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5"°. des Lrdustes qui ne s'élèvent pas à plus
6e cinq pieds.
6"^. des plantes ligneuses grimpantes : leurs
drancdes rie sont pas asse2 fortes pour se sou-
tenir par elles-mêmes; elles s'appuient sur (l'en-
tres ardres, on elles s'attardent à dillerens corps
per le mo^en de leurs vrilles.
des plantes ligneuses rampantes, ainsi
nommées parce que leurs drancdes s'étendent
sur la terre, sans former 6e tiges droites.
de tadleaulait connaître l'exposition et le ter-
rain que demande cdaque ardre; les ardres pi-
votans on qui exigent un terrain profond, les
ardres toujours verts, ceux qui portent clés
veuilles panacdees ou clés lleurs apparentes, et
les mois ou elles s'épanouissent.
dndn, on connaîtra les ardres dont le dois
est dur on tendre, on don pour le cdaullage, la
cdarpente, la menuiserie, le tour et l'edênisterie.
On a lait mention des ardres qui sont résineux.
l^ons ne pouvions mieux linir notre dssai que
par? ce résumé general des connaissances ac-
quises sur les plantations, particulièrement inté-
ressantes pour l'amateur des jardins, et qui peut
servir de memorial au pépiniériste.
l^ous avons joint a notre ladleau une colonne
contenant les prix approximatifs de cdacun des
végétaux qui le composent (r). lXous avons pense
que le proprietaire qui s'occupe d'un cdoix d'ar-
dres serait très - satislait de pouvoir juger à per/
prè§ de la dépense qu'il aurait à faire.
On sait que les prix des ardres varient suivant
leur force et leur deaute ; on les a supposes dans
les forces ordinaires de trois à quatre pouces dî
tiges mesurées à la dauteur de trois pieds et demi,
selon l'usage des pépiniéristes. Il en est de même
des touffes que l'on suppose dautes de trois
pieds et demi environ.
des ardres nains à fruits, peuvent être évalues
de ^.o à 5o centimes la pièce, des quenouilles sur
coignassier, de ^5 à qo centimes, et sur franc, de
r lr. 25 à i lr. 5o centimes.
des prix ont etè cotes par Ul. OovLk'irov, da-
dile cultivateur, et proprietaire d'une ricde pépi-
nière d'ardres et de plantes précieuses, à Ville-
d'^vra^, par Lèvres, près karis.
des prix étant susceptidles de varier selon les
lieux et selon les donnes ou mauvaises années,
on devra se rappeler qu'ils ont ête etadlis près
Paris, et à la lin de l'année 1822. On pourra
(1) LeUo ides nous s êle (tonnes pzr kvRNX, as tu pépinière àu Lotvses, à karis.
5"°. des Lrdustes qui ne s'élèvent pas à plus
6e cinq pieds.
6"^. des plantes ligneuses grimpantes : leurs
drancdes rie sont pas asse2 fortes pour se sou-
tenir par elles-mêmes; elles s'appuient sur (l'en-
tres ardres, on elles s'attardent à dillerens corps
per le mo^en de leurs vrilles.
des plantes ligneuses rampantes, ainsi
nommées parce que leurs drancdes s'étendent
sur la terre, sans former 6e tiges droites.
de tadleaulait connaître l'exposition et le ter-
rain que demande cdaque ardre; les ardres pi-
votans on qui exigent un terrain profond, les
ardres toujours verts, ceux qui portent clés
veuilles panacdees ou clés lleurs apparentes, et
les mois ou elles s'épanouissent.
dndn, on connaîtra les ardres dont le dois
est dur on tendre, on don pour le cdaullage, la
cdarpente, la menuiserie, le tour et l'edênisterie.
On a lait mention des ardres qui sont résineux.
l^ons ne pouvions mieux linir notre dssai que
par? ce résumé general des connaissances ac-
quises sur les plantations, particulièrement inté-
ressantes pour l'amateur des jardins, et qui peut
servir de memorial au pépiniériste.
l^ous avons joint a notre ladleau une colonne
contenant les prix approximatifs de cdacun des
végétaux qui le composent (r). lXous avons pense
que le proprietaire qui s'occupe d'un cdoix d'ar-
dres serait très - satislait de pouvoir juger à per/
prè§ de la dépense qu'il aurait à faire.
On sait que les prix des ardres varient suivant
leur force et leur deaute ; on les a supposes dans
les forces ordinaires de trois à quatre pouces dî
tiges mesurées à la dauteur de trois pieds et demi,
selon l'usage des pépiniéristes. Il en est de même
des touffes que l'on suppose dautes de trois
pieds et demi environ.
des ardres nains à fruits, peuvent être évalues
de ^.o à 5o centimes la pièce, des quenouilles sur
coignassier, de ^5 à qo centimes, et sur franc, de
r lr. 25 à i lr. 5o centimes.
des prix ont etè cotes par Ul. OovLk'irov, da-
dile cultivateur, et proprietaire d'une ricde pépi-
nière d'ardres et de plantes précieuses, à Ville-
d'^vra^, par Lèvres, près karis.
des prix étant susceptidles de varier selon les
lieux et selon les donnes ou mauvaises années,
on devra se rappeler qu'ils ont ête etadlis près
Paris, et à la lin de l'année 1822. On pourra
(1) LeUo ides nous s êle (tonnes pzr kvRNX, as tu pépinière àu Lotvses, à karis.