P R É F A C E.
ÿ
l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de
Léonard qu’il avoit composée en italien :
celle que je donne en françois n’en est,
pour ainsi dire, que la traduction : j’y
ai seulement ajouté ce qui se trouve sur
Léonard dans Vasari, dans Félibien,
et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et
les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beau-
coup de choses d’un manuscrit qui m’a
été prêté par un curieux : ce sont des
Mémoires en italien pour servir à l’his-
toire de Léonard de Vinci. L’auteur de
ces Mémoires est le père Mazzenta, bar-
nabite-'Milanois, qui a eu entre les mains
les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les
Traités qu’il a composés, et les dessins
qu’il a faits.
Les figures de l’édition que je donne
au public sont gravées d’après les des-
sins originaux du Poussin, qui sont à la
fin du manuscrit dont je viens de parler.
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l’édition italienne qu’il en fit, la Vie de
Léonard qu’il avoit composée en italien :
celle que je donne en françois n’en est,
pour ainsi dire, que la traduction : j’y
ai seulement ajouté ce qui se trouve sur
Léonard dans Vasari, dans Félibien,
et dans ceux qui ont écrit sur la Vie et
les Ouvrages des Peintres. J’ai tiré beau-
coup de choses d’un manuscrit qui m’a
été prêté par un curieux : ce sont des
Mémoires en italien pour servir à l’his-
toire de Léonard de Vinci. L’auteur de
ces Mémoires est le père Mazzenta, bar-
nabite-'Milanois, qui a eu entre les mains
les papiers de Léonard, c’est-à-dire, les
Traités qu’il a composés, et les dessins
qu’il a faits.
Les figures de l’édition que je donne
au public sont gravées d’après les des-
sins originaux du Poussin, qui sont à la
fin du manuscrit dont je viens de parler.