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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 27.1897

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https://doi.org/10.11588/diglit.6807#0102
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LE GRELOT

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'Echo de Paris........... 24 » 12 »

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"Gouiois................. 54 > 27 »

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Gazette de France...... 66 » 35 »

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'Illustration..............36 » 18 »

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•Monde illustré----...... 24 » 13 »

Monde moderne.........20 » 10 50

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•Paris.................... 40 » 20 »

Patrie................... 24 » 12 »

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Siècle.................... 30 » 15 »

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Univers................. 40 » 21

Vie parisienne.......... 30 » 16

•Voltaire................. 20 » 10

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7 50

18 75

6 •

13 50

» »

18 »

18 »

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9 •

8 »

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6 25
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11

50

««IMfOHHI

6 mois

18 »

45 »

n »

16 50

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20 «
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» »

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36 »
15 »
26 50
18 60
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Rev.d.Deux-Mon.. 1 75
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Carnet d'un

ique

au pays des dollars

Nous avons une Administration qui
fait, à ia fois, notre orgueil, et noire dé-
sespoir, notre orgueil parce que l'Eu-
rope nous l'envie — ce qui est très flatteur
— et notre désespoir, parce qu'elle est
tracassière et sotte. Nous ne nous gê-
nons pas pour en rire. Éh bien! peut-être
avons-nous tort.

« On peut toujours trouver un plus bète que soi »

a dit à peu près un poète. Ne vous
récriez pas; si impossible que cela pa-
raisse, cela est cependant. L'Adminis-
tration américaine a trouvé le moyen de
dépasser l'Administration française. Elle
s'est laissé chiper quatre canons, devrais
canons, bien entendu.

Mais elle s'en est aperçue... six mois
après, alors que ces gueules de bronze
habituées à cracher la mitraille s'étaient
métempsycosées en chandeliers.

Allons I décidément, il n'y a pas que
chez nous que l'on fait des ânerics, et
cela me console.

le monument de saint-quentin

On vient d'ériger un monument pour
glorifier l'héroïque résistance de l'amiral
de Coligny et des Saint-Quentinois
en 1557.

Ce n'est pas moi qui dirai, comme dans
la chanson : « Trop d'estatues j». Il n'y a
jamais trop d'estatues.

Il est absolument indispensable de rap-
peler aux masses, ces grandes idées de
dévouement, de sacrifice, d'abnégation,
qui étaient l'apanage de nos pères.

Au jour du danger, nos petits-neveux
regarderont le bronze de Chose ou de
Machin et ils se diront : « Il s'est fait
tuer pour la patrie ; nous allons nous faire
tuer aussi. » Et ils se feront tuer... ou
bien ils prendront le train pour Bruxelles.
Ça dépendra.

Je ne puis, bien entendu, savoir ce que
feront les générations futures. Je suppose
que c'est pour elles qu'on élève ces beaux
monuments.

Nous auties, nous n'en avons pas be-
soin, Dieu merci !

le « citoyen » léon xiii

Il y a des choses que l'on devine, que
rôti -pressent, en quelque sorte. On se
dit : « Je m'y attendais. » N'empêche qù",
lorsqu'elles arrivent, on est tout de même
agréablement chatouillé.

Je ne me figurais pas Léon treizimus au.
trement que comme un républicain ardent
et convaincu et je pensais : « Il n'ose pas
se déclarer. »

Eh bien ! il s'est déclaré. Le Rubicon
est franchi. Je suis, ému que vous n'en
avez pas idée.

« Les catholiques français ne doivent,
« ni directement, ni indirectement, com-
« battre le gouvernement constitué. Us
« doivent, au contraire, se placer sur le^
« terrain constitutionnel et légal pour
« obtenir l'union compacte de leurs for-
er ces, pour enlever à leurs adversaires
« tout motif de les signaler comme des
« ennemis des institutions. »

Osservatore Romano, ma chère, vous ne
sauriez croire quelle joie immense a en-
vahi mon cœur de républicain lorsque
j'ai lu cette note dans nos colonnes. Ex-
cellent Léon treizimus !

Ainsi M. de Mun — que l'on signalait,
bien à tort, comme un ennemi de nos ins-
titutions — va se placer — se replacer,
veux-je dire, sur le terrain légal.

Plus de royalistes, ni d'orléanistes;
tous républicains... sincères.

Quel triomphe pour la République !

Mais, ce que cela va embêter M. Mé-
line I

a propos des grèves

Je ne suis pas très partisan des grèves;
ou plutôt, je n'en suis pas partisan du
tout. Dix-neuf fois sur vingt, les ouvriers
se font exploiter par des farceurs et ce
sont toujours eux, en fin de compte, qui
paient les pots cassés.

Ce n'est pas une raison, toutefois, pour
ne pas les plaindre lorsque, manifeste-
ment, ils sont bernés par leurs patrons
et... par les ministres.

Ls gouvernement que nous avons le
bonheur de posséder — polisson de bon-
heur! n'en est plus à compter ses gaf-
fes ; cependant, il m'est avis que celle que
vient de lâcher l'honorable M. Turrel est
d'une taille monumentale.

Toujours plein de sollicitude pour les
ouvriers en général, et pour ceux de la
Grand'Combe en particulier, M. Turrel
déclarait l'autre jour à la Chambre, qu'il
s'efforçait de trouver du travail, dans une
autre contrée, aux mineurs congédiés.

— « Vous avez cependant dit tout le
« contraire en ma présence dans votre
« cabinet», lui répondit M. Doumergue.

Cet excellent M. Turrel dirait, sans le
faire exprès, le contraire de la vérité.

Une fois de plus ou de moins!...

fatale grande cascade

M'sieur l'Président n'approchez pas
D'ia grande cascade du bois d'Boulogne!

Il me semble bien que j'ai entendu
jadis quelque cli03e de proximalif dans
une romance.

Dimanche dernier, le Président de la
République, se rendant au Grand-Prix,
a été accueilli — suivant l'usage — pqr
un coup de pistolet, ou par l'explosion
d'un pétard, je ne sais pas au juste. Je ne
dis pas « suivant l'usage s» par irrévé-
rence, mais simplement pour constater
un fait. 11 n'y a plus de Grand-Prix pos-
sible sans attentat : ça fait partie d'une
fête.

M. le Président de la République, heu-
reusement n'a pas été touché. La foule
ne pouvant écarteler le meurtrier, qui
avait pris le largô, a assommé à sa place
un pauvre diable d'agent de la Sûreté
qui n'en pouvait mais. L'essentiel était
qu'elle assommât quelqu'un.

Ça aussi, ça fait partie de la fête.

chantilly

Il y a quelques jours, le hasard me lit
passer devant ce magnifique château de
Chantilly, que le duc d'Aumale a jeté si
royalement dans les jambes de l'Institut,
et l'anecdote suivante me revint à la
mémoire :

Le grand Condé venait d'achever la
restauration du château ; il eut l'idée de
faire placer une inscription au-dessus de
la porte d'entrée et offrit mille écus au
poète qui écrirait la meilleure. Voici celle
qui obtint le prix :

Pour célébrer tant de vertus,
Tant de hauts faits et tant de gloire,
Mille écus, morbleu, mille écus,
Ce n'est pas un sou par victoire.

Le prince paya, mais il ne fit pas usage
du quatrain, le trouvant sans doute un
peu trop élogieux.

O. Revoir.

Encore le feu

Il s'en est fallu de peu dimanche dernier,
à Neuilly, que nous ayons une seconde édi-
tion du Bazar de la Charité. Heureusement,
le bon Dieu s'est aperçu à temps qu'il n'y
avait là que des pignoûfs et il s'est ravisé.
Il attendra, po«r donner une autre leçon à
la France républicaine, cru'il y ait beaucoup
de dames chics réuiiies dans le même en-
droit.

Cette manière de corriger Paul, en assom-
mant Pierre, n'est pas pour me causer du
déplaisir, bien entendu ; je la trouve, d'ail-
leurs, parfaitement logique. Chacun pour soi.

Les « jungles » de Meudon

J'ai lu, comme tout le monde, l'odyssée de
ce tigre altéré de sang, échappé d'une ména-
gerie et qui répandait la terreur dans les
jungles du bois de Meudon.

Et ^'ati frémi. J'ai même d'autant plus frémi
que je vais souvent dans ce bois — non pour
y cueillir des fraises, je ne peux pas les di-
gérer, mais pour m'y promener — et je me
voyais, au détour d'une allée, la pipe à la
bouche et l'ombrelle à la main, me fourrant
le nez sur cette vilaine bète. Brrr!

Ce n'est pas que j'aurais eu peur. Au Grelot
nous n'avons peur de rien. De même que
Guzman, nous ne connaissons pas d'obstacles.
Mais vous conviendrez que ce n'est pas
agréable.

Eh bien! maintenant, je ne frémis plus,j°
bisque. On s'est fichu de nous. Le tigre
n'était pas un tigre; c'était un chat, un
simple chat. Ainsi, c'est pour un chat q"e
j'ai frissonné et que j'ai serré... les dents. O
mystification inepte, mais réussie. Car, il n'y
a pas à dire, j'ai co jpé dedans en plein.

Mais on ne m'y prendra plus, je le jure.
On viendrait me diro qu'on a péché une
baleine dans le passage du Saumon, que je
ne le croirais pa3 !

Fichu métier

... Et auquel, si j'avais le choix, je préfé-
rerais de beaucoup celui d« Président de 1»
République — les jours ou il n'y a pas de
Grand Prix, bien entendu.

Un monsieur se présente au commissa-
riat : « — M. le commissaire, je crois que je
le suis! Ma femme me... trompe avec un
grand brun. Venez avec moi pour constater
le flagrant délit... »

— Pan ! Pan ! Au nom de la Loi.

— C'est loi qui vieûs me relancer, gredin I
s'écrie la petite femme furieuse. Tiens ! &
saisissant une cassolette, pleine à bords
d'un mélange odorant, elle la lui flanque aU
nez.

Le mari saisit d'horreur, s'écarte brusque-
ment et découvre le magistrat qui... écope
du haut en bas.

Le piquant de l'affaire, c'est que la petite
fafâmme était, par extraordinaire, toute
seule... avec sa casolelte.

Pas veinard le mari ; ni le commissaire
non plus.

Décidément, non : le métier de commis'
saire de police, ne me plairait pas.

La justice, il n'y a que ça

On vient de juger une demoiselle Gélard,
qui s'était donné la tâche d'émoustiller les
vieux libidineux. Elle leur louait des petites
filles moyennant une honnête rétribution-
La justice qui ne plaisante pas sur ce cha-
pitre, a puni cette femme de huit mois de
prison ; une des fillettes — une gaillarde qui
promet, par parenthèse — sera enfermée
jusqu'à sa majorité; quant aux vieux libidi-
neux, ils ont été condamnés...

Sui--je bète! Qu'est-ce que je dis donc'?
Ils n'ont pas été condamnés du tout, ni
môme arrêtés. Voyons ! Des messieurs très
bien... On ne peut pas les mettre en prison!
ce1 a n'aurait pas le sens commun.

Ce n'est pas pour des prunes que l'on a
donné comme attributs à Mme Thémis, des
balances pour peser les crimes et un glaive
pour les punir.

P. Darin.

Chronique buissonnière

Le chant du départ

Ça se complique.

On assure, dans les hautes sphères diplo-
matiques internationales, que Guillaume #
ne rendra au Tsar sa visite de Breslau, q«e
lorsqu'il sera positivement fixé sur levoyage
de Félix Ier en Russie.

Il s'arrangerait alors pour faire coïncider
son apparition à la cour moscovite, avec 1*
présence de notre Président; afin de ban-
queter et de trinquer ensemble à la germa-
nisation de l'Alsace-Lorraine... et à la santé
d'Hanotaux ! qui fait si bien ses affaires -~
pas à l'Alsace-Lorraine, à sa germanisation,
dont il évite, avec le plus grand soin, de
troubler l'œuvre, en s'attelant (comme un.-«
ministre qu'il est) à la remorque de la chan-
cellerie allemande, partout où elle a besoin
de renfort.

Selon une autre version, le KaiserlocM
méditerait de n'aller à St-Pétersbourg'
qu'après le départ de S. M. Faure, dans Ie
but de détruire ou d'atténuer l'effet produi1
par l'hôte de l'Elysée sur le monarque et les
classes dirigeantes russes.

En cette prévision, le grand Chef deS
casques-pointus — qui adore les coups de
théâtre et les changements de costumes —'
s'exercerait en secret au port officiel du
« sifflet d'ébène » à l'incrustation du monocle
sous l'arcade sourcilière et à son maintien
par l'action du nerf zigomatique, en même
temps qu'à l'exhibition de guêtres blanches
irrésistibles.

Ces trois séductions franco-présidentielle3
annihilées, Guillaume — qui n'est pas man-
chot du torse, de l'œil, ni des pieds — 80
flatte que le patron de Méline et d'HanotaU*
en sera pour ses frais de voyage et pour la
perspective (Newsky) du nouvel emprun1
roublard qui en sera l'inévitable consé-
quence.

Si M. Félix Faure était superstitieux, ^
tirerait d'ores et déjà un fâcheux augure <*é
ce fait que

M. Philippe Crozier, directeur du protocole
est obligé de garder la chambre, par suite d'u"6
légère foulure au pied.

Juste retour, Monsieur, des choses d'ici-bas !

Votre Protocole a si souvent « foulé la rate »
de vos contemporains! Gageons que la ft»u'
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