ennemi du ûien.

Sur une question, entre autres, celle
de la sanction à donner aux décisions du
tribunal permanent d'arbitrage, MM. les
Anglais se trouvèrent en dissentiment
marqué avec les autres congressistes.
Ils ji'étaient pas très éloignés de de-
^manderj^ celgue l'piL^fit^ la guerre pour

it pas datants

di-

assurer l'exécution des sentences du tri-
bunal de paix.

Cela n'étonnera nullement tous ceux
qui, connaissant l'histoire moderne, sa-
vent combien les Anglais, si prompts à
demander l'arbitrage quand ils ont affaire
aux Etats-Unis, à la Russie, à la France,
ou à toute autre puissance ayant bec et
ongles, s'empressent, au contraire, de
cogner comme des sourds, sans tenir
compte des droits les plus évidents et
des engagements les plus solennels,
quand ils veulent frustrer un faible com-
me le Portugal, l'Egypte, ou lâchement
•écraser, même sans déclaration de guerre,
un pauvre vaillant petit pays comme le
Danemark, dont le sympathique délégué,
le député Friedrik Bajer, n'a certes pas
oublié l'acte de haute piraterie de 1808.

Sur cette étrange pétition de principes,
nos voisins d'outre-Manche furent battus
autant qu'on le peut être.
, Mais la cause de la Paix n'y gagne pas
grand' chose, car les avocats, qui pullu-
laient au Congrès, substituèrent à la
Force mise au service du Droit Humain,
cette immense fumisterie qui s'appelle le
Droit International, et cette antique farce
renouvelée des Grecs et des Romains,

comme le Jeu de l'Oie, qui a nom le Code
civil.

Quoil... ce Code civil, malgré toutes
ses sanctions, n'est jamais parvenu qu'à
éterniser les dissentiments entre les indi-
vidus, au lieu de les éteindre, et c'est là
tout ce que vous trouvez de mieux pour
assurer la paix des nations !

Ah 1 le bon billet qu'ont là tous les La
Châtre qui croient à l'efficacité de sem-
blables décisions à l'eau de rose!...

En vérité, je vous le dis, pacificateurs
mes frères, si vous, continuez ainsi à par-
lotter sur des abstractions de quinles-
sence, vous pourrez tenir ainsi quelques
centaines de Congrès, vous n'arriverez à
rien..., qu'à vous flanquer des coups en-
tre vous à l'issue d'une prochaine
séance !...

Henry Vaudémont.

P.-S — Le Congrès a émis le vœu que
le différend coréen soit soumis à l'arbi-
trage. Le président a reçu de suite, après
la notification dudit vœu, la réponse sui-
vante :

« Fils du Ciel et Mikado à Pacificateurs
« européens.
« Mêlez-vous de ce qui vous regarde,
battez-vous moins entre vous et fichez-
nous la paix quand nous lavons notre
linge sale en famille jaune.
« Cinq lettres suivent.

« Fils du Ciel et Mikado. »

Les congressistes se sont séparés sans
attendre les cinq lettres.

H. V.

ZIGZAGS

A l'heure où vous lirez ces lignes, le comte
de Paris aura rendu l'âme à qui de droit.

Ce comte de Paris, qui fut, au demeurant,
un brave homme, ne faisait guère le compte
* de Paris.

Mais son fils et successeur (1?) le prince
Gamelle, le fera moins encore.
A N'importe, Melba portera la couronne de-
vant la rampe et Gamelle se fera ainsi des
illusions et de l'estomac, en dégustant chez
Duval trente-neuf portions au déjeûner et
quarante-sept au dîner, sans d'ailleurs au-
cun danger d'indigestion.

Vive Gamelle, Messieurs, vive Gamelle!...

Les Italiens, parait-il, se séparent de la
Triplice pour marcher la main dans la main
avec l'Angleterre, qui leur a promis de les
conduire à Khartoum et de leur laisser occu-
per la Tripolitaine (laquelle appartient aux
Turcs.)

C'est ce que les bons Macaronis appellÀit
suivre une politique italienne.

Bons gogos!... Lisez donc l'histoire : elle
vous apprendra que, de tout temps, jamais
les Anglais n'ont travaillé que pour eux. .

Et ils ne paraissent pas décidés amodier
leur façon de faire, bien au contraire.

1

Il parait que les Français et les employés
de la Compagnie du Niger se seraient bûchés
ferme dans l'Afrique centrale.

Soixante-dix morts sont restés sur la place.

Si se cont soixante-dix Français, c'est un
malheur; si se sont soixante-dix Anglais,
c'est à peine un accident.

X

Quand les Yankees S'y mettent, il fayK
convenir qu'ils font, en général, assez bien
les choses.

Ainsi, ils viennent de détruire par un in-
cendie monstre 1o0 millions de pins.

— Zuze un peu, mon çer, me dit un Mar-
seillais, ce que ça serait, si les Américains
n'avaient pas tant et de si beaux pompiers I

X

Saviez-vous qu'il fût question d'uil con-
grès des maîtres imprimeurs ?
Oyez comment :

« Le congrès des maîtres imprimeurs de
France, qui doit se tenir à Lyon du 6 au 8
septembre prochain, s'annonce sous les plus
heureux auspices. Près de 3y0 maîtres im-
primeurs ont déjà envoyé leur adhésion. »

Voilà un congrès qui certes ne va pas
manquer de caractères !

X

Le dernier courrier de Chine a apporté un

certain nombre de lettres d'officiers euro-
péens actuellement au service de la Chine
et destinées aux parents de ces derniers, qui
habitent l'Europe. Ceux-ci sont outrés des
cruautés commises par les soldats chinois
qui sont, parait-il, pour la plupart, de véri-
tables sauvages, et qui font subir aux enne-
mis qui tombent entre leurs mains les sup-
plices les plus odieux.

L'abbé Bruneau a dû s'estimer heureux de
n'avoir eu le cou coupé que de la façon phi-
lantropique usitée par les peuples les plus
civilisés.

X

D'après les journaux du Tonkin, le lieute-
nant-colonel Clamorgan , commandant, du
cercle de Langson, vient de prendre les me-
sures pour empêcher les Européens de la ré-
gion frontière d'être enlevés par les pirates.

Les voyageurs devront avertir la poste qui
devra les faire escorter. Les Européens ha-
bitant hors des postes seront gardés nuit et
jour par des détachements qui logeront le
plus près possible de leur demeure.

Vous verrez que les pirates, qui ne sont
pas bètes, enlèveront en même temps les
postes de garde l...

X

Le rapport des ingénieurs Colombo, Fox et
Wagner sur le percement du Simplon a été
approuvé à Berne.

Il recommande d'utiliser les puissantes
forces hydrauliques du versant sud de la
montagne pour appliquer la traction électri-
que, ce qui résoudrait la question de la ven-
tilation à l'intérieur du tunnel.

Il conclut en disant qu'aucune difficulté
particulière ne s'oppose au percement du
Simplon.

Pardon!... il y a l'argent, dont les Italiens
sont fournis comme les crapauds de plumes.
^ Et les Italiens se trompent fermement s'ils
s'imaginent que nous serons désormais as-
sez nigauds pour leur en prêter encore!

A la suite du congrès international pour
la protection des animaux, il vient de- se
créer à Berne un comité international per-
manent pour encourager et faciliter un ac-
cord entre les divers pays d'Europe et de
l'Afrique du Nord, annule protéger énergi-
quement les oiseaux de passage.

Bon, cela. On songera à véer ensuite une
Société protecj-iceYdes végétaux, pour en-
traver le déboteem-int et une autre de pro-
tection des 'ï^éraux, ( pour empêcher les
Anglais de ehiper no? sculptures.

Seulement, après, on fera^bien de songer à
protéger l'enfance. "

Jfcf #x 1

question posée par un journal de

Voici la
Lyon :

« (Jjtel est le meilleur étal, le plus agréai
ble' "Woins Pénible et en même temps le
plus lucratif dans notre bonne ville de

.yon ? » "''«m

^ Moi, j'hésiterai,
préfet... * V
Et vous?.!» ..

r entre l'archevêque et le

A Cologne, la sté
gatoire dans toutes

raphie devient obli"
administrations.

-,--------—««vw ouuiimauawyus.

Chez nous, c^sUtou| au plus si l'on exi
actionnaires qu'ils sachent

! certains fon
Jer sans lire !.

Gringoirb.

ÉGHO^

-4

:

nos confrères signale une collection
blement unique :

Coates, qui compte narxni les million-
^naires de Boston, est arrivéTà l'âge de qua
tre-vingt-trois ans sans avon/jamais pris
médicaments. '■

Il a cependant, au cours de sa long
existence, consulté des médecins; il a fait
faire par les pharmaciens tous les remèdes
qui lui ont été prescrits; il les a soigneuse-
ment conservé* dans des armoires. Il a, de
la sorte, 1,900,bouteilles et flacons, 1,370
boites de poudre et 870 boites de pilules.

M. Coates léguera sa collection à l'univer-
sité de Boston.

Elle est bien bonne !

On annonce que Mlle Schneider qui se dit
de Sombreuil, va être chargée de la chroni-
que judiciaire dans un yrand journal qui va
se fonder.

Le fait est que ce n'est point l'habitude
des procès ni de la justice qui lui manque,
à la cbère enfant..., aujourd'hui un pe
mûre, comme on chante dans Faust.

X

Une lecture réjouissante, c'est sans cou
tredit celle de l'organe de la Société contr
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