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LE GRELOT

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'Figaro.................

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'Gazette des Beaux-Arts

Gazelle de France.....

'Gazette des Tribunaux.

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'Illustration............

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'Jour....................

'Journal...............

Journal des Débats____

Journal officiel........

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'Monde illustré.........

Monde moderne........

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Journal illustré... 2 75

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Rev.d.Deux-Mon.. 1 75
Revue illustrée ... 2 50
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5, cité Bergère, Paria

Carnet d'un Sceptique

a s. m. le suffrage universel

La session législative est close; nous
voici débarrassés de ces députés de paco-
tille. Bon voyage, messieurs, et que le
diable vous emporte !

Héla?! les ministres restent : ces minis-
tres désastreux qui, en dix-huit mois, ont
réussi à faire reculer la France de
trente ans. Ils restent pour cuisiner, au
gré de leurs intérêts, la popote électo-
rale.

Ah bien! si la future Chambre est si
peu que ce soit animée de sentiments
républicains, ce ne sera pas de leur faute,
je vous en réponds.

En d'autre temps, je me serais montré
rassuré sur la réponse de cet esclave-roi
qu'on appelle le suffrage universel ; mais,
il paraît aujourd'hui si désorienté, si
ahuri — il y a de quoi, il est vrai — que
je ne sais que penser. Et je vous confes-
serai que j'ai un peu le trac.

Majesté, tâchez de ne pas voter trop
bêtement — pour une fois 1

finasseries radicales

M. Bourgeois, général en chef du parti
radical — est-il bien sûr qu'il y ait encore
un parti radical? — s'est décidé, l'autre
jour, à Lyon, à parler de laffaire Dreyfus.

Il l'a fait avec de telles précautions ora-
toires que l'on serait bien embarrassé de
dire s'il est pour, ou contre.

« Nous avons pu — a-t-il dit — avoir, à
« un certain moment, la bouche liée,
« parce que nous ne voulions pas qu'il
« y ait doute ou malentendu sur notre
« pensée. »

C'est pourquoi il n'avait jusqu'alors
rien dit du tout et pourquoi, ce jour-là,
il n'en a pas dit beaucoup plus long.

S'il se compromet, celui-là, il y aura de
la malice au jeu.

Ces finasseries, je l'ai déjà dit, me sem-
blent indignes d'un chef de parti. Quand
on croit avoir le droit pour soi, on ne
doit pas faire état de l'opinion publique,
si sujette à s'égarer. On doit la précéder,
non la suivre.

m. « quand même »

A la bonne heure I en voilà un qui n'y
va pas par quatre chemins. Il ne sait pro-
bablement pas plus que vous ou moi si
le fameux bordereau est de Dreyfus, ou
du « cher commandant », mais cela lui
est bien égal, il fonce « quand même »
sur le premier, quitte à déboulonner le
second, si le besoin s'en fait sentir.

Il ne serait jamais venu à personne une
idée pareille à celle qu'il vient de mettre
à exécution. Il a adressé à tous les maires
de France — pas davantage — une lettre
les sommant d'exiger de tous les candi-
dats aux futures élections, la promesse
formelle de s'opposer à toutes tentatives
de révision du procès Dreyfus.

Que si vous me demandez de quoi il se
mêle, je vous répondrai que s'il ne s'était
occupé, jusqu'ici, que des choses qui le
regardent, il aurait fait infiniment moins
de bruit qu'il n'en a fait. Or, le bruit con-
vient surtout aux gens qui sont impropres
à toute besogne utile.

Je ne sais trop s'il ne vaudrait pas
mieux pour nous qu'il continuât à faire
de mauvais vers. C'est un bien encom-
brant personnage que M. « Quand Même ».

trop de médailles

Dans une idée très louable, je n'en
doute pas, M. Georges Berry s'est attelé
au projet d'une nouvelle médaille commé-
morative de la guerre de 1870, dont le
besoin se faisait sentir, apparemment. La
Chambre, qui l'avait votée, est revenue
cependant sur sa décision. Nous-n'aurons
pas le joujou susdit.

Je le regrette médiocrement. Faut des
médailles mais pas trop n'en faut; nous
en avons, il me semble, une collection
assez remarquable comme cela.

Nous avons mis à la porte Napo-
léon III, parce qu'il faisait un tas de
choses qui ne nous plaisaient pas, et
nous continuons à faire les mêmes, bien
entendu. La République récompense les
services qu'on ne lui a pas rendus d'une
façon aussi intelligente que son prédé-
cesseur.

Marianne chaussant les godillots de
Badinguet! Ce n'est plus le même pois-
son, mais c'est toujours la même sauce.

tartuffe, jette ton masque !

Quelqu'un a dit ceci, ou à peu près :
« Lorsque Tartuffe jette son masque, il
cesse d'être dangereux. » Ce n'est pas
mon avis. Les cuistres de sacristie ne
m'écœurent pas seulement, ils me font
peur.

L'âge, l'étude, et aussi le tempérament
ont fait de moi un homme difficile à éton-
ner ; je crois à tout, parce que je ne crois
pas à grand' chose. Je sais donc, par
expérience, que, nous autres Français,
nous ne sommes jamais plus disposés à
nous laisser « souffler » notre liberté,
que lorsque nous sommes las d'en abuser.
Aussi, on viendrait me dire demain que
Jean Bonhomme a crié « Vive le Roy 1 »
que je n'en serais pas autrement sur-
pris.

Mais je n'aurais jamais cru, je le con-
fesse, qu'en l'an de grâce 1898, il se trou-
verait des gens assez sottement odieux
pour chercher à réveiller les querelles
religieuses.

Et on ne les a pas enterrés sous les
sifflets et les huées? On ne les a pas
noyés sous les trognons de choux? On les
a laissés baver à leur aise ? Nous sommes
devenus bêtes à ce point? Dix-huit mois
de mélinisme nous ont avachi de la
sorte ?

Allons ! tu peux jeter ton masque, Tar-
tuffe ; le temps est venu : arme-toi de ta
discipline.

Nous préparons nos fesses !

a bas l'interview I

Ah ! mes amis, qu'ils sont bien rensei-
gnés, ceux qui lisent les journaux — les
grands, naturellement.

Il y a quelques jours, un reporter vint
trouver Mc Albert Clémenceau et tâcha de
le faire jaser au sujet de l'arrêt de la
Cour de cassation. L'honorable avocat s'y
refusa et le congédia en le priant simple-
ment de souhaiter le bonjour à son pa-
tron.

Rentré chez lui, notre confrère écrivit
un bel article dans lequel, comme de
juste, il faisait tenir à Me Clémenceau un
langage qui cadrait avec la ligne suivie
par le journal. A part sa signature, tout
était postiche.

L'interview est une absurdité pour le
lecteur et une inconvenance pour celui
qu'on questionne. Le mot est aussi bar-
bare que la chose est inutile.

Supprimons le mot et la chose.

A bas l'interview !

O. Revoir.

SIMPLES RÉFLEXIONS

Notre oncle Sarcey constatait récemment,
avec douleur, que les femmes trouvent de
moins en moins des épouseurs et il assi-
gnait comme causes à cette aversion mani-
feste du conjungo : — du côté du sexe soi-
disant fort, la crainte, très justifiée, de tom-
ber sur de jeunes personnes qui lui appor-
tent dix mille francs de dot et qui préten-
dent en dépenser cinq mille, par an, pour
leur toilette; et du côté du sexe si bien dé-
nommé aimable, le parti-pris inébranlable
de n'épouser que des messieurs appartenant
au monde demi-chic.

Notre oncle ne prend pas de gants pour
dire à ces Agnès qui se dessèchent en atten-
dant la paire de moustaches de leurs rêves :
«C'est bienfait pour vous; pourquoi, diable,
« ne voulez-vous que des mirliflords? Pre-
« nez-moi donc un brave ouvrier, etc. »

Il est bon, l'ancien. Lesdites jeunes per-
sonnes savent fort bien que l'ouvrier, au
bout de six mois, aiguillera fatalement vers
le mastroquet et qu'il leur fera un petit
chaque fois qu'il aura bu chopine, c'est-à-
dire... ne disons pas de bêtises.

La perspective n'est donc pas très réga-
lante et je ne blâme qu'à moitié ces pauvres
petites poulettes de ne pas vouloir descendre
jusqu'à populo; après tout, c'est plutôt à lui
à s'élever jusqu'à elles.

Il me semble que je m'embarque là dans
une thèse un peu sujette à caution. Diable 1
Populo travaillant à peu près seul à la re-
population — car les bourgeois vont avec
bien de la peine jusqu'au numéro un —c'en
serait fait de nous, s'il prenait le parti de
s'amender.

Je retire ce que j'ai dit : soûle-toi tou-
jours, Populo, soûle-toi ferme.

La France a besoin de soldats.

C'est une chose singulière que dans notre
pays — c'est un signe des temps, sans doute

— on ne sait plus rien terminer définitive-
ment. Allons-nous dans l'affaire Dreyfcs-
Esterhazy-Zola avoir une réédition de la
sempiternelle affaire du Panama?

Avec tout le respect que je lui dois, je
crois que le g' ral Billot a eu une idée sau-
grenue en convoquant à nouveau le Conseil
de guerre, il ne me semble pas que le besoin
s'en faisait sentir. A moins que, pris de re-
mords, il ne se soit décidé à permettre à la
Vérité de sortir de son puits? Je reconnais,
toutefois, que cette hypothèse est médiocre-
ment vraisemblable ; s'il y a quelque chose
qui l'étouffé, ce n'est pas l'amour de la
vérilé.

Que les membres du Conseil de guerre
qui a jugé « Monsieur le hulan » soient à cran
contre Zola, cela s'explique; mais il me pa-
rait qu'ils dépassent la mesure en deman-
dant sa radiation de la Légion d'honneur,
alors surtout qu'on y laisse M. Esterhazy.

On peut dire de Zola et de son caractère
tout ce qu'on voudra, mais quand le diable y
serait, on ne peut pas biffer ses ouvrages.

Il y avait encore une faute à commettre ;
M. Billot ne l'a pas ratée, naturellement.
G'ral, j'ai grand peur qu'il vous en cuise.

X

Ouf ! Elle est enfin partie, cette Chambre
lamentable. Nous allons entrer —que dis-je?

— nous sommes entrés dans la période élec-
torale. A nous, les affiches multicolores ta-
pissant et salissant le3 murs, les protesta-
tions enfiévrées, les boûiments roublards et
les « citoilliens » à bouche que veux-tu.

La fièvre politique et le cauchemard Drey-
fus, c'est beaucoup à la fois, il me semble.
Les coups de gueule vont se donner car-
rière et le « pétard » va recommencer dans la
rue, sans doute.

Voyez-vous, je me méfie de ce coquin de
printemps. Gare à vos nez !

P. Darin.

§hronique buissonnière

Les Co—Q. de Beaurepaire

Sait-on ce que gagnent les membres de cette
Cour de cassation qui Tient d'infirmer l'arrêt de
la Cour d'assises dans l'affaire Zola?

Le premier président touche 35.000 francs; le
traitement du procureur général est aussi
élevé. Les appointements des présidents de
chambres sont de 25.000 francs, ceux des avo-
cats généraux de 20.0C0 francs; enfin ceux des
conseillers, de 18.000 francs.

Voilà, certes, des « angoras-fourrés » beau-
coup trop payés pour la mauvaise besogne
qu'ils viennent d'accomplir, à l'instigation de
cet étonnant procureur-général Manau, dont
les dépêches recueillies par laCommission par-
lementaire chargée, en 1872, de publier les
actes du gouvernement de la Défense natio-
nale, relate la curieuse intrusion dans la
magistrature.

Une ville méridionale ayant profité du
désarroi de cette époque troublée, pour
chasser son Procureur, il parait que ie sus-
dit Manau, saisi d'une vocation et d'une ins-
piration subites, télégraphia aussitôt à la
délégation gouvernementale de Tours, cette
notification éloquente dans son laconisme :

a — Le peuple, dans sa justice, a destitué le
procureur et m'a nommé à sa place Ratifiez-
vous ? »

Le Gouvernement, qui avait bien d'autres
soucis en tête, négligea — dit l'histoire —
de répondre à cette communication urgente
et spontanée. Son correspondant improvisé
« élevant alors son âme à la hauteur des cir-
constances » — selon la célèbre proclamation
que Gambetta venait de lancer — paraphrasa
en une seconde dépêche, le vieux dicton
populaire : t Qui ne dit rien consent, » sous
cette fourne décisive et sans réplique :

« — Prends silence pour acceptation, me fais
installer. »

Et c'est ce parangon de la fô-ô-orme judi-
ciaire et de la légalité scrupuleuse, qui
vient de requérir, devant la Cour suprême
l'annulation du verdict de la Cour d'assises
de la Seine frappant le diffamateur Zola,
comme entaché d'une irrégularité initiale !

Ingrat Emile! qui déclarait tout d'abord
« ne pas connaître la justice, et ne pas vou-
loir la connaître », une gaillarde si tendre et
si pleine d'indulgence pour Lui, alors
qu'elle réserve ses rigueurs impitoyables et
sa vindicte féroce aux pauvres diablesses
que la misère pousse à dérober un pain à la
devanture d'un boulanger, pour apaiser les
cris de leur progéniture affamée 1
 
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