LANTERNE
A RÉVEREERE,
INVENTÈE
PAR M. BOURGEOIS BE CHÀTEAUBLANC* 1
E corps de la lanterne à réverbere efl: formé d'uix'
,1 j cône de verre blanc ABC, ôt le dessus AECDF,
peut être ou de cuivre ou de fer blanc. Au centre de
ce couvercle qui ess: convexe, eil adapté la cheminéeF
G; cette cheminée se sépare parallelement à son axe,'
& emporte avec elle une partie ECD, du dessus, com-
me on le voit, fig. 2; l’autre partie FAE, fig. 1 ,
reste toujours fixe, de même que la moitié de la ehe-
minée qui y est soudée.
L'intérieur de Cette cheminée, fig. 2 9 est faite d’utt
tuyan r.M, pius petit que le premierô, placé con«
centriquement ôc à un demi-pouce de distance j il est
percé d’un grand nombre de trous par oh la fumée s’é-
chappe ôc sort tout-à-fait du corps de la lanterne par
des ouvertures que Ton pratique au-dessous du couver-
cle Z, auquel tient un fort piton par lequel la lanter-
ne est suspendue.
Lhntérieur de la lanterne est composé du porre-me-
che PR, fig. 2 , qui tient par deux tuyaux PY, au ré-
servoir d’huile N, fixé au point C de la partie mobile
du couvercle. Le tuyau OP distribue shuile dans ce
porte-meche PR ; ôc coname il est percé par son extrê-
mité R, on le renferme dans le second tuyau ST : on
çomprend que le garde-meche n’est percé dans toute
Rec, des Machines,
Tome VIL M m
A RÉVEREERE,
INVENTÈE
PAR M. BOURGEOIS BE CHÀTEAUBLANC* 1
E corps de la lanterne à réverbere efl: formé d'uix'
,1 j cône de verre blanc ABC, ôt le dessus AECDF,
peut être ou de cuivre ou de fer blanc. Au centre de
ce couvercle qui ess: convexe, eil adapté la cheminéeF
G; cette cheminée se sépare parallelement à son axe,'
& emporte avec elle une partie ECD, du dessus, com-
me on le voit, fig. 2; l’autre partie FAE, fig. 1 ,
reste toujours fixe, de même que la moitié de la ehe-
minée qui y est soudée.
L'intérieur de Cette cheminée, fig. 2 9 est faite d’utt
tuyan r.M, pius petit que le premierô, placé con«
centriquement ôc à un demi-pouce de distance j il est
percé d’un grand nombre de trous par oh la fumée s’é-
chappe ôc sort tout-à-fait du corps de la lanterne par
des ouvertures que Ton pratique au-dessous du couver-
cle Z, auquel tient un fort piton par lequel la lanter-
ne est suspendue.
Lhntérieur de la lanterne est composé du porre-me-
che PR, fig. 2 , qui tient par deux tuyaux PY, au ré-
servoir d’huile N, fixé au point C de la partie mobile
du couvercle. Le tuyau OP distribue shuile dans ce
porte-meche PR ; ôc coname il est percé par son extrê-
mité R, on le renferme dans le second tuyau ST : on
çomprend que le garde-meche n’est percé dans toute
Rec, des Machines,
Tome VIL M m