àpprouvéesparl’àcadémie. 7 ¥
M A C H I N E
POUR FORER
LES CANONS DE FUSILS»
INVENTÉE
PA R M. V I L L O N S.
 B esl une roue de moulin expostée au couranc d’une
petite riviere; au centre de cette roue esl fixé un arbre G
D qui estprolongé de part & d’autre de la riviere. L’ar-
bre peut porter ausïi piusieurs rouets tels que E qui lui
sont fixés : ce rouet dont FépaisTeur esl àrainure, porte
une corde qui pasTe sur un se.cond rouet F qui luiestsem-
blable au diametre ptès , qui est moindre dans ce second.
Au centre du rouet F on fixe un arbre qui porte unfo-
ret ; ce foret se place à l’endroit du canon oii l’ôn veuc
faire la lumiere, & le canon est appuyé contre une plari-
che, derriere laqueiie est un ressort qui la repousse tou-
jours , ensemble ie canon qui lui est exaèlement appliqué;
ce qu’ii est aisé de voir par le prosil représenté à ia partie
supérieure de la figure.
L’on y voit le rouet F soutenu par son arbre sur deux
petits montans qui portent des colets, dans lesquels ia
roue peut facilement se mouvoir ; le foret O appuyé con-*
tre le canonP; ce canon appliqué à la planche verticaie
Q poussée par un ressort QR« Cette planche porteun bou-
ion qui se meut dans une ouverture $ H, faite suivant la
largeur de l’établi ,& qui passe tout au travers de sonépaiL
Reca des Machines, Tome III% &
M A C H I N E
POUR FORER
LES CANONS DE FUSILS»
INVENTÉE
PA R M. V I L L O N S.
 B esl une roue de moulin expostée au couranc d’une
petite riviere; au centre de cette roue esl fixé un arbre G
D qui estprolongé de part & d’autre de la riviere. L’ar-
bre peut porter ausïi piusieurs rouets tels que E qui lui
sont fixés : ce rouet dont FépaisTeur esl àrainure, porte
une corde qui pasTe sur un se.cond rouet F qui luiestsem-
blable au diametre ptès , qui est moindre dans ce second.
Au centre du rouet F on fixe un arbre qui porte unfo-
ret ; ce foret se place à l’endroit du canon oii l’ôn veuc
faire la lumiere, & le canon est appuyé contre une plari-
che, derriere laqueiie est un ressort qui la repousse tou-
jours , ensemble ie canon qui lui est exaèlement appliqué;
ce qu’ii est aisé de voir par le prosil représenté à ia partie
supérieure de la figure.
L’on y voit le rouet F soutenu par son arbre sur deux
petits montans qui portent des colets, dans lesquels ia
roue peut facilement se mouvoir ; le foret O appuyé con-*
tre le canonP; ce canon appliqué à la planche verticaie
Q poussée par un ressort QR« Cette planche porteun bou-
ion qui se meut dans une ouverture $ H, faite suivant la
largeur de l’établi ,& qui passe tout au travers de sonépaiL
Reca des Machines, Tome III% &