APPROUVÉES PAR l’AcADÊMIE.
*5$
17 26.
N °.2.6$,
QUI MARQUE LE TEMPS VRAI,
INVENTKE
PAR M. KR IEGLEISSEN.
E cadran A B fait sa révolution dans Tespace cTe Fig. I.
vingt-quatre heures. Les heures y sont marquées à
l’Itaiienne, ëc sont au nombre de vingt-quatre. Le cadran
étant mobile, on supprime ies aiguilles, ôc on fixe à la
partie supérieure une fleur de lis F, qui marque rheure,
A côté est un soleii S qui marque sur les divisions D E ,
gravées sur la plaque du cadran qui est fixe, les minutes du
temps vrai. Voici ia méchanique employéepour cet effet.
L’on suppose ce cadran renversé ; par ce moyen l’on f IG» II*
voit ia roue annueiie RN menée à rorainaire par le mou-
vement : sur cette roue est attachée la courbe d’équation Y,
■qui frotte sur Fextrêmité X du levier X V T, mobile au-
tour du point V. C’est àl’autre extrêmité de celevier qu’est
fïxé le soleii S; ie ressort Z est pour pousserle levier sur
la courbe, afin qu’il s*y appiique exaàement.
La roue annueüe R N faisant son tour en un an, il est
clair que la courbe Y circulant aussi, se présentera diffé-
remment à Fextrêmité X du levier , ôc que le levier s’ap-
prochera du centre en raison des inégalités de la courbe ,
ce qui ne peut arriver sans que le soleil S ne parcoure sur
les divisions D E, des espaces qui soient en même raison 9
puisque les bras du levier T V, VX sont égaux ; le temps Fig. I.
vrai se trouye marqué par un des rayons du soleil, pen.«
V ij
P E N D U L E
*5$
17 26.
N °.2.6$,
QUI MARQUE LE TEMPS VRAI,
INVENTKE
PAR M. KR IEGLEISSEN.
E cadran A B fait sa révolution dans Tespace cTe Fig. I.
vingt-quatre heures. Les heures y sont marquées à
l’Itaiienne, ëc sont au nombre de vingt-quatre. Le cadran
étant mobile, on supprime ies aiguilles, ôc on fixe à la
partie supérieure une fleur de lis F, qui marque rheure,
A côté est un soleii S qui marque sur les divisions D E ,
gravées sur la plaque du cadran qui est fixe, les minutes du
temps vrai. Voici ia méchanique employéepour cet effet.
L’on suppose ce cadran renversé ; par ce moyen l’on f IG» II*
voit ia roue annueiie RN menée à rorainaire par le mou-
vement : sur cette roue est attachée la courbe d’équation Y,
■qui frotte sur Fextrêmité X du levier X V T, mobile au-
tour du point V. C’est àl’autre extrêmité de celevier qu’est
fïxé le soleii S; ie ressort Z est pour pousserle levier sur
la courbe, afin qu’il s*y appiique exaàement.
La roue annueüe R N faisant son tour en un an, il est
clair que la courbe Y circulant aussi, se présentera diffé-
remment à Fextrêmité X du levier , ôc que le levier s’ap-
prochera du centre en raison des inégalités de la courbe ,
ce qui ne peut arriver sans que le soleil S ne parcoure sur
les divisions D E, des espaces qui soient en même raison 9
puisque les bras du levier T V, VX sont égaux ; le temps Fig. I.
vrai se trouye marqué par un des rayons du soleil, pen.«
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