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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 6.1732/​34 (1735) [Cicognara, 917F]

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Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences
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No. 392
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https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0172
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R E C U E 1 L D E S M AC H I N E S
une fois placé, à moins d'un cas extraordinaire, puisque îa
1732. vôye se réduit à la largeur du pas du chevai, qui se trouve
N°.3p2. dans le plan vertical de la roue ôt du milieu du coffre. II
—— faudra avoir attention de faire soutenir la chaife du côté du
niontoir ; sans cela on pourroit en montant avec trop de
précipitation, se mettre en danger de se jetter la chaise sur
îe corps. On seroit en quelque maniere plus sûr si cette
chaise avoit un brancard ordinaire ; c’est-à'dire , à deux
limons, entre lesquels seroit piacé ie cheval : car i’équipage
n’ayant qu’une roue ne tourne que sur un point ; par con-
séquent il est tout-à-fait inutile que ie chevai tourne lui-
même sous son harnois.

Un des grands inconvdniens de cette chaise consiste
dans la pesanteur de l’équipage, jointe au poids que l’ont
luiajoute , asin de luidonner une pesanteur capable d’em-
pêcher qu’elie ne verse , ôt que la plus grande pesanteur
se trouve toujours au-desious des points de la suspension;
ce poids se trouvant réuni sur les reins du cheval, doit ie
fatiguer beaucoup, Ôt rendre le tirageplus difficile.

Fig. Iï. Le second équipage NO est formé d’un train de chaise
ordinaire, c’est-à-dire, à deux roues avec unbrancard;mais
elle est sans ressbrts ni soûpentes. Le coffre P est suspendu
par deux leviers de bois tels que RS , fermement attachés
au brancard par des écrous à i’endroit R. L’autre bout S du
même bras va soutenir le derriere de la chaise, qui est
suspendue au-devant par deux autres bras ou leviers TT,
mais beaucoup plus petits que les premiers, ôt qui sont assu-
jettis à une traverse élevée au-dessus du brancard par le
moyen de deux petits montans.

La douceur de çet équipage dépendra du choix du bois
dont on fera les leviers qui tiennent le coffre suspendu.

Fig. III. La troisieme chaise VX est ,de mçme que la seconde 9
montée sur un brancard à deux roues ; elle differe des au-
tres en ce qu’elle rTest suspendue que par le milieu du de-
vant ôt du derriere du coffse par une soûpente seulement

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