APPROUVÉES PAR L’ÀCADÉMîE*
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TELESCOPE —
DE RÉFLEXION,
I N V E N T Ê
PAR M, JACQUES LE M-AIRE.
AB est un tuyau o£logoueauquel î’on ajoute la partie Jig. L
BD de même épaisseur que le tuyau, & qui va en s'élar- Fio, IL
gissant vers A. A Fextrêmité D représentée en grand dans
la deuxieme figure est un chassis EF joint au corps de la
boîte ài’endroit FG par deux vis, autour desquelles il se
peut mouvoir ; ce chassis est de laiton , & est fixé à une
piece H de même matiere faite en màniere de soufflet ,
qui entre par une ouverture quarrée dans le corps de la
boîte, desorte qu’au moyen de l’écrou I, quifait mouvoir
la vis K j fermement attachée à îa partie E, l’on peut éloi-
gner ou approcher plus ou moins le chassis du corps de la
boîte; c’est-à-dire, que la partie H faite en soufflet peut
s*y loger entierement ; pour lors le chassis est intimement
uni au corps de la boîte. Le tuyau L, qui porte l’ocu-
laire de la lunette joint à ce chassis, peut se mouvôir de E
versF, & réciproquement de F vers E, ce qui se fait
par le moyen d’un ruban attaché de part ôc d’autre sur la
plaque qui porte sur la lunette : cette plaque est assujettie
dans les coulisses qui lui permettent ce mouvement, lorb
que l’on fait tourner avec la clef O l’un des deux pivots
MN, sur quoi se roule le ruban de la lunette. Cette pla-
que porte encore une lame de laiton P fort mince r dont
on dira l’usage»
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TELESCOPE —
DE RÉFLEXION,
I N V E N T Ê
PAR M, JACQUES LE M-AIRE.
AB est un tuyau o£logoueauquel î’on ajoute la partie Jig. L
BD de même épaisseur que le tuyau, & qui va en s'élar- Fio, IL
gissant vers A. A Fextrêmité D représentée en grand dans
la deuxieme figure est un chassis EF joint au corps de la
boîte ài’endroit FG par deux vis, autour desquelles il se
peut mouvoir ; ce chassis est de laiton , & est fixé à une
piece H de même matiere faite en màniere de soufflet ,
qui entre par une ouverture quarrée dans le corps de la
boîte, desorte qu’au moyen de l’écrou I, quifait mouvoir
la vis K j fermement attachée à îa partie E, l’on peut éloi-
gner ou approcher plus ou moins le chassis du corps de la
boîte; c’est-à-dire, que la partie H faite en soufflet peut
s*y loger entierement ; pour lors le chassis est intimement
uni au corps de la boîte. Le tuyau L, qui porte l’ocu-
laire de la lunette joint à ce chassis, peut se mouvôir de E
versF, & réciproquement de F vers E, ce qui se fait
par le moyen d’un ruban attaché de part ôc d’autre sur la
plaque qui porte sur la lunette : cette plaque est assujettie
dans les coulisses qui lui permettent ce mouvement, lorb
que l’on fait tourner avec la clef O l’un des deux pivots
MN, sur quoi se roule le ruban de la lunette. Cette pla-
que porte encore une lame de laiton P fort mince r dont
on dira l’usage»