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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 27.1897

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https://doi.org/10.11588/diglit.6807#0170
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LE GRELOT

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1 75

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3 a
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Carnet d'un Sceptique

il pleut des discours

M. Barthou a parlé, M. Mesureur a
parlé; M. Poincaré a parlé; M. Méline a
parlé... Que de discours, mon Dieu! Et
dire que Jean Bonhomme n'en est pas
plus renseigné pour cela. Il est vrai que
s'il lui fallait prendre tous les ours qu'on
lui offre !...

Oserai-je dire que je ne suis pas
beaucoup plus savant que Jean Bonhom-
me? Je vois bien que nous sommes en
péril; mais où est-il ce péril? M. Barthou
le place à gauche et M. Mesureur à droite,
Gageons qu'il viendra un troisième...
compère, qui nous le fera voir dans le
milieu?

Au surplus, je ne crois pas qu'il soit
besoin, à cause de cela, que nous nous
tapions la tête contre les murs. Que nous
allions à gauche, à droite, ou... autre
part, nous n'en serons pas moins Gros-
Jean, comme devant.

Je ne sais pas si c'est que je deviens
vieux, mais je constate que je tourne ma-
festementau résigné. La philosophie, en
politique, est le commencement, sinon
de la sagesse, tout au moins du j'menfi-
chisme.

la politique du ministère

Vous avez lu très certainement le dis-
cours-programme du président du Con-
seil. Je ne veux m'occuper, ni du fond
qui est des plus important, ni de la forme
qui est excellente; je veux simplement
faire cette remarque : j'ai souffert, en le
lisant, de la gêne que devait éprouver
cet homme à s'efforcer de prouver qu'il
ne gouvernait pas avec la droite.

C'est, en vérité, un singulier métier
que celui de chef de gouvernement. Quel
stoïcisme ne faut-il pas pour s'obstiner à
démontrer à des électeurs, qui ne sont
pas tous des bêtes, que deux et deux
font neuf? Il y a, chez ces gens-là, com-
me une sorte de dilettantisme à défendre
une cause qu'ils ont voulue absurde;
dilettantisme, il est vrai, qui n'exclut
pas l'aplomb.

En France, on aime les gens qui se
moquent du tiers comme du quart ; leur
crâneriefait oublier leur... —je ne puis
pas mettre canaillerie, ce ne serait pas
parlementaire — leur... effronterie.

Ah! s'il lallait compter les vessies que,
depuis trente ans, on nous à fait prendre
pour des lanternes... Mon espritefïrayé se
refuse à tenter ce calcul.

une paire d'amis

Guillaume deux ou trois —j'avoue que
son numéro m'est parfaitement inférieur
— est décidé, dit-on, à aller pélenner à
la ville jadis sainte où le fils de Dieu a
souffert pour notre vilaine espèce hu-
maine. Il doit, en route, s'arrêter quel-
ques instants auprès de son excellent
cousin Abdul.

Quelle jolie paire d'amis! Et qu'ils sont
bien faits pour se comprendre ! Guillaume
jurera par le sabre de son grand-père et
Abdul par le cimeterre du prophète —
deux lames passablement > tachées de
sang humain,

Les Arméniens, s'il en reste, vont
frissonner de peur, et les cabinets euro-
péens, bernés par ces deux croquemi-
taines, se demanderont anxieusement
quelle mistoufle va leur être infligée.

Napoléon — le grand — a lâché un jour
cette grosse bêtise : « 11 n'y a plus de
Pyrénées », et il.y a toujours des Pyré-
nées. Moi qui ne suis ni Napoléon —
heureusement — ni grand — hélas! —
je me garderai bien de dire : « Il n'y a
plus d'Europe » ; mais je trouve qu'elle a
bigrement chanté faux dans le dernier
« concert ».

Guillaume l'Agité et Abdul l'Épileptique
ont mené les violons, pendant que nous
dansions... devant le buffet.

si le jury n'existait pas...

.. .11 faudrait se garder de l'inventer,
car, en vérité, il abuse depuis quelque

temps du droit que la loi lui a conféré
d'acquitter à hue et à dia.

Un mari séparé de sa femme s'était mis
en tête de reprendre la vie commune. Il
se dirige vers le domicile de sa légitime,
porteur de cet argument irrésistible,
quoique bruyant, qu'on appelle un revol-
ver. Dans la rue, il va donner du nez sur
son épouse et sa belle-mère et leur dis-
tribue équitablement les six balles de
plomb dont il s'était muni.

Les deux femmes n'en sont pas mortes,
il est vrai; mais cela prouve qu'elles
avaient la vie dure et non pas que
l'homme avait eu raison de les pisto-
letter. Eh bien! on l'a acquitté; j'avoue
que je ne puis digérer cela.

Il faudrait pourtant s'entendre. A-t-on
le droit de tuer safemme,wui-z-ou non ? un
jour, on acquitte, le lendemain, on con-
damne. Il n'y a donc pas de tarif? Nous
avons besoin d'être fixés, que diable!

J'ai comme une idée que ces aimables
ahuris de jurés ne seraient pas fâchés de
savoir, à l'occasion, ce qu'ils doivent
faire.

les conseils de guerre

Napoléon — pas le grand — sortit un
jour du Droit pour rentrer dans la Léga-
lité ; j'en sors pour rentrer dans les con-
seils de guerre, qui sont peut-être la lé-
galité, mais où les choses se passent à
peu près aussi intelligemment.

On vient déjuger à Tunis deux soldats
du 4e bataillon d'Afrique, accusés de
refus- d'obéissance. Le premier a eu la
fâcheuse inspiration de traiter ses juges
de « bande de cochons » et s'est vu infli-
ger dix ans de travaux publics. Bien.

Le second, mieux embouché, s'est con-
tenté de jeter au nez du président un
simple bouton d'uniforme. Je conviens
que ce n'était agréable, ni pour le nez du
président, ni pour le bouton d'uniforme ;
mais, tout de même, une condamnation
à mort, c'est un peu raide.

Et puis, quelle drôle de manière de
répartir les peines. Comment! on se tire
de « bande de cochons » avec dix ans, et
il faut payer de sa tête un méchant bou-
ton de culotte?

Sacrebleul Parce qu'un homme est une
brute, il n'en est pas moins un homme ;
on ne devrait pas avoir le droit de le
rayer du nombre des vivants pour une
aussi niaise peccadille.

Quand je voi3 qu'il y a encore dans nos
Codes, des lois aussi abominables et que
nos hommes politiques nous assomment
avec leurs projets de séparation de l'E-
glise et de l'Etat, je me prends à songer
à ce mot de Le Prévost de Beaumont ;
« Pourquoi donc avez-vous pris la Bas-
tille? »

Hélas! en France, ce ne serait pas trop
de la prendre tous les quinze jours.

O. Revoir.

ATRAVERS NOS CONFRÈRES

Le souvenir de « Boubou s

Il y a quelques jour.j, XIntransigeant an-
nonçait que des couronnes avaient été
pieusement déposées sur la tombe de a Bou-
bou », à l'occasion de l'anniversaire de sa
mort, et qu'une d'entre elles était offerte par
notre confrère Henri Rochefort. Je ne vois
rien à dire à cela. Le noble marquis a le
culte du souvenir; c'est un très respectable
sentiment.

.Mais où je trouve qu'il force un peu la
note — c'est le correspondant, il est vrai,
que je devrais incriminer ; cependant, il me
semble que le rédacteur en chef y est pour
quelque chose — c'est lorsqu'il déclare que
« le sixième anniversaire du grand patriote
« a été l'occasion d'une manifestation tou-
« chante qui prouve que son souvenir est
« toujours vivant dans les cœurs français ».

Grand patriote; souvenir vivant dans nos
cœurs..., c'tst trop ! Pleurez l'homme si vous
voulez ; soupirez après vos espoirs évanouis,
c'est votre droit; mais laissez-nous tran-
quilles avec vos grands mots niais. C'est fal-
sifier outrageusement la vérité, que de don-
ner du « grand patriote » à cet homme qui
fut un général quelconque et un politique
au-dessous du médiocre.

A propos de Cuba

J'ouvre le XIX' Siècle, et je vois que le
général Weyler a été, à Cuba, l'objet d'une
manifestation très flatteuse. Foule énorme,

rues pavoisées, etc. On l'a supplié de rester
pour continuer son œuvre de pacification, etc.

Deux jours après, je consulte le môme
journal : « La misère qui règne dans la ville
« est effroyable; les habitants de l'île sont
« décimés par la faim et les épidémies; ja-
« mais guerre n'a accumulé plus d'infor-
« tunes et de désastres. Cet homme néfaste
i (le général "Weyler) ne disparaîtra donc
. t pas? »

Voyons, estimable grand frère, lequel de
vos deux numéros dois-je croire? Ce géné-
ral Weyler est-il une bête féroce ou un
agneau?

Si j'en crois les renseignements que j'ai pu
recueillir — il est vrai que s'ils sont de la
même farine que ceux ci-dessus !... —
cette guerre a été abominablement sauvage
de part et d'autre; aussi, ne sais-je trop où
porter mes vœux. Comme républicain, je
pencherais vers l'affranchissement des Cu-
bains ; d'autre part, je ne puis refuser mes
sympathies au peuple espagnol qui défend
la perle de ses colonies, non seulement
contre le fer et le feu de ses sujets révoltés,
mais encore contre l'hostilité sournoisement
arrogante de ce gros butor de Jonathan.

An ! qu'il est donc difficile de connaître la
vraie vérité. Que ne suis-je un simple mi-
nistre ! Je m'en irais à La Havane voir si
les Londrès y sont moins mauvais qu'à
Paris.

Cet excellent M. Lebon

Puisque je parle de ministre, il est naturel
que je dise deux mots de la tournée... —
je mets des points parce que je ne sais quel
nom lui donner — de M. Lebon.

Ici encore, je vais piller un de mes con-
frères, qui en raconte une bien jolie, ma
foi ! Je ne sais si elle est vraie ; mais elle le
serait que cela ne me surprendrait aucune-
ment.

Donc, le remarquable Ministre du Com-
merce — ils sont tous remarquables dans ce
cabinet et ils font, du reste, tout ce qu'il faut
pour être remarqués — va au Sénégal tout
bêtement — je veux dire tout bonnement —
pour préparer sa candidature.

Il est si peu sûr d'être réélu à Parthenay,
qu'il va essayer — à nos frais —d'enjôler les
Sénégalais. Il n'y a pas à dire, c'est une idée
géniale autant qu'économique. Les électeurs
des Deux-Sèvres s'en consoleront, j'espère.
Un Lebon de perdu, dix de retrouvés !

P. Darin.

fêhronique buissonnière

Billet de logement

Un de nos grands confrères porte à l'ordre
du Jour la propriétaire d'une maison à loca-
taires , d'où toul locatai e est. pourtant
exclu.

Située au n» 19 du boulevard>Poissonniêre>
cetle maison, qui se compose de deux grand»
corps de bâtiment?, appartient à Mme de Prévi-
gny qui, le 4 septembre 1870, a proléré le ser-
ment de ne loger aucun républicain, et qu'>
pour être certaine de ne louer à aucun de
ceux-ci, refuse de louer à qui que ce soit.

Sans prétendre nous ingérer dans l'admi-
nistration des biens et immeubles de cette
noble dame — dont l'hostilité contre tout ce
qui touche à la Gueuse a du moins le mérite
de la franchise dédaigneuse de feindre d'être
« ralliée » — nous prenons la liberté de lui
signaler un moyen de mettre sa maison en
meilleur rapport, sans se départir du ser-
ment d'ostracisme qu'elle a prononce contre
la République et ses sectateurs.

Elle n'aurait qu'à l'aménager et la loueJ"
pour les réunions du ministère Méline et
l'habitat de ses membres; à commencer p^
le jeune Barthou, qui, à Bayonne — dans
l'espoir de se faire prendre, ainsi que seâ
collègues, pour des gens bons à conserver au
pouvoir — un grand ou plutôt un long dis-
cours, où il affiche sa présomptueuse assu-
rance de voir le cabinet dont il fait partie
devenir le Mathusalem des ministères..-, sl
les petits co...pains parlementaires ne Ie
mangent pas en route.

-<«>-

Mme de Prévigny aurait donc là des loca-
taires selon son cœur et ses opinions anU'
républicaines. Elle pourrait même se dis-
penser d'inscrire dans le bail qu'elle leur
consentirait, une clause leur interdisant
d'occuper ses locaux Bourgeoisement, comfl)e
n'eût pas manqué de le faire leur prédéces-
seur — et successeur probable — Léon, dont
la hantise faisait décocher à M. Mesureur-
par le « gosse » pérorant à Bayonne, cette
flèche du basque, ou plutôt ce coup de
Bayonne.. .tte :

rè'

N'a t on pas entendu, dans une réunion '
cente, un ancien membre du ministère Bour-
geois, qui occupe, par délégation intérimaK^
les fonctions de grand-prêtre de l'église rad '

ure,

gran

cale avec pouvoir d'excommunication maje
déclarer sans même sourire que, pour être res-
tés longtemps au pouvoir, nous étions sor
pour toujours de la République.
Certes, je comprends l'amertume désintere
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