INSCRIPTION DU TO-BAIIAL A KATMANDOU
mentaire du mois et du jour, contenue clans le premier
vers, ne fournil pas de données qui permettent la vérifica-
tion.
Le fondateur de la statue est un marchand, chef de cor-
poration, Guhamitra. Le terrain cédé se trouve dans une
localité (pradeça) qui porte un nom purement névar, d'une
lecture assez incertaine. Les indications relatives au terrain,
énoncées en prose, contrastent par leur gaucherie et leur
incorrection avec le style aisé et pur des vers de la dédi-
cace.
Texte.
[samvajt Zioo 2 (||) râjnah çrî Mfmadevasya samyak pâla-
yato mahïm (|) âsâdhaçuklasya tithau pancadaçyâm
çuBhârtthinâ (1)
vanijâm sârtlhavâhena Guhamitrena bhaktitah (|) sam-
stlmpito tra bhagavân fndro nâma divâkarah (2) kse-
tram yathâgûmpadçum-pradeçe
çatasya bhûmih pindakamâni ca
L. 2. Le nom de la localité est douteux. Le second caractère du nom
peut être thu, ou même khâ ou khu. Le troisième est certainement
un g ; mais du pied de la hampe se détache un trait oblique, à angle
aigu, trop net pour être considéré comme une cassure, et qui donne
au ;/ la valeur gît dans l'inscription de Bilsad (Cf. Bùhler, Paléogr.,
table IV ; 1. 9, col. IV). Mais, à la ligne 3 de notre inscription, le môme
trait est combiné avec Vu de bh pour marquer l'allongement dans
bhiïmih.
L. 3. Le groupe sya, dans çatasya est douteux. — Ui bref final de
°n\âni est probablement à corriger en T. — Le mot ca est tracé à un in-
tervalle de 0m,O2 de la lettre précédente.
Pour l'expression 'pindakamâni, cf. inscription Bhagv. n° 14, de Jisnu-
gupfa, 1. 18: açTtipindamânikdnâm bhùh ; et aussi Bhagv. n° !), aussi de
Jisnugupta,-1. 14-12 pindakam upasamhrtya où Bhagvanlal met en note :
«pindaka, which isa synonym of the more common gras seines to dénote
a share of the produce of the field ».
mentaire du mois et du jour, contenue clans le premier
vers, ne fournil pas de données qui permettent la vérifica-
tion.
Le fondateur de la statue est un marchand, chef de cor-
poration, Guhamitra. Le terrain cédé se trouve dans une
localité (pradeça) qui porte un nom purement névar, d'une
lecture assez incertaine. Les indications relatives au terrain,
énoncées en prose, contrastent par leur gaucherie et leur
incorrection avec le style aisé et pur des vers de la dédi-
cace.
Texte.
[samvajt Zioo 2 (||) râjnah çrî Mfmadevasya samyak pâla-
yato mahïm (|) âsâdhaçuklasya tithau pancadaçyâm
çuBhârtthinâ (1)
vanijâm sârtlhavâhena Guhamitrena bhaktitah (|) sam-
stlmpito tra bhagavân fndro nâma divâkarah (2) kse-
tram yathâgûmpadçum-pradeçe
çatasya bhûmih pindakamâni ca
L. 2. Le nom de la localité est douteux. Le second caractère du nom
peut être thu, ou même khâ ou khu. Le troisième est certainement
un g ; mais du pied de la hampe se détache un trait oblique, à angle
aigu, trop net pour être considéré comme une cassure, et qui donne
au ;/ la valeur gît dans l'inscription de Bilsad (Cf. Bùhler, Paléogr.,
table IV ; 1. 9, col. IV). Mais, à la ligne 3 de notre inscription, le môme
trait est combiné avec Vu de bh pour marquer l'allongement dans
bhiïmih.
L. 3. Le groupe sya, dans çatasya est douteux. — Ui bref final de
°n\âni est probablement à corriger en T. — Le mot ca est tracé à un in-
tervalle de 0m,O2 de la lettre précédente.
Pour l'expression 'pindakamâni, cf. inscription Bhagv. n° 14, de Jisnu-
gupfa, 1. 18: açTtipindamânikdnâm bhùh ; et aussi Bhagv. n° !), aussi de
Jisnugupta,-1. 14-12 pindakam upasamhrtya où Bhagvanlal met en note :
«pindaka, which isa synonym of the more common gras seines to dénote
a share of the produce of the field ».