DOI issue:
Supplement au Nr. 83
DOI article:Biographie, [1]: Auguste Huguier
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.17229#0058
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Salon de 1900 et fut admirée par les vrais Ce qui rend particulièrement intéressante
connaisseurs, sont des œuvres d'artistes cette jeune figure de l'architecture moderne,
véritables, à l'orée d'une voie glorieuse où c'est que parmi le nombre sans cesse gran-
nous souhaitons qu'ils atteignent vite le dissant de collègues où les talents ne. sont
sommet. pas rares, il a été choisi par l'administration
d'un des plus grands organes du
monde commercial pour l'édifica-
tion au Brésil de son hôtel, choix
qui ne peut qu'honorer les archi-
tectes français en général et
Huguier en particulier.
Si nous voulions dire tout le bien
qui nous reste à dire, nous serions
obligé de faire violence à la modes-
tie de ce jeune maître et malgré
tout le désir que nous puissions
avoir d'outrepasser un peu les
droits de 1' « interview », nous
arrêterons là cette notice déjà
suffisante pour montrer que nous
avons encore en France des archi-
tectes qui continueront longtemps
les glorieuses annales de leurs
ancêtres.
Nous sommes fort heureux de
constater que l'étranger fait appel,
pour enrichir ses villes, au talent
de nos architectes dont la réputa-
tion est mondiale. M. Huguier aura
sans doute la joie de rencontrer,
là-bas, lorsqu'on érigera le Palais
du Journal du Commerce, son com-
patriote M. Bouvard, le grand
architecte parisien, qui, aidé de
quelques collègues, est cliargé par
la ville de Buenos-Ayres de dessi-
ner une ville nouvelle à l'instar de
Paris. Un crédit de 250 millions
de francs — rien que cela ! — est
consacré à cette transformation
Auguste Huguier, architecte. — Palais du Journal du Commerce dont nous aurons l'occasion de par-
à Riode-Janeiro 1er prochainement.
F65-
Salon de 1900 et fut admirée par les vrais Ce qui rend particulièrement intéressante
connaisseurs, sont des œuvres d'artistes cette jeune figure de l'architecture moderne,
véritables, à l'orée d'une voie glorieuse où c'est que parmi le nombre sans cesse gran-
nous souhaitons qu'ils atteignent vite le dissant de collègues où les talents ne. sont
sommet. pas rares, il a été choisi par l'administration
d'un des plus grands organes du
monde commercial pour l'édifica-
tion au Brésil de son hôtel, choix
qui ne peut qu'honorer les archi-
tectes français en général et
Huguier en particulier.
Si nous voulions dire tout le bien
qui nous reste à dire, nous serions
obligé de faire violence à la modes-
tie de ce jeune maître et malgré
tout le désir que nous puissions
avoir d'outrepasser un peu les
droits de 1' « interview », nous
arrêterons là cette notice déjà
suffisante pour montrer que nous
avons encore en France des archi-
tectes qui continueront longtemps
les glorieuses annales de leurs
ancêtres.
Nous sommes fort heureux de
constater que l'étranger fait appel,
pour enrichir ses villes, au talent
de nos architectes dont la réputa-
tion est mondiale. M. Huguier aura
sans doute la joie de rencontrer,
là-bas, lorsqu'on érigera le Palais
du Journal du Commerce, son com-
patriote M. Bouvard, le grand
architecte parisien, qui, aidé de
quelques collègues, est cliargé par
la ville de Buenos-Ayres de dessi-
ner une ville nouvelle à l'instar de
Paris. Un crédit de 250 millions
de francs — rien que cela ! — est
consacré à cette transformation
Auguste Huguier, architecte. — Palais du Journal du Commerce dont nous aurons l'occasion de par-
à Riode-Janeiro 1er prochainement.
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