Recueîl des Machineî!
ri
1720.
N°.2I8,
2ip(
220,
• N O UVELLES
CONSTRUCTIONS
D E CHEMINÉE»
INVENTÉES
P A R M. G A U G E R.
LE contour A H C c h a est à peu près parabolique; P lAkche
F/'ellle foyer , dans lequel on a réservé le cendrier
KT,tk, d 3 ’environ deux pouces deprofondeur; au-devant
du cendrier est un soufflet Z formé par un conduit
d’air qui vient du dehors, ôc par une petite trappe à char-
niere que l’on leve plus ou moins à ce même endroit Z ;
aux deux côtés de la cheminée sont ies ouvertures T)d9
par oli paste l’air froid , ôc qui en circulant dans des cavi-
tés faites derriere le contrecucur O N n 0 , sort par une
des ouvertures R ou r. L’aiguilleg'0 quiparoît sur le cham-
branle de la cheminée, marque sur une espece de petit ca-
dran les différens degrés de chaleur.
L’on suppose le contour AHC, c h a, couvert d’une
plaque de cuivre ou de tôle , ôc derriere cette plaque un
espace vuide d’environ quatre pouces de profondeur , di-
visé ôc séparé par plusieurs languettes , qui forment diffé-
rentes cavitésou tuyaux quarrés mis à côté l’unde l’autre,
dont le premier communique avec le second , le second
avec le troisieme, ôc ainsi. de suite ; en sorte que le tout
ensemble forme une espece de canal recourbé, dont un
bout D est en bas, ôc l’autre R en haut d’un des jambages
dela cheminée. L’on suppose aussi le chambranle B qgs
Bij
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N°.2I8,
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CONSTRUCTIONS
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INVENTÉES
P A R M. G A U G E R.
LE contour A H C c h a est à peu près parabolique; P lAkche
F/'ellle foyer , dans lequel on a réservé le cendrier
KT,tk, d 3 ’environ deux pouces deprofondeur; au-devant
du cendrier est un soufflet Z formé par un conduit
d’air qui vient du dehors, ôc par une petite trappe à char-
niere que l’on leve plus ou moins à ce même endroit Z ;
aux deux côtés de la cheminée sont ies ouvertures T)d9
par oli paste l’air froid , ôc qui en circulant dans des cavi-
tés faites derriere le contrecucur O N n 0 , sort par une
des ouvertures R ou r. L’aiguilleg'0 quiparoît sur le cham-
branle de la cheminée, marque sur une espece de petit ca-
dran les différens degrés de chaleur.
L’on suppose le contour AHC, c h a, couvert d’une
plaque de cuivre ou de tôle , ôc derriere cette plaque un
espace vuide d’environ quatre pouces de profondeur , di-
visé ôc séparé par plusieurs languettes , qui forment diffé-
rentes cavitésou tuyaux quarrés mis à côté l’unde l’autre,
dont le premier communique avec le second , le second
avec le troisieme, ôc ainsi. de suite ; en sorte que le tout
ensemble forme une espece de canal recourbé, dont un
bout D est en bas, ôc l’autre R en haut d’un des jambages
dela cheminée. L’on suppose aussi le chambranle B qgs
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