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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 27.1897

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LE GRELOT

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LE

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MADRE, administrateur du Grelot, de l'abonner
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'Correspondant..........35

'Courrier Français...... 25

•XIX' Siècle............. 24

Droit................... 64

•Echo de Paris........... 24

Evénement.............. 24

'Estafette................ 24

'Figaro illustré..........36

'Figaro.................. '5

'France...............■. • *0

'Gaulois................. 54

'Gazette des Beaux-Arts. 64

Gazette de France...... 66

'Gazette des Tribunaux. 72

Gil Bios................ 60

'Illustration............. 36

'Intransigeant........... 28

'Jour.................... 32

•Journal................. 24

Journal des Débats...... 50

Journal officiel.......... 40

'Justice..................20

•Liberté.................. 48

'Libre Parole............. 24

•Matin................... 40

•Monde illustré.......... 24

Monde moderne.........20

•National................ 52

•Nouvelle Revue,......... 56

•Paix.................... 24

•Paris.................... 40

Patrie................... 24

Petit Journal........... 24

•Petites Affiches.......... 45

Petite République....... 24

•Radical................. 25

•Rappel.................. 20

'Revue illustrée.......... 36

'Revue des Deux Mondes b6
'Semaine financière...... 12

Siècle.................... 30

'Soleil................... 25

Temps................... 68

'Tour du Monde......... 26

Univers................. 40

Vie parisienne.......... 30

'Voltaire................. 20

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Figaro illustré.... 3 »

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indir,. des ch. de fe • 2 »
Journal amuanl 2 50
Journal illustré,. S 75

Journal pour rire. 2
Monde illustré.... 2
Nature............2

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5 «lté Bergère, Parla

Nouvelle Revue...
Rev.d.Deux-Mon..
Revue illustrée ...
Tour du Monde..
Univers illustré...
Vie parisienne....

Carnet d'un Sceptique

guillaume et nicolas

Il nous arrive souvent, au Grelot, de
recevoir de nos fidèles lecteurs des ren-
seignements, des avis, des conseils
même, qui nous sont d'autant plus pré-
cieux qu'ils sont une preuve de la com-
munauté d'idées qui nous lie et aussi un
encouragement à persévérer dans la voie
que nous nous sommes tracée.

A propos de l'effroyable catastrophe de
la rue Jean-Goujon, un de nos aimables
abonnés nous écrit que, dans son petit
cercle de province, on s'est montré
surpris du télégramme chaleureux de
Guillaume — que l'on ne pouvait faire
autrement que d'approuver — mais que,
par contre, on n'a été qu'à moitié étonné
de la lenteur que notre grand ami Nico-
las a mise à nous adresser, par l'organe
de M. Mouraview, des condoléances étri-
quées.

« Ah ! s'écrie notre correspondant, s'il
s'était agi d'un emprunt!... »

Il n'est pas question de politique — du
moins, je ne veux pas la faire intervenir
ici — mais de sentiment. Un épouvanta-
ble malheur met Paris en deuil; les pre-
miers qui nous envoient leurs témoigna-
ges de sympathie sont l'empereur alle-
mand, notre ennemi de demain, qui a été
presque affectueux — les mauvaises
langues disent qu'il a une envie folle de
venir nous voir en 1900 et peut-être
avant, ce qui expliquerait... ; enfin, il a
toujours été affectueux — et l'Angleterre,
noire vieille adversaire, dont l'attitude à
été touchante. Quant à Nicolas, notre
allié qui, il y a trois mois, parlait avec
enthousiasme de Paris, la ville idéale, il
ne s'est décidé que très tard, trop tard a
mon sens.

C'est une leçon que Guillaume a donné
à Nicolas.

Et à nous aussi, j'espère.

u nprêtre ne peut être qu'un prêtre

Puisque je viens de parler du Bazar de
la Charité, c'est le moment de dire un mot
de l'étonnante allocution du P. Ollivier.

i C'est pour racheter les fautes, les
« erreurs auxquelles notre siècle se
« laisse trop souvent entraîner, que ces'
« victimes innocentes ont été sacrifiées
« — Et pendant que d'abominables exci-
« tations travaillent à creuser un abîme
« entre les riches et les pauvres, les dou-
« ces et pures âmes, etc. »

J'arrête ici la citation. Si je ne me
trompe, cela veut dire en français vul-
gaire, que Dieu n'a rien trouvé de mieux,
pour punir les républicains, que de faire
brûler cent cinquante pauvres femmes
royalistes.

11 est bien aimable, le bon Dieu !

Ah! que les passions politiques font
dire de sottises.

Quelle différence avec les nobles paro-
les de M. Barthou. Celui-ci a parlé comme
un homme ; l'autre, comme un prêtre.

Un prêtre, quoi qu'il fasse, ne peut
être qu'un prêtre.

le duc d'aumale

Je ne suis pas orléaniste et je ne me
sens même aucune envie de le devenir;
ce n'est pas une raison, cependant, pour
ne pas rendre justice aux qualités émi-
nentes du prince qui vient de disparaître.

Colonel à quinze ans, ce que je trouvais
d'ailleurs absurde, il avait crânement fait
son devoir au feu, ce dont j e lui savais gré,
car la peau d'un prince royal n'offre pas
plus de résistance à une balle ennemie
que la peau d'un butor. Aussi lorsque en
1896 le gouvernement le fit rayer des
cadres de l'armée, je ne pus m'empêcher
de plaindre les républicains assez naïfs
pour croire qu'on efface d'un coup de
plume un fait d'arme comme la prise de
la Smala. On doit être juste avec tout le
monde, et de préférence avec ses enne-
mis politiques.

Aussi peu orléaniste que possible, sur-
tout par l'emploi intelligent qu'il faisait
de son immense fortune, le duc avait à
mes yeux une grande qualité : il aimait la
France par dessus tout.

C'est pourquoi le vieux républicain que
je suis, salue respectueusement sa mé-
moire.

la lèpre

Il paraît que nous n'aurons pas cette
aimable maladie à Paris, et je ne vous
cache pas que cela me fait un sensible
plaisir. Cependant, nous possédons un
lépreux authentique qui se promène bien
tranquillement dans les jardins publics, au
grand effroi des mamans en puissance de
bébés.

Nous ne sommes plus au moyen âge où
l'on... sapristi ! Il me semble que cela me
démange !... où l'on claquemurait les
malheureux atteints de cette atroce affec-
tion.

Le temps a marché, Dieu merci! La
lèpre ne nous fait plus peur; un de ces
quatre matins, on dér.ichera son microbe
et alors, elle n'aura qu'à se bien tenir.

En attendant que le microbe soit déni-
ché, les habitants de la rue de Fleurus
—quisontunpeuta/e«?\y—évitent de pas-
ser du côté des numéros impairs, afin de ne
pas se frotter contre le lépreux en ques-
tion.

Tout ça — comme dit notre confrère
Paul Gégnon — c'est des bêtises. Je suis
assez de cet avis; cependant je m'ar-
rangerai pour ne pas aller me promener
dans ce quartier.

J'ai déjà envie de me gratter; qu'est-ce
que ce serait alors?

quel four!

Dans le dernier numéro du Grelot, mon
confrère P. Darin émettait des doutes sur
la réussite de la souscription ouverte par
le comité «pour la Grèce », et il s'écriait :
« Que récoltera-t-il? Quelques cent mille
francs? »

Ah, bien oui! en sept jours, les vingt-
sept journaux qui ont lancé l'affaire ont
réuni le chiffre respectable de dix-huit
mille francs.

Quel four!

Le Droit, la Justice, a Civilisation, la
Liberté, l'Humanité ne sont-ils que des
mots vides de sens que notre société bour-
geoise ne comprend plus! Je ne veux pas
répondre.

Mais lorsque je compare le résultat mi-
nable avec les 750.000 francs que la
souscription du Figaro a récoltés en trois
jours, je ne puis m'empêcher de trouver
que les journaux associés n'ont pas lieu
d'être bien fiers de la générosité de leurs
clients.

pauvre grèce

L'armée grecque écrasée n'a même pas
pu tenir à Pharsale ; elle se replie sur sa
dernière ligne de défense, qu'elle sera
sans doute impuissante à conserver. C'est
l'écrasement final.

Pauvre Grèce !

Le sultan rouge triomphe. Le sang des
Grecs lavera le sang des Arméniens dont
ses mains étaient teintes. La victoire lui
refera une virginité.

La stupide victoire efface tout, même
la honte !

O. Revoir.

A PROPOS

Du Bazar de la Charité

Je ne puis, hélas! apporter ici qu'une émo-
tion vieille de huit jours, c'est-à-dire quelque
peu refroidie. Que pourrais-je d'ailleurs, écrire
que nos lecteurs n'aient lu déjà cent fois sur
cette lamentable affaire du Bazar de la Charité ?
C'est un des fâcheux côtés de la presse hebdo-
madaire, de ne pouvoir, . dans le plus grand
nombre des cas, causer des événements que
lorsque tout le monde en est saturé.

Il y a pourtant un enseignement à tirer de
cette catastrophe encore plus stupide que na-
vrante et bien que les enseignements ne servent
pas à grand'chose dans notre beau pays de
France, il me paraît nécessaire d'y insister.

Comment e*t-il possible qu'un établissement
appelé à recevoir, le cas échéant, mille ou
quinze cents personnes soit construit de tell*
sorte qu'en dix minutes il n'en reste plus rie° ■

Ce serait le comble de l'inepte s'il s'agissait
d'une exception, c'est chose toute naturelle, aP'
paremment, puisque tous les établissements
similaires sont dans le même cas.

Il m'est arrivé vingt fois, me trouvant daDs
une salle de concert ou de théâtre, de me d*'
mander in petto comment je ferais pour ffle
sauver si le feu éclatait au cours de la repré'
sentation. Et vingt fois — pas une de moins -"
j'ai été obligé de me répondre que, très vrai'
semblablement, je ne pourrais pas me sauver
du tout.

Je sais très bien que cette perspective peU
attrayante n'empêche personne — moi le pre-
mier — d'aller s'enfourner dans ces boîtes â
asphyxie. « Personne » se dit : « Bah ! Le feU
n'éclate pas toujours; et puis, on a dû prendre
des mesures de précaution. » Le feu n'éclate pas
toujours, c'est vrai, et c'est bien aimable à lui :
quant à on... elles sont jolies les mesures qu'il
prend.

Au lendemain du navrant incendie de I'Opéra-
Comique l'Autorité —c'est le on en question H
rendit un tas d'arrêtés : « Suppression des stra-
i pontins, des petits ban s et des vestiaires;
o ouvertures de nouvelles portes pour faciliter
« les dégagements; création d'une allée centrale
« à l'orchestre, etc., etc. »

Le public respira. C'est si bon de se sentir
protégé par des règlements intelligents. Il fal-
lait jadis trois minutes ponr vider entièrement
une salle de spectacle; maintenant, on aurait
au moins une deoM-heure devant soi; le temps>
une fois le signal d'alarme donné, de faire on
bézigue en deux mille et de s'en aller tout doU'
cettement les mains dans les poches.

Oui, mais voilà! huit jours après, les petit*
bancs, les strapontins et les vestiaires sortaient
de l'ombre où ils se tenaient cachés, timidement
d'abord, audacieusement ensuite ; l'allée de l'or-
chestre se rétrécissait jusqu'à disparaître el le»
nouvelles portes se fermaient pour ne se plu»
rouvrir. Les règlements, comme Lucrèce, ai-
ment à être violés.

Quel est le coupable? Le coupable, c'est nou»
tous. L'Autorité, qui fait des règlements et r>e
s'embarrasse plus ensuite de savoir s'ils sont
observés ou non j les directeurs de théâtres,
qui ne songent qu'à une chose : empiler le plu»
possible de spectateurs ; et nous, stupides mou-
tons de Panurge qui, arrivant tard dans une
salle déjà pleine, irions nous asseoir au besoin
sur la boite du souffleur afin de ne rien per-
dre d'un opéra ou d'un drame que nous pour-
rions aussi bien voir une autre fois tout à notre
aise.

Et quand éclate soudain ce cri effroyable :
« Au feu! » la foule affolée se rue par des al-
lées qui n'existent plus et des couloirs où l'on
ne peut marcher que deux de front, se heur-
tant à des portes qui ne s'ouvrent pas_ou q0'

s'ouvrent en dedans.

En vérité, sommes-nous donc condamnés 4
commettre éternellement les mêmes fautes?Le*
rudes leçons du malheur ne nous serviront-
elles jamais à rien? Après l'Opéra-Comique, ie
Bazar de la Charité. C'est trop !

On me dit que l'architecte, chargé par 'a
Préfecture de police de vérifier si ce dernier
établissement ne présentait aucun danger pour
la sécurité publique, le condamna nettement
dans son rapport. Et on l'a laissé s'ouvrir tout
de même !

Si le fait est vrai— et j'ai bien peur qu'il 1*
soit — ce n'est pas imbécile, ce n'est pas stu-
pide, c'est odieux !

P. Darin.

Chronique buissonnière

Après l'autodafé

Quand on voit ce qu'il est advenu du Ba-
zar de la Charité, immédiatement après que
le nonce eut appelé sur lui la protection dl
Très-Haut, on frémit en songeant à ce que
nous réserve l'intercession du Pape lui-
même auprès des puissances célestes! car lfl
doigt de Dieu - quand ses ministres l'in-
voquent — n'y va vraiment pas de mai»
morte ! Et si c'est ainsi qu'il traite ses fidè-
les et pieuses zélatrices, il faudrait avoir
positivement les vertus théologales chevil-
lées dans l'âme pour ne pas convenir avec
nous que ce bon Dieu ne vaut pas le dia-
ble 1... dont il usurpe ainsi les fonctions in-
fernales.

Aux dernières nouvelles, on annonce que '•

f Le gouvernement demandera un crédit
aux Chambres pour lui permettre de distri-
buer des seteours aux familles nécessiteuses
qui auraient été atteintes par la catastro-
phe. »

Cette initiative ne peut manquer de tou-
cher et de réconforter plus particulièrement
l'une d'elles — la plus connue — qui avai1
déjà récolté une quarantaine de million*1
dans le désastre national de l'Année terri-
ble. A quelque chose malheur est bon.

Ne serait-ce qu'à nous prouver, une f°is
de plus, la sollicitude et l'ardente symPa'
thie de notre grand ami — malgré nous -f
Guillaume IIe du nom, dont voici le télé-
gramme de condoléances :
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