DES ANCIENS PEUPLES. 379
à Athènes, près du tombeau d'Amphitryon, on joignait un
trépied d'airain à une couronne de myrte.
A ceux de Junon à Argos, à Egine, une couronne de
myrte et un bouclier d'airain; on lui immolait cent bœufs
dont la chair était distribuée au peuple.
. A ceux de Gérés et Proserpine à Eleusis, une couronne
de peuplier et de l'orge (a).
A ceux de Jupiter Lycéen, institués par Lycaon, et à
ceux qu'on appelait koieia, aleaia, on ajoutait des armes
d'un travail recherché.
A ceux d'Hercule à Marathon, une fiole d'argent.
Aux petites pythiennes ou adrastées, en l'honneur d'Apol-
lon, à Sycione, une fiole d'argent et une couronne.
Un vase d'argent à ceux d'Eaque, dans l'isle d'Egine.
Un vase de terre cuite plein d'huile aux panathénées.
Une espèce de manteau aux diia, en l'honneur de Ju-
piter, à Athènes; aux théoxénies, en honneur d'Apollon
Théoxénien ; aux hermaia, en l'honneur de Mercure (b).
Les jeux isthmiques, renouvelés par Thésée en l'hon- Jenxisthmi-
neur de Neptune, étaient du nombre des grands jeux, nues'
pendant lesquels il devait y avoir une paix ou au moins
une trêve générale dans toute la Grèce : on les célébrait
tous les quatre ans; ils consistaient dans la course, le pu-
gilat, la musique, et la poésie; on y ajouta ensuite le spec-
tacle d'une chasse d'animaux rares: le prix consistait en
une couronne d'ache sèche.
Les callisteles se célébraient dans l'isle de Lesbos, où canisses à
Lesbos; prix de
. . . , la beaulé.
(«) Ceux-ci portaient divers noms, tels que les éleusinies, les anaca-
ljpteries, les démétries.
(b) Aux jeux d'Alcatoûs il n'y avait qu'une couronne de myrte, comme
a ceux de Triptolème une de peuplier blanc seulement.
à Athènes, près du tombeau d'Amphitryon, on joignait un
trépied d'airain à une couronne de myrte.
A ceux de Junon à Argos, à Egine, une couronne de
myrte et un bouclier d'airain; on lui immolait cent bœufs
dont la chair était distribuée au peuple.
. A ceux de Gérés et Proserpine à Eleusis, une couronne
de peuplier et de l'orge (a).
A ceux de Jupiter Lycéen, institués par Lycaon, et à
ceux qu'on appelait koieia, aleaia, on ajoutait des armes
d'un travail recherché.
A ceux d'Hercule à Marathon, une fiole d'argent.
Aux petites pythiennes ou adrastées, en l'honneur d'Apol-
lon, à Sycione, une fiole d'argent et une couronne.
Un vase d'argent à ceux d'Eaque, dans l'isle d'Egine.
Un vase de terre cuite plein d'huile aux panathénées.
Une espèce de manteau aux diia, en l'honneur de Ju-
piter, à Athènes; aux théoxénies, en honneur d'Apollon
Théoxénien ; aux hermaia, en l'honneur de Mercure (b).
Les jeux isthmiques, renouvelés par Thésée en l'hon- Jenxisthmi-
neur de Neptune, étaient du nombre des grands jeux, nues'
pendant lesquels il devait y avoir une paix ou au moins
une trêve générale dans toute la Grèce : on les célébrait
tous les quatre ans; ils consistaient dans la course, le pu-
gilat, la musique, et la poésie; on y ajouta ensuite le spec-
tacle d'une chasse d'animaux rares: le prix consistait en
une couronne d'ache sèche.
Les callisteles se célébraient dans l'isle de Lesbos, où canisses à
Lesbos; prix de
. . . , la beaulé.
(«) Ceux-ci portaient divers noms, tels que les éleusinies, les anaca-
ljpteries, les démétries.
(b) Aux jeux d'Alcatoûs il n'y avait qu'une couronne de myrte, comme
a ceux de Triptolème une de peuplier blanc seulement.