DOI issue:
Recueil des Machines Année 1742
DOI article:N. 452
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0214
*7*2.
N 0.^? 2-
14S Recueil des Machines
tion de cet échappement ainsi que des timbres, & les
deux roues noyées dans la platine de dessus, marquées des
mêmes lettresD, 3 , dans la quadrature {fig. 3.) :ie rochet
P est pour ce reveil, dont on ne voit ausïi la roue que dans
la auadrature : en voici le détail.
1 , 2,3 , 4, 5, (fig. 3.) sont les roues du mouvement,
dont ia roue 4 porte saiguiile des secondes , & fait un
tour par minute ; le doubie rochet y est l’échappement à
repos. P, R sontles rouesde reveil, la roue de rencontre
P est, comme on le voit dans ia seconde figure, hors de
la cage, & la roue de reveil R est en dedans : cette roue ,
( c'est-à-dire la roue P ) est retenue sur ia platine de dessus
par un coq, de même que le marteau T garni de son res-
îort ; ces pieces sontà sordinaire, le barillet de cereveil
tient à la platine des piüiers en dedans de la cage, & à une
demi-ligne moins de diametre que la roue R : le remon-
toir V est pour fixer ies tours durestbrt,il est en dehors
de la platine. X, Z (fig. 2.) sont les encli&agesdesbarillets
marqués I, C dans le calibre (fig. 3. ) : tous les engrenages
des roues sont natureis,ôt se mèuvent avecleurs pignons,’
dans le principe du mouvement ; & pouréviter la roue de
champ , le balancier est sur Je côté de la cage avecla cou-
listse ôt les pieces qui en dépendent; le baiancier a vingt
îignes de diametre, & fait trois vibrations par seconde.
C, D, E, F, G , sont les roues de la sonnerie, & H
est ie pignon du voiant ; les remontoirs des bariliets I, C,
pour en fixer les tours de refîort, sont noyés dans se'pais-
îeur de leurs roues; ies rochets X, Z, pour tenir Jes res-
sortstendus , sont sur la piatine de defîus; chaque grand
refîort fait dix tours dans son barillet, Fon en choisitqua-
tre des plus égaux pour trente heures.
Les points I,K sontles centres des marteaux qui font
leurs levées dans sintérieur de la cage , & par ce moyen
frappe de même le timbre; les levées des marteaux sefont
par des doubles leviers en dedans de la quadrature que les
rochets delasonnerie font agir.
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14S Recueil des Machines
tion de cet échappement ainsi que des timbres, & les
deux roues noyées dans la platine de dessus, marquées des
mêmes lettresD, 3 , dans la quadrature {fig. 3.) :ie rochet
P est pour ce reveil, dont on ne voit ausïi la roue que dans
la auadrature : en voici le détail.
1 , 2,3 , 4, 5, (fig. 3.) sont les roues du mouvement,
dont ia roue 4 porte saiguiile des secondes , & fait un
tour par minute ; le doubie rochet y est l’échappement à
repos. P, R sontles rouesde reveil, la roue de rencontre
P est, comme on le voit dans ia seconde figure, hors de
la cage, & la roue de reveil R est en dedans : cette roue ,
( c'est-à-dire la roue P ) est retenue sur ia platine de dessus
par un coq, de même que le marteau T garni de son res-
îort ; ces pieces sontà sordinaire, le barillet de cereveil
tient à la platine des piüiers en dedans de la cage, & à une
demi-ligne moins de diametre que la roue R : le remon-
toir V est pour fixer ies tours durestbrt,il est en dehors
de la platine. X, Z (fig. 2.) sont les encli&agesdesbarillets
marqués I, C dans le calibre (fig. 3. ) : tous les engrenages
des roues sont natureis,ôt se mèuvent avecleurs pignons,’
dans le principe du mouvement ; & pouréviter la roue de
champ , le balancier est sur Je côté de la cage avecla cou-
listse ôt les pieces qui en dépendent; le baiancier a vingt
îignes de diametre, & fait trois vibrations par seconde.
C, D, E, F, G , sont les roues de la sonnerie, & H
est ie pignon du voiant ; les remontoirs des bariliets I, C,
pour en fixer les tours de refîort, sont noyés dans se'pais-
îeur de leurs roues; ies rochets X, Z, pour tenir Jes res-
sortstendus , sont sur la piatine de defîus; chaque grand
refîort fait dix tours dans son barillet, Fon en choisitqua-
tre des plus égaux pour trente heures.
Les points I,K sontles centres des marteaux qui font
leurs levées dans sintérieur de la cage , & par ce moyen
frappe de même le timbre; les levées des marteaux sefont
par des doubles leviers en dedans de la quadrature que les
rochets delasonnerie font agir.