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LES INSCRIPTIONS DE M. DE ROUGÉ
dans le premier volume la matière des planches I, III, IV (en
partie), XXX-XXXI, XXXIII-XXXIV, XXXVI-XLIII,
LIV, LVI (en partie); Gizéh, IV (en partie), LU (en partie),
LX-LXVI; Mitrahinnéh, XLV-XLVI; Abydos, II, VIII-
XXII, XXIX, XXXII, XXXV, XLIV, XLVII, LII-LIII
(en partie), LV (en partie), LVII; Thèbes-Karnak, VII,
XVIII (en partie), XXIII-XXVIII; Déïr-el-Bahari, LI;
Drah-abou'l-neggah, LV; Gournah, LVI (en partie); San,
XXXV (en partie), LXVI-LXXVI; plus un certain nombre
de monuments qui ne portent aucune indication de prove-
nance, mais qui sont conservés au Musée de Boulaq.
Les renseignements sur l'Ancien-Empire ont déjà été mis
en œuvre par E. cle Rougé lui-même,, dans ses Recherches
sur les Monuments qu'on peut attribuer aux six premières
dynasties de Manéthon. Cet ouvrage est classique aujour-
d'hui, et les faits nouveaux alors qui y étaient signalés sont
entrés dans le courant de la science. Tout au plus, trouve-
rait-on à signaler dans le présent volume quelques détails
que E. de Rougé avait laissés de côté, les réservant sans
doute pour un mémoire complémentaire : quelques parti-
cularités grammaticales du très ancien égyptien, la prépo-
sition composée [I 1\ en-am, par exemple, employée
nam-s « elle a fait l'offrande funéraire pour elle » (pl. V, a,
1. 3), ou des rudiments de formules qu'on trouvera plus tard
très développées (pl. III). Il est malheureux que le texte re-
produit sur la première planche soit si déplorablement mu-
tilé. C'était une sorte d'instrument officiel, par lequel un
Égyptien de la IV dynastie établissait et réglait les dis-
positions du culte funéraire qu'on devait lui rendre après sa
mort. Les lignes conservées se rapportent à la partie commi-
natoire du texte. Le donateur, après avoir énuméré les do-
maines qu'il attribuait à l'entretien du service et institué les
prêtres, prévoyait le cas où quelqu'un des employés tenterait
dans le sens de pour,
ar-nas parkhrîou
LES INSCRIPTIONS DE M. DE ROUGÉ
dans le premier volume la matière des planches I, III, IV (en
partie), XXX-XXXI, XXXIII-XXXIV, XXXVI-XLIII,
LIV, LVI (en partie); Gizéh, IV (en partie), LU (en partie),
LX-LXVI; Mitrahinnéh, XLV-XLVI; Abydos, II, VIII-
XXII, XXIX, XXXII, XXXV, XLIV, XLVII, LII-LIII
(en partie), LV (en partie), LVII; Thèbes-Karnak, VII,
XVIII (en partie), XXIII-XXVIII; Déïr-el-Bahari, LI;
Drah-abou'l-neggah, LV; Gournah, LVI (en partie); San,
XXXV (en partie), LXVI-LXXVI; plus un certain nombre
de monuments qui ne portent aucune indication de prove-
nance, mais qui sont conservés au Musée de Boulaq.
Les renseignements sur l'Ancien-Empire ont déjà été mis
en œuvre par E. cle Rougé lui-même,, dans ses Recherches
sur les Monuments qu'on peut attribuer aux six premières
dynasties de Manéthon. Cet ouvrage est classique aujour-
d'hui, et les faits nouveaux alors qui y étaient signalés sont
entrés dans le courant de la science. Tout au plus, trouve-
rait-on à signaler dans le présent volume quelques détails
que E. de Rougé avait laissés de côté, les réservant sans
doute pour un mémoire complémentaire : quelques parti-
cularités grammaticales du très ancien égyptien, la prépo-
sition composée [I 1\ en-am, par exemple, employée
nam-s « elle a fait l'offrande funéraire pour elle » (pl. V, a,
1. 3), ou des rudiments de formules qu'on trouvera plus tard
très développées (pl. III). Il est malheureux que le texte re-
produit sur la première planche soit si déplorablement mu-
tilé. C'était une sorte d'instrument officiel, par lequel un
Égyptien de la IV dynastie établissait et réglait les dis-
positions du culte funéraire qu'on devait lui rendre après sa
mort. Les lignes conservées se rapportent à la partie commi-
natoire du texte. Le donateur, après avoir énuméré les do-
maines qu'il attribuait à l'entretien du service et institué les
prêtres, prévoyait le cas où quelqu'un des employés tenterait
dans le sens de pour,
ar-nas parkhrîou