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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 26.1896

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https://doi.org/10.11588/diglit.6806#0166
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LE GRELOT

LE

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MADRE, administrateur du Grelot, de l'abonner
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M. J. MADRE, 5, cité Bergère,

PARIS

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Charivari avec Petit Rire
'Cliasse illustrée.........

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* Courrier Français......

*XJX° Siècle.............

Droit...................

'Echo de Paris...........

Evénement..............

"Estafette................

'Figaro illustré..........

'Figaro..................

'France..................

'Gaulois.................

'Gazette des Beaux-Arts.

Gazette de France......

'Gazette des Tribunaux.

Gil Bios................

Grand Journal..........

'Illustration.............

'Intransigeant...........

•Jour....................

'Journal.................

Journal des Débats......

Journal officiel..........

'Justice..................

•Liberté..................

'Libre Parole.............

'Matin...................

•Monde illustré..........

Monde moderne.........

m National................

'Nouvelle Revue,.........

;'Paix....................

'Paris....................

Patrie...................

, Petit Journal...........

•Petites Affiches..........

Petite République........

Poste....................

'Radical.................

'Rappel..................

'Revue illustrée..........

'Revue des Deux Mondes
'Semaine financière......

Siècle....................

'Soleil...................

. Temps...................

•Tour du Monde.........

Univers.................

, Vie parisienne..........

'Voltaire.................

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Figaro illustré.... 3 »

liiustration.......2 50

Indic.desch.de fer 2 »
Journal amusant. 2 50
Journal illustré... J 75

Journal pour rire. 2
Monde illustré.... 2

Nature............2

Nouvelle Revue... 1
Rev.d.Deux-Mon
Revue illustrée ..
Tour du Monde,
Univers illustré.,
Vie parisienne...

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Adresser lettres et manaats à M. J. MADRE,
5, cité Bergère, Paris

Carnet d'un Sceptique

je ne le verrai pas I

De quoi parler en ce moment, si ce
n'est du jeune souverain de toutes les
Russies ?

Mon confrère P. Darin disait récem-
ment que le bruit qui se faisait à propos
de sa venue lui causait de l'agacement ;
moi, c'est comme uu sentiment de tris-
tesse que j'éprouve à la vue de ces bril-
lants préparatifs dont je ne pourrai avoir
que la jouissance posthume.

Quand je songe que c'est moi qui paie

— pour une petite partie, tout au moins

— ces belles estrades que l'on élève à
grands frais sur la place de l'Hôtel-de-
Ville et que je ne pourrai admirer les
beaux mesi-ïeurs qui seront dessus !

Je vois déjà les rues barrées tout à
l'entour et loin, bien loin, les sergots fai-
sant retentir leur farouche : Cerculez !

Donc, je cerculerai et je paierai...; mais
je ne serai pas content. Et j'irai, le len-
demain, contempler tristement les lam-
pions éteints.

Quant à l'Empereur, oh ! je sais bien
que je ne le verrai pas.

Ni vous non plus, probablement.

rl'e de la paix

La rue de la Paix étant une voie abso-
lument chic, et d'ailleurs décorée d'une
façon charmante, on a décidé d'y faire
passer le cortège impérial mercredi à sa
sortie du Louvre.

Je sais bien qu'on ne peut raisonnable-
ment faire passer le tsar dans toutes les
rues ; mais les boutiquiers de la rue de
la Paix ont de la veine tout de même.

On en crève de jalousie dans la rue
Cloche-Perce I

*■

aux

champs-elysées

« C'est un peu toqué, dit un de nos
« confrères, un peu extravagant de cou-
ce leurs, ça a l'air d'un défi à l'école du
« bon sens, mais ça y est, nos arbres
« sont en fleurs. »

En tleurs de papier, naturellement. Les
arbres, dépouillés de leur couronne de
verdure naturelle, eussent été inconve-
nants, à ce qu'il paraît.

Qui diable peut bien avoir eu cette idée
saugrenue ?

Ce n'est pas extravagant, c'est horri-
ble 1

Enfin ! cela fera rire un peu notre hôte
— à nos dépens.

" NOS SOLDATS D'AFRIQUE

Ma foi, si je ne vois pas le tsar, j'aurai
toujours vu défiler dans la rue. lés chas-
seurs d'Afrique, les spahis «t les turcos,
et ce spectacle en vaut bien un autre.

Pour si sceptique que je sois, je n'en
suis pas moins Français, c'est-à-dire
chauvin, et la vue de ces rudes soldats
m'a mis sens dessus dessous.

J'ai pensé, en les voyant, à ce jour
dont on ne parle pas, mais auquel il faut
songer sans cesse, et je me suis dit
qu'entre de pareilles mains la fortune de
la France n'avait rien à craindre. J'ai sa-
lué respectueusement ces beaux dra-
peaux témoins de tant d'actions héroï-
ques. Quand donc pourra-t-on inscrire
dans leurs plis glorieux le nom de la su-
prême bataille qui nous rendra nos pro-
vinces perdues ?

au clou !

Décidément, ce n'est pas un métier
agréable, en province, que celui de com-
missaire de police. Être traité d'agent
provocateur par un maire socialiste,
passe encore; mais s'entendre qualifier
de « stupide » par un député royaliste,
c'est trop. En politique, les extrêmes se
touchent, en fait d'urbanité.

M. de Bernis, à Nîmes, voulait absolu-
ment régaler d'un feu d'artifice la musi-
que conservatrice « Les Enfants de Nî-
mes»; un arrêté municipal interdisant
sur la voie publique ce genre de réjouis-
sance, le commissaire de police fit enle-

ver les pétards. Le député, furieux, in-
vectiva de la belle façon cet empêcheur
d'allumer des chandelles romaines en
rond et s'oublia au point de lui dire qu'il
faisait « un sale métier. »

L'instant d'après, deux agents met-
taient la main au collet du fougueux dé-
puté et déposaient son inviolable per-
sonne au clou.

Mais ça fera du bruit, vous savez. Tou-
cher à un député, l/one Deus ! et à un dé-
puté royaliste encore !

Monsieur le commissaire de police, je
ne vous vois pas blanc !

m. thivrier belge

Cet excellent Athénien qu'on appelait
Alcibiade n'avait rien trouvé de mieux,
pour attirer l'attention, que de couper la
queue à son chien.

Ce moyen est un peu usé; maintenant,
on va siéger dans les palais législatifs, en
blouse, en attendant qu'on y aille en bras
de chemise.

Le baron de Sélys Longchamps, député
socialiste de Namur, s'avise de copier
notre légendaire Thivrier : il ne lui sem-
ble pas possible de confectionner des lois
vêtu d'une redingote. Tous les goûts sont
dans la nature.

N'étant pas, comme on dit, sorti de la
cuisse de Jupiter, je n'ai aucune raison
de vouloir mal de mort à la blouse ; mais
on me la fera difficilement accepter
comme vêtement de cérémonie.

Ces gens-là me font l'effet de couper
aussi la queue à leur chien, et je déteste
les poseurs, surtout en politique.

Je pense qu'on peut être un socialiste
sincère et s'habiller comme tout le monde
et qu'il faut laisser aux Anglais, inven-
teurs chez eux du hig-life, l'habitude in-
convenante d'aller à notre grand Opéra
en chapeau mou ou en casquette.

souvenir des croisabes

A propos d'Anglais, je trouve dans un
journal cette information ahurissante :

« Dans le butin pris aux Derviches, on
« a trouvé des casques et des cottes de
« mailles datant des croisades, ainsi que
« des épées portant des inscriptions en
« vieux français. »

Pauvres Derviches 1 avoir gardé ces
vieilles ferrailles pendant sept siècles et
ne pas pouvoir cogner avec sur le dos des
infidèles fils d'Albion.

Ils doivent être désolés.

Et moi donc !

O. Revoir.

A PROPOS

DE MADAGASCAR

Pendant qu'à Paris les autorités se livrent à
une débauche folle de drapeaux, de mâts de
Cocagne et de lampions, là-bas, dans la grande
île, nos pauvres soldats ont à lutter contre une
levée de boucliers formidable.

Cent mille Hovas entourent Tananarive, di-
sent les dernières dépêches, et nous n'avons à
leur opposer que cinq ou six mille hommes
anémiés par ce climat meurtrier.

Ah ! le beau résultat ! Et comme je ne savais
pas avoir si vite raison lorsque, dans un article
récent, je déclarais en riant que nous étions
bloqués à Tananarive; si nous ne le sommes
pas, je crois qu'il ne s'en faut guère.

C'est une expédition à recommencer; comme
dit le proverbe,, faire et défaire c'est toujours
travailler. C'est, hélas! notre seule manière de
travailler depuis longtemps.

« Plus nous conquérons — dit notre confrère
a Charles Bos — plus nous créons de difficultés
, et plus nous commettons de fautes, parce que
< nous sommes dotés d'une administration à
« laquelle les expériences les plus désastreuses
« n'apprennent rien, »

Je suis d'avis aussi .que l'administration n'a
rien appris et serais médiocrement étonné si
l'on me disait qu'elle a de nouveau renvoyé à
Madagascar des voitures qui ne veulent pas
rouler et des bateaux qui se refusent à flotter ;
mais est-ce bien elle qui est la vraie coupable?

Ne serait-ce point plutôt le gouvernement?

Qui donc a eu l'idée de ne laisser que six
mille hommes là où il en aurait fallu douze?
Qui donc a envoyé comme résident un homme
qui ne savait pas le premier mot de ce qu'il
avait à faire ? Qui donc a eu l'idée de recon-
naître comme reine cette moricaude qui se mo-
que de nous aujourd'hui ?

N'est-ce pas le gouvernement ? Assurément,
oui. Voilà qui est bien. Et maintenant, je vais
poser une nouvelle question, grave celle-là.
Qu'est-,:e que le gouvernement ?

Est.ce le ministre compétent? Compétent...
Vous comprenez ce que je veux dire: le minis-

tre dans les attributions duquel se trouve no*r
nouvelle possession, que nous possédons si PeU'
N'est-ce pas plutôt son chef de cabinet?
moins que ce ne soit un simple chef de divl
sion? Dam! J'avoue que je ne sais trop que 10
répondre.

Le ministre, il a changé hier, il changera de'
main. Les ministres passent, les bureaux reS'
tent; ce sont ces derniers qui font la besogne-;
ce sont eux, si je ne me trompe, qui mène'!
effectivement les affaires. Est-ce donc â
qu'il faut s'en prendre?

Je cherche un coupable, j'en trouve dix.

Le président du conseil, qui aurait dû vei"ef
à ce que la ligne de conduite adoptée — s'il J
en a eu une — ait été rigoureusement suivie; 'e
ministre des colonies, qui aurait pu choisir »?
peu mieux son résident général; la marine, qul!
au début, a gêné la guerre, et la guerre, 1tfl
aurait pu se dispenser de construire des route' I
du prix de six mille hommes. Enfin, nous, no"5'
tous, qui avons crié comme des orfraies p0"'
faire revenir les troupes, nous obstinant à
pas comprendre qu'on ne fait pas d'omelette*
sans casser des œufs ; que, puisque nous avit>5';
commis la faute d'aller à Madagascar, il fall"'-'
y rester et que, pour y rester, le meilleur moye"
et le plus économique était de remplacer p'!
des troupes fraîches les soldats épuisés
rentraient.

Enfin, ça y est, ça y est !

Mais le coupable, où esl-il? Le coupable, c'est
tout le monde et ce n'est personne. Ou plutôt
c'est un être impersonnel et irresponsable : ,e'

système I

Là où il n'y a pas de direction unique et coD'
stante, il ne saurait y avoir de responsabilité'
on peut cogner sur une tète, on ne peut rien suf
cinquante. Cela marchera ainsi jusqu'au jo*'
où nous aurons un ministère qui saura ce qu
veut et qui sera assuré de rester six mois e?
selle.

Ce ne sera pas demain !

En attendant, nous n'avons qu'une chose ^
faire : payer les pots cassés !

P. darin.

Chronique buissonnière

Il était une fois un Roy et une Reine. ••

Le Vaterland — organe du goinfre aDgl°'
mecklembourgeois,qui aspire à faire sa poire
chez nous, pour se restaurer — annonc0
a que son mariage avec l'archiduchesse D°'
rothée aura lieu, non pas à SchœnbruD-
mais au château d'Olen, dans la chapell0
royale. Il n'y aura pas de mariage civil'
cette question ayant été écartée. »

Ce mariage ayant tout juste la même va'
leur légale que ses précédentes unions -À
soyons Régence — avec moult Favorites (7,
compris celle qui interpréta, notammes'
l'œuvre de Donizetti, à l'Opéra, et s'étalait^
Vienne même, dans uue loge, aux côtés
ce royal noceur... et décolletée jusqu'à11
nombril ) on en peut inférer que Pb>'
lippe VIII, s'il montait jamais sur le trôu0'
n'aurait rien de plus pressé que de rétabli'
la polygamie en France.

He ! hé ! cette perspective est peut-être l0
seul atout de son jeu ; mais quel Roy pi"8
« Français » pourrions-nous avoir dans Ie»
nôtre, que ce prince, né en Angleterre d'nue
Allemande et marié a une Autrichienne ?

Tarteifle! qu'elle belle paire de Teutons !•"

-<(«)>-

« La \eille, l'archiduchesse Marie-Dorotb^
renoncera solennellement aux droits éveH'l
tuels qu'elle pourrait avoir sur la couron^
de3 Habsbourg. »

En conséquence, parait-il, de ceux qu'el16
acquerra au trône de France, par son alliant
avec notre Roy in partibus. C'est ce qu'o"
peut appeler un marché de dupe, ou lâcbef
la proie pour l'ombre ; car si cette pseud"'
Majesté austro-gothique est jamais couronnée
en réalité, ce ne pouna être que comme le»
juments montées par le maladroit cavalief,
avec lequel elle se prépare à convoler en Njg
mili-noces.

« Des fêtes, dont le programme est à T^'
tude, seront données au palais de Schce»'
brun. Il comportera, sans doute, une repr6'
sentation théâtrale, car on est en train &e
rénover la petite scène du palais. »

La diva Melba est tout indiquée p"1^
prêter son concours à cette petite fête ^
famille ; car on sait de reste qu'elle f *
rien â refuser au noble Sire, qui porta jad's
sa livrée.

« Dès aujourd'hui, la plus grande aniB1*'
tion règne au château d'Alcsuth/HommeS
de loi, fournisseurs, journalistes s'y soCf*J
dent empressés ou curieux. Le contrat da
mariage vient d'être rédigé en quatre exef*'
plaires, deux pour les fiancés, un pour 'eS
archives, un autre pour le ministère des a^
faires étrangères, qui est aussi ministère
la maison impériale. »

Voilà bien des affaires pour un siDflP

i*

« collage » provoqué par les beaux yeu*
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