\q$ Recueil des Machines
tre pilliers qui ne sont pas figurés pour éviter la coivî
1742. fusion.
A & a sont deux larges poulies qui ont à leur con-
---tour une gorge assez profonde pour contenir la corde
qui sert au tirage.'
T fig. 2, est un bariÜet ou tambour, attaché à Fune des
pouiies ; il est traversé d’un arbre qui entre en quarré dans
le centre de i’autre pouiie : un reisort de montre piacé
dans ce tambour, est accroché par son extrêmité exté-
rieure au tambour , & par l’autre à l’arbre ; ii est par
là en état d’agir en même-témps sur les deux pouües.
G g font de fortes cheviiles attachées chacune à i’une
de ces deux poulies, du coté des platines, comme on
le voit mieux dans la figure 3.
B b sont deux ciiquets , dont chacun est attaché
à Fune des poulies, de maniere qu’il y tourne sur un
pivot étant pouste par le ressort R r jusqu à ce que ce
■ciiquet se trouve appuyé sur ia petite cheville O.
CXD, cxd, sont deux grands ciiquets, dont Tex- 1
trêmité C, ou c, est poussée par un ressort Rr pour tom-
ber entre deux ailes de l’étoile E.
On ne représente point ces deux cliquets dans la R-
gure 3, pour ne pas couvrir les autres pieces : chacun
de ces ciiquets est monté sur un arbre qui se meut par
ces pivots entre les deux platines ; chaque branche XD,
ou x d, est arrêtée ôc fixée sur le même arbre au joigr
nant de i’une des platines, eüe est levée par ia che-
ville G, ou g, lorsque l’odometre marque.
E est une étoile, qui avec deux pignons de 6 aÜes
qiselle a à ses côtés, rouie sur des pivots communs en-
tre les deux platines.
Q q sont deux petites roulettes qui ont des gorges
semblables à ceües des grandes poulies; elles serventà
contenir les cordes dans les gorges des grandes pouÜes,
en même-temps à faire que les cordes sortant de
i’odometre
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tre pilliers qui ne sont pas figurés pour éviter la coivî
1742. fusion.
A & a sont deux larges poulies qui ont à leur con-
---tour une gorge assez profonde pour contenir la corde
qui sert au tirage.'
T fig. 2, est un bariÜet ou tambour, attaché à Fune des
pouiies ; il est traversé d’un arbre qui entre en quarré dans
le centre de i’autre pouiie : un reisort de montre piacé
dans ce tambour, est accroché par son extrêmité exté-
rieure au tambour , & par l’autre à l’arbre ; ii est par
là en état d’agir en même-témps sur les deux pouües.
G g font de fortes cheviiles attachées chacune à i’une
de ces deux poulies, du coté des platines, comme on
le voit mieux dans la figure 3.
B b sont deux ciiquets , dont chacun est attaché
à Fune des poulies, de maniere qu’il y tourne sur un
pivot étant pouste par le ressort R r jusqu à ce que ce
■ciiquet se trouve appuyé sur ia petite cheville O.
CXD, cxd, sont deux grands ciiquets, dont Tex- 1
trêmité C, ou c, est poussée par un ressort Rr pour tom-
ber entre deux ailes de l’étoile E.
On ne représente point ces deux cliquets dans la R-
gure 3, pour ne pas couvrir les autres pieces : chacun
de ces ciiquets est monté sur un arbre qui se meut par
ces pivots entre les deux platines ; chaque branche XD,
ou x d, est arrêtée ôc fixée sur le même arbre au joigr
nant de i’une des platines, eüe est levée par ia che-
ville G, ou g, lorsque l’odometre marque.
E est une étoile, qui avec deux pignons de 6 aÜes
qiselle a à ses côtés, rouie sur des pivots communs en-
tre les deux platines.
Q q sont deux petites roulettes qui ont des gorges
semblables à ceües des grandes poulies; elles serventà
contenir les cordes dans les gorges des grandes pouÜes,
en même-temps à faire que les cordes sortant de
i’odometre
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