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Chapitre XVL 445
front plus signalé, que s'ils
en avoient aboli la mémoire
en les destruisant tout-à-
fait. Je ne sçai si ce n'esfc
point aussi pour la même
raison que l'on n'ôtast pas le
piedesïal de la ftatuë d'An-
guerran , après qu'elle eut
été démolie par autorité de
jusfcice. Mais les statuës n'é-
tant pas profanées de tou-
tes ces manières disférentes
sans causes , il en faut re-
marquer quelques-unes des
principales.
En premier lieu il a tou-
jours été permis de détruire
les statuës des usurpateurs,
des criminels d'Etat, des
Ossiciers qui en exigoient s**is\ „
de rorce, oL de ceux qui en ^«««.
avoient par des voix baises tllhlft.
& honteuses, ou qui par la c°"lcml
suite se rendoient indig-nes «naifon»
 
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