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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 27.1897

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https://doi.org/10.11588/diglit.6807#0066
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LE GRELOT

LE

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MADRE, administrateur du Grelot, de l'abonner
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11/2- 1 25

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tions spéciales qui leur seront indiquées sur leur
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adresser lettres et valeurs

A M. J. MADRE, 5, oité Bergère,

paris

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départements

DII0INU1LI



i an

6 mois 3 mois

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Charivari avec Petit Rire 84

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'Gazette des Tribunaux.

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'Revue des Deux Mondes 56

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Les personnes qui s'abonnent par l'in-
termédiaire de M. J. MADRE, aux jour-
naux ne figurant pas sur la liste ci-dessus,
peuvent s'assurer le service du Grelot
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line, clous et coins cuivre, titre du journal
en dorure.

bureau i

Journal pour rire. 2 i

Prii au

itrelot............2 75

Caricature........ 2 25

Charivari.........3 »

Courrier français. 2 50
Figaro illustré.... 3 »

Illustration.......2 50

Indiz.desch.de fe~ 2 »
Journal amusant 2 50
Jiurnal illustré-, 3 75

Monde illustré.... 2
Nature............2

Nouvelle Revue..
Rcv.d.Dcux-Mon.
Revue illustrée ..,
Tour du Monde.,
Univers illustré..,
Vie parisienne....

25

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75
50
»
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Souries autre cartons, demander les prix.
P e ur recevoir /» u,nco par colis postal, ajouter :
1 fr. par 1 ou t cartons ; 3 cartons, 1 fr. S5
Atixcsser lettres et mandats à M. J. MADRE,
5 «lté Bergère, Fsris

Carnet d'un Sceptique

chatillon ? soutiens-moi !

C'est l'honorable M. Viviani qui plaide
— pardon 1 — qui parle :

«t II faut enfin faire savoir aux justi-
« ciibles qu'ils sont protégés et aux
« juges qu'ils sont surveillés. Ce devoir
« incombe à la Chambre et il lui appar-
« tient de faire peser sur les coupables
« les châtiments nécessaires. »

Ces belles paroles ont été chatouiller
les fibres les plus secrètes des députés
et ils ont passé à l'ordre du jour suivant :
« La Chambre, reconnaissant les in-
« convénients de l'instruction secrète, et
a confiante dans le gouvernement pour
« faire aboutir le plus tôt possible la ré-
« forme du code d'instruction crimi-
« nelle, etc, etc. »

La Chambre a confiance dans M. Dar-
lan I Elle est persuadée qu'il fera aboutir
le plus tôt possible la réforme 1...
Chatillon? Soutiens-moi! Je défaille!!!

encore le père la pudeur

Il est décidément bien ennuyeux, ce
M. Bérenger. Il veut à toute force dénicher
un théâtre où il puisse conduire ses en-
fants — sans danger pour leurs chastes
oreilles, cela s'entend.

Je ne sais trop si ce théâtre existe;
mais je pense qu'il serait le premier à le
trouver assommant et qu'il y baillerait à
se décrocher la mâchoire.

Bien qu'il me soit arrivé souvent, non
pas de rougir ; hélas ! je ne sais plus rou-
gir, mais de lâcher des « oh ! oh I » indi-
gnés en entendant certaines malpropretés,
mon grand griet contre les théâtres, les
concerts, les cabarets et autres bouis-bouis
plus ou moins littéraires, c'est leur déso-
lante bêtise.

Un peuple, après tout, n'a que la litté-
rature qu'il mérite. Je n'en veux pas aux
auteurs du « Petit Pinson » ou de « En
r'venant de la R'vue », mais bien aux im-
béciles qui ont applaudi de pareilles in-
sanités, j .,. t V..;

Rétablissez donc la censure si cela peut
vous faire plaisir. Faites chanter des can-
tiques dans les caboulots, si vous croyez
que cela puisse faire remonter le thermo-
mètre de notre intelligence.

Par ma foi 1 Si vous faites cela, vous ne
ferez pas peu.

ouf ! ils. sont partis

gp

Ce soupir de'satisfaction m'est arraché
par le départ — hélas 1 de courte durée
de nos législateurs.

On va nous ficher la paix pendant
quelque temps avec le Panama; nos oreil-
les vont pouvoir se désabituer des témoi-
gnages de confiance aussi étonnants que
nombreux dont le Centre a honoré le mi-
nistère.

Allez, Messieurs, allez dans vos dépar-
tements vous reposer des fatigues que
vous eussiez pu essuyer et revenez... le
plus tard que vous pourrez.

Je ne suis pas assez irrespectueux
pour vous diie : ne revenez pas du tout. »

Ce bonheur n'est pas fait pour nous !

obligé de monter AU ciel

Vous devinez, je pense, de qui je veux
parler? De cet excellent M. Jouvencel
qui, ayant toute sa vie dédaigné les ore-
mus, désirait qu'on lui en fit grâce à son
heure dernière.

Le pauvre homme n'a pas eu cette joie,
un prêtre requis par une parente bigote
est venu l'ennuyer de prières en latin
douteux.

Les curés de nos jours ne sont pas des
bêtes, cependant. Comment est-il possi-
ble qu'ils se prêtent à des pantalonnades
encore plus stupides qu'odieuses ? A qui
feront-ils croire que les hommes comme
Littré, comme Jouvencel, qui ont vécu
pendant cinquante ans dans l'inobser-
vance de toute religion, vont subitement
se sentir touchés par la Grâce, à l'heure
précise ou la mort guettant leur corps a
déjà tué leur intelligence?

Sauvez les âmes, messieurs, c'est votre
métier; mais ne les escamotez pas!

NOTRE MARINE

Voici un sujet qui a le don de m'aga-
cer.

J'entends dire partout que notre mari-
ne est déplorablement outillée et je ne
crois pas qu'il soit exagéré de soutenir
qu'elle l'a prouvé d'une façon manifeste
à plus de cent reprises.

Il n'est pas de semaine où un torpilleur
ne se mette à la côte, où une chaudière
ne se refuse à fonctionner, où un steamer
qui tire six pieds d'eau ne s'engage dans
un bassin où il n'y en a que trois.

Tout cela est connu, archi-connu. Tout
le monde en convient, excepté naturelle-
ment le ministre abracadabrant de la rue
Royale.

Et l'on continue à patauger avec con-
viction dans le gâchis traditionnel. Ce
n'est pas agaçant, ce n'est pas révoltant,
c'est exaspérant!

Où est-il celui qui aura le fier courage
de jeter un bon moellon dans le marais
fangeux où coassent, inutiles, ces batra-
ciens présompteux?

ALEA JACTA EST !

Cela devait arriver. Les Grecs et les
Turcs sont aux prises. Alea jacta est!

Ainsi, c'est pour arriver à ce beau ré-
sultat que depuis trois mois les six grandes
puissances font de la méditation à coups
de canons? Elles ont atteint ce but ines-
péré d'être à la fois ridicules et odieuses;
ridicules avec le blême égorgeur de Stan-
boul, odieuses avec les Crétois et les Grecs.

Voilà trois mois que, stupidement, elles
perdent leur temps à faire le tour d'une
petite île, au lieu d'aller imposer leurs vo-
lontés à Yldiz-Kiosk et au Pirée.

A la place de tous les diplomates de
pacotille, un Richelieu aurait donné
l'ordre à sa flotte de franchir les Darda-
nelles pour couper court aux finasseries
d'Abdul-Hamid ; il aurait mis l'escadre
grecque dans l'impossibilité de nuire et
sommé le roi Georges de modérer un peu
son ardeur guerrière. C'eût été l'affaire de
huit jours.

Malheureusement les Richelieu sont
clair-semés, aussi bien chez les autres que
chez nous. On écrit leur histoire, mais on
ne les recommence pas.

Nos vœux sont pour le petit peuple
grec, imprudent peut-être, mais généreux
'■a coup sûr. Souhaitons que la victoire,
la stupide victoire, ne se range pas, cette
fois encore, du côté des gros bataillons

O. Revoir.

En route pour le Paradis

Il est dans la destinée de l'homme de ne pou-
voir jamais faire complètement ce qu'il veut.
Valide, il lui faut compter avec la femme, les
parents, les amis — plus dangereux mille fois
que les ennemis — et surtout avec les chefs, en
possession du t Sésame, ouvre-toi » du tiroir
aux pièces de cent sous. Un tas de gens, enfin,
auxquels il voudrait bien pouvoir dire « Zut I »
mais auxquels il ne dit même pas « Flûte 1 », et
pour cause.

Quand il est malade, c'est bien différent. Son
apparence de liberté se transforme en un asser-
vissement absolu. Puisque nous sommes entre
hommes, nous pouvons bien reconnaître ce
point : Nous nous montrons à l'ordinaire, tyran-
niquement dominateurs avec nos chères moitiés.
Quoi d'étonnant à ce que, lorsque nous som-
mes sur le flanc, dans l'impossibilité de scander
nos ordres autrement que par des « Hélas ! »,
ou des «Oh! là, là 1 », elles profitent de cette oc-
casion unique pour rentrer en possession de
leurs droits et, au besoin, pour s'emparer des
nôtres ? C'est dans notre intérêt, bien entendu.

En voulez-vous un exemple? Il vient de mou-
rir un ancien député, homme fort érudit, et qui
toute sa vie ne s'était occupé de la religion que
pour s'en moquer. C'était ce qu'on appelle un
affreux libre-penseur.

Dans son testament, il avait exprimé le désir
— désir qui eut dû être un ordre — d'être en-
terré civilement et qui plus est, incinéré. Cela ne
faisait pas l'affaire de sa femme et de sa sœur
qui tiennent beaucoup à contempler, dans le
séjour des bien-heureux, la face auguste du Très-
Haut, et qui n'ignorent pas que dans le sé-
jour susdit on ne reçoit pas les mécréants qui
ont l'impudeur, d'une part, de se laisser enfouir
et de l'autre, de se présenter sous les espèces
d'un cornet de tabac à priser.

Voye/.-vous, les hommes ne sont pas des fem-
mes, et réciproquement. N'allez pas croire que
c'est une La Palissade que je lâche ; je parle

très sérieusement. Vous suivez mon rais"
ment n'est-ce pas ? Très-bien ! Donc, l'boni

en parfait égoïste qu'il est, ne se préoccupe <1
de lui. Tl se dit: « Je ne veux pas aller au C1„,,

On doit s'y embêter. Je préfère l'Enfer. ».
bien ! Et sa femme ? Alors, l'homme irait n
1er en Enfer et la femme se mortondrait à reg

0

03e

ça doit être récréatif? Pendant quelque iet0^
je ne dis pas, mais ad vitam eternam... c'est
peu long. .

L'évangile a dit—il me semble bien que ceft
dans l'évangile? Enfin, j'ai lu cela quelque p* ^
— « Que l'homme donc ne sépare pas ce 1 (
Dieu a uni • Re-donc, la femme a parfaiten^
le droit de ne pas vouloir aller à gauche, qua".
son homme va à droite. Elle veut bien cot>\
lempler le Très-Haut, mais elle veut aussi O"'
templer son mari. D'ailleurs, ils se sont cb'
maillés dans ce lieu d'iniquités qu'on apPÊ J
la terre, ils doivent pouvoir continuer à se
dre de bec dans cet océan de félicités qu°
dénomme le ciel.

Vous suivez toujours
s'pas ? La femme se dit : a Voilà mon
qui bat la campagne, c'est le moment ou js

mon raisonneffl^'j

de lui faire
âme

comprendre qu'il doit sauver '

Et elle appelle un prêtre. Et le Pr
vient; il fait mieux : il accourt. Et il n'a p«s %
peine à persuader à ce moribond, qui ne s8',
ni ce qu'il dit ni ce qu'il fait, qu'il lui faut fe'
nier en cinq minutes les idées pour lesque'1'
il a combattu pendant plus de soixante a"*'
Alors, le prêtre extréme-onctionne ce trois-quar .
de cadavre; puis, il se retire joyeux ; il a saUv
une âme 1

Et le monsieur n'a plus qu'à monter droit s1*
ciel, où il pourra tout à son aise contemp1^
éternellement la face du Très-Haut — ce 1u
fera joliment plaisir à tous deux — et mada*
pourra se dire dans la tranquillité de sa O»5^
cience : « Au moins, nous ne serons pas sép'*
rés dans l'éternité ; nous nous retrouverons '
haut ! »

Parbleu ? Il ne doit guère y avoir, dans 1* ir
meuse vallée de Josaphat, que trois ou qu*'r
cent milliards de bien-heureux.

Ce serait bien le diable s'ils ne se renco11'
traient pas !

P. Dahin.

Chronique buissonnièrt

On dirait du « vaux »

« La première chambre du tribunal "H,
présidée par M. Baudouin vient de statu6'
sur le procès intenté par le baron de V»u*
contre le préfet de police à la suite de la
sie de deux cent mille portraits du duc d'O1"
léans effectuée dans les premiers jours d'"c'
tobre.

« Le tribunal donne gain de cause *u
baron de Vaux. »

Nous nous inclinons avec le plus prof"0
respect devant la chose jugée, si consola^6
pour ce pauvre baron, qui pleurait comme u^
Vaux la perte de ces deux cent mille GaM**'
les; mais nous protestons — dans notre f°
intérieur — contre ks termes mêmes de °e
jugement réparateur :
. « Que, dès lors et sans qu'il y ait lieu ^
rechercher si de Vaux est devenu propr' ';
taire de ces portraits, qui lui ont été veu0^
en compte et ne lui ont pas été livrés, .
préfet de police doit les lui restituer et, *'
cette restitution n'est pas possible, lui
payer la valeur ;

« Par ces mots et considérant que les
ches saisies, ornées d'un portrait dénué *

V

I

tout caractère artistique, n'ont pas de
marchande, le tribunal condamne le pr'

de police, à défaut de restitution des P
traits, à payer la somme de S francs, rep

or


et

sentation de leur valeur ; il le condamne
outre, au franc de dommages-intérêts réd*
mé par le demandeur. »
S'il est permis de déclarer ainsi, au

VI
1

de la loi, que la poire de S. M. Philippe
t est dénuée de tout caractère artistique

O Philippe! ô mon Roy!

Permets à ton humble sujet de ne P
laisser impuni ce crime de lèse-Majesté;
que ma plume vengeresse en fasse justi6*
son tour.

Oser ajouter que ces reproductions de 10
faciès Auguste — du cirque Molier — « n'olJ
pas de valeur marchande » alors qde
chalets de nécessité se les disputent à p'
d'or pour les enchâsser dans leur ca"
naturel :

Le duc d'Orléans ressemble à son père,
Son père à sa mère et sa mère à mon..-

Curieux que vous êtes, vous ne le saur
pas; et je garde pour moi ce trait de ress«
blanc*.

Mais c'est égal, évaluer à la somme rl
cule de « s francs s la valeur représenta1^
de 200.000 effigies royales de l'héritier de
famille qui réclamait 40 millions àlaFraDc
au lendemain de ses désastres, — afin de
soustraire à l'avidité des Prussiens, 1u!blJ
rançonnaient — c'est bien digne d'un tri
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