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y trouve à reprendre (*). GUioîque lacon-
struôion de Vignole ( ** ) ne soit point
entièrement à l'abri de la censure des Ar-
chitectes de notre tems3 elle décrit cepen-
dant certaines parties principales des or-
dres avec une grâce & une élégance, qui
la font encore aprouver aujourdhui dans la
pratique par les Académies les plus célè-
bres en Italie & en France : c'eft aussi cel-
le que nous Cuivrons-
§. CCXXXUI. Vignole établit dans
& construclion un raport consiant entre
les parties primaires de la colonne, de sor-
te que l'entablement soit toujours unepar-
O s tie-
(*) Au resie ies Archite&es , qui dans les derniers
tems fe font le plus diitingués dans ia feienee
des ordres, font Mrs Pérault par fon Virruve
comment. & aug. Scamozzi par ses règles dç
Simétrie, de l'orme & Blonde! par leur érudi-
tion, & Goldman par fon génie géométrique,
(**) Mr le Clerc dans fon traité d'Architect. Sedl. 6.
préfère à la loi de Vignole , qui dans tous les
ordres donne la quatrième partie à. l'entable-
ment, 1?. méthode de Palladius, qui la diminué'
pour les trois derniers. Au contraire il doji~.
ne la préférence au picdeftal de Vignole sur ce-
lui de Palladius, qu'il juge trop bas; dans
çeiui de Vignole il trouve le focie trop bas, &
trop haut dans celui de Palladius : il iir. prou-
ve Vignole d'avoir rejette la base Attique du
piédcital ionique , & Palladius de l'avoir doo-
né , contre l'exemple des ancien», à e-el'ui es
l'ordre Dorique. Il condamne ia diminutioa
de la colonne Toscane de Palladius, & présère
la méthode de Vignole. On peut en voir da-
vantage dans l'endroit cité.