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Kabbadias, Panagiōtēs
Fouilles d'Epidaure (Band 1) — Athen, 1891

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https://doi.org/10.11588/diglit.4728#0116
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FOUILLES D'ÉPIDAURE

sculptures ont été- toutes transportées à Athènes; elles sont décrites dans mon catalogue du Musée natio-
nal (Γλυπτά του ΈθνικοΟ Μουσείου, 1892) η05 136-158. Voici les figures représentées dans cette planche :

Sculptures provenant du fronton occidental du temple :

Fig. 1. Amazone à cheval, représentée aussi dans la planche VIII, n° 1. Voyez p. 20.
Fig. 2. Amazone blessée entre les deux seins, représentée aussi dans la planche VIII, n° 4. Voyez p. 20.
Fig. 3. Amazone accroupie, représentée aussi dans la planche VIII, n° 6. Voyez p. 20.
Fig. 4. Tète de cheval, représentée aussi dans la planche VIII, n° 12. Voyez p. 20.
Fig. 5. Partie inférieure du corps d'une Amazone agenouillée.

Fig. .">••' . Tête de femme, d'une Amazone probablement, représentée aussi dans la planche VIII, n° 9.
Voyez aussi: Tête d'Amazone coiffée du bonnet phrygien, représentée dans la planche VIII, n» 10.
Tête probablement d'une Amazone mourante, représentée dans la planche VIII, n• 11.

Sculptures provenant du fronton oriental.

Fig. 0. Tète barbue, représentée aussi dans la planche VIII, n» 13. Voyez p. 20.

Fig. 7. Partie inférieure du corps d'un guerrier accroupi. Voyez p. 20.

Fig. 8. Partie inférieure du corps d'une femme agenouillée. Le vêtement est en désordre, ce qui, joint au mouvement du corps
semble indiquer que la statue représentait une Lapilhe luttant contre un Centaure. Puisque les dimensions en sont
plus grandes, que dans les autres statues, il semble qu'elle occupait une place vers le milieu du fronton. Voyez p. 20.

Voyez aussi: Une main tenant probablement une idole, représentée dans la planche VIII, n° 14.

Sculptures trouvées encastrées dans des murs postérieurs et provenant
du fronton occidental ou oriental du temple.

Fig. 9. Torse d'un guerrier nu, représenté aussi dans la planche IX, n» 20. Voyez ρ 20.

Fig. 10. Torse de jeune homme, représenté aussi dans la planche VIII, n° 7. Voyez p. 20.

Fig. 11. Tête de femme, représentée aussi dans la planche IX, n° 19. Voyez p. 20.

Fig. 12. Partie supérieure du corps d'une Victoire, tenant dans la main droite un oiseau, représentée aussi dans la planche

VIII, n» 5 et 5• . Voyez p. 20.

Fig. 13-14. Deux torses de figures féminines.

Fig. 15. Partie inférieure du corps d'un guerrier nu; il gisait sur le sol et il était probablement représenté mort ou mourant.

Fig. 15a . Tête de femme voilée, représentée aussi dans la planche VIII, n° 8.

Acrotères (?) du temple.

Fig. 16. Néréide, représentée aussi dans la planche VllI, n° 2. Voyez p. 20 21.

Fig. 17. Néréide, représentée aussi dans la planche VIII, n°^3 et 3a. Voyez p. 20-21.

Figure féminine.

Fig. 18. Statuette d'une femme assise sur un rocher. Elle a été trouvée dans les fouilles de 1886 (v. p. 3), dans le rembla
de l'édifice K, un endroit assez éloigné du temple d'Esculape. Cependant il est possible qu'elle provienne aussi desi
frontons du temple. Etant un peu plus petite que les autres sculptures, on peut admettre, qu'elle occupait probablement
une place dans un des coins du temple et qu'elle représentait une nymphe ou une divinité locale.

Statue de Victoire.

Fig. 19. Victoire ailée, de dimensions un peu plus petites que nature (voyez mes Γλυπτά, n° 162). Ainsi que la Victoire de Péo-
nios, elle était représentée relevant son vêtement de la main droite. Le style et l'attitude différent de ceux de la figure
12 (pi. XI) et des figures 1-3 (pi. X) ; par conséquent on ne peut pas croire qu'elle fit partie de l'ornementation du temple.
Cette statue provient des fouilles de 1886. D'après les renseignements que m'a donné M. Staïs, elle a été trouvée
non loin du piédestal ayant la forme d'un avant de navire, dont j'ai parlé à la page 38. n° 18. Il est donc probable
qu'elle était érigée jadis sur ce piédestal. Cela étant, notre Victoire peut être regardée comme un œuvra du sculpteur
Νικών Ίαροκλέβς; elle faisait partie d'un monument semblable à celui de la Victoire de Samothrace; mais elle était
probablement plus ancienne, car le piédestal en question, d'après la forme des lettres de la signature des artistes, peut
dater du IVe siècle av. J.-C, comme je l'ai remarqué à la page 39.
 
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