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Recueil des Machines Année 1717
DOI article:No. 186
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124 Recueil des Machines
, ■ , IF forment deux couiisses dans lesquelles entre une pîece da
1717. fer anb qui s’y peut mouvoir librement, lorsquelie est
N°. iStf. poustsée par la regle de fer coudée bncd, dont le centre
.. du mouvement est sur le rayon de la roue en c. li faudra
observer en astsemblant la piece anb à la regie coudée
b ncd, que cette derniere soit mobiieà cet endroit, pour
des raisons que Ton appercevra dans la suite.
Les ouvertures R, S, sont pratiquées sous la piece bna,
que cette piece doit boucher exa&ement ; il faut donc la
concevoir mobile entre les aeux couiistTes de n en 0 , sa
posttion est ici ponâuée de 0 en n.
Si Ton suppose à présent que cette castsote soit pleine ôc
que la roue tourne suivant l’arc IZ, J’ori voit que quand
Textrêmité d de la regle coudée dcnb mobile en c vien-
dra à rencontrer le point fixe P, la regle coudée dcnb
chasssera la piece bna de n en 0 ; les trous se trouvant alors
débouchés, la castsote rendra son eau dans le réservoir,
comme on le voit dans la premiere ôt ia seconde figure.
La roue circulant toujours, cette cafîbte restera ouverte &
se prolongera en se remplifîant jusqu’à ce qu’elle rencon-
tre une autre cheville ou pointfixe, semblable au premier;
celui-ci est étabii au mur AC, dans lefond dela riviere en Y:
( figures premiere ôc seconde ) pour lors Pextrêmité b de la
piece b nc d venant à rencontrer le point fixe Y, la regle
coudée tirera avec elie la piece b na, Ôc les trous se trou-
veront bouchés jusqu’à ce qu’elie rencontre de nouveau le
point fixe supérieur.
II n y a à craindre dans cette construdion qu*un inconvé-
nient qui pourroit rendre cette machine d’un grand en-
tretien ;c 3est que lesrivieresqui charientbeaucoup desabie
& d’ordures, rempliroient les coulifîes, ôt empêcheroient
par ce moyen l’ouverture ôc fermeture des cassbtes, ôc
pourroient encore les faire rompre.
Sur cette objedion l’Auteur a changé ia construdion
, ■ , IF forment deux couiisses dans lesquelles entre une pîece da
1717. fer anb qui s’y peut mouvoir librement, lorsquelie est
N°. iStf. poustsée par la regle de fer coudée bncd, dont le centre
.. du mouvement est sur le rayon de la roue en c. li faudra
observer en astsemblant la piece anb à la regie coudée
b ncd, que cette derniere soit mobiieà cet endroit, pour
des raisons que Ton appercevra dans la suite.
Les ouvertures R, S, sont pratiquées sous la piece bna,
que cette piece doit boucher exa&ement ; il faut donc la
concevoir mobile entre les aeux couiistTes de n en 0 , sa
posttion est ici ponâuée de 0 en n.
Si Ton suppose à présent que cette castsote soit pleine ôc
que la roue tourne suivant l’arc IZ, J’ori voit que quand
Textrêmité d de la regle coudée dcnb mobile en c vien-
dra à rencontrer le point fixe P, la regle coudée dcnb
chasssera la piece bna de n en 0 ; les trous se trouvant alors
débouchés, la castsote rendra son eau dans le réservoir,
comme on le voit dans la premiere ôt ia seconde figure.
La roue circulant toujours, cette cafîbte restera ouverte &
se prolongera en se remplifîant jusqu’à ce qu’elle rencon-
tre une autre cheville ou pointfixe, semblable au premier;
celui-ci est étabii au mur AC, dans lefond dela riviere en Y:
( figures premiere ôc seconde ) pour lors Pextrêmité b de la
piece b nc d venant à rencontrer le point fixe Y, la regle
coudée tirera avec elie la piece b na, Ôc les trous se trou-
veront bouchés jusqu’à ce qu’elie rencontre de nouveau le
point fixe supérieur.
II n y a à craindre dans cette construdion qu*un inconvé-
nient qui pourroit rendre cette machine d’un grand en-
tretien ;c 3est que lesrivieresqui charientbeaucoup desabie
& d’ordures, rempliroient les coulifîes, ôt empêcheroient
par ce moyen l’ouverture ôc fermeture des cassbtes, ôc
pourroient encore les faire rompre.
Sur cette objedion l’Auteur a changé ia construdion