La licorne: recueil de littérature et d'art (1.1911)

qu'elle les intervertisse ou les associe, elle tend de toutes
façons et par tous moyens, à un moment donné en Crète
et chez les tributaires de son luxe, à rendre les jambes
autonomes.
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Mais celles-ci se sont-elles vraiment libérées, jusques à
la licence — je veux dire jusqu'au pantalon ?
Quatre monuments peuvent sembler pertinents.
Une <t roughly engraved steatite lentoid n (v. fig. 29) (1)
représente une petite marcheuse
excessivement cambrée, dans
laquelle M. Evans reconnaît la
déesse, tandis que M. Reinach
n'y voit qu'une de ses zélatrices,
et qui porte la fameuse hache
double liturgique sur l'épaule
gauche et une jupe plissée sur le
bras droit. Elle est vêtue d'un
semblant de culotte mais bordée,
comme le serait le bas d'un jupon, d'une dentelure à bâtons



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