DOI article:
Pallary, Paul: Catalogue de la faune malacologique de l'Égypte
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.11326#0043
— .).) —
Xerophila rhytipliora Charpentier.
lil'iT. Ciuni'ENTiEH : Zeitschr. f. Malak. p. 131.
Voici la copie de la brève diagnose originale:
« Testa umbilicata, globoso-deprcssa, subtus convexa, in medio angu\ata, rugoso-
striala, efasciata, opaca, cretacea ; apertura lunato rotundata : peristomatc recto,
acuto, intus ruIVt. «.remote albolal)iato. marginibus approximalis ».
« Diam. 10, ait. 5 mm. ; anfract. i x/2.»
Le Caire (Boissier).
Je n'ai rien reçu du Caire qui puisse être assimilé à cette espèce cependant
facilement reconnaissable à ses dimensions, à son test opaque orné de stries rugueuses,
à sa coloration blanche, à sa spire très déprimée, à ses derniers tours ânguleux cl à
son péristome rougeàtre à l'intérieur. Peut-être y a-t-il eu erreur de localité ? En tout
cas, aucun des auteurs qui se sont occupés de la faune égyptienne ne donnent
d'autres détails que ceux de Charpentier sur cette hélice.
Section : JACOSTA Gray.
Xerophila (Jacosta) Liedercri Pfeiffer.
1856. Pfeiffer : Malak Blœtter, p. 13.
1863. Iîodkcuignat : Moll. nouv litig.. p. 69, pl. Il liir. 1-5.
Synonymes : //. Ludersi Zelcbor in coll. Rossmasslei\ et //. siderites Parreyss,
apud Marions : Nachr. Bl. 1871.
Cotes orientales de l'Egypte, probablement au voisinage de l'Isthme de Suez.
Cette espèce syrienne ne vit sûrement pas dans le Delta.
Xerophila (Jacosta) libyea, Ponsunky.
188:5. Kobelt : Nachr. BL. p. 181 el Iconogr. VI, p. 76, fig. 1002.
18!)2. Pilsbby : Manual of Conchol. ; vol. VIII. p. 185, pl. 27. fig. 53-57.
Libye.
Xerophila (Jacosta) Bérénice, Kobelt.,
1883. Kobelt: Nachr. Bl., p. 182. et Iconogr. VI, p. 77, fig. 1093.
1892. Pilsury: Mon. of. Conchol.. p. 185, pl. 27. fig. 58-60.
Libye.
Voici les caractères principaux de celte espèce donnés par Westerlund d'après
l'exemplaire original appartenant à l'Amiral Spratt.
« Coquille à perforation sûb recouverte, globuloïdo-conique, complètement privée
de sculpture, présentant seulement de petites rides et sillons, ça et là dans la croûte
calcaire bleue sale qui recouvre le test presque partout ; tours (5 Va — les 2 vj%
5
Xerophila rhytipliora Charpentier.
lil'iT. Ciuni'ENTiEH : Zeitschr. f. Malak. p. 131.
Voici la copie de la brève diagnose originale:
« Testa umbilicata, globoso-deprcssa, subtus convexa, in medio angu\ata, rugoso-
striala, efasciata, opaca, cretacea ; apertura lunato rotundata : peristomatc recto,
acuto, intus ruIVt. «.remote albolal)iato. marginibus approximalis ».
« Diam. 10, ait. 5 mm. ; anfract. i x/2.»
Le Caire (Boissier).
Je n'ai rien reçu du Caire qui puisse être assimilé à cette espèce cependant
facilement reconnaissable à ses dimensions, à son test opaque orné de stries rugueuses,
à sa coloration blanche, à sa spire très déprimée, à ses derniers tours ânguleux cl à
son péristome rougeàtre à l'intérieur. Peut-être y a-t-il eu erreur de localité ? En tout
cas, aucun des auteurs qui se sont occupés de la faune égyptienne ne donnent
d'autres détails que ceux de Charpentier sur cette hélice.
Section : JACOSTA Gray.
Xerophila (Jacosta) Liedercri Pfeiffer.
1856. Pfeiffer : Malak Blœtter, p. 13.
1863. Iîodkcuignat : Moll. nouv litig.. p. 69, pl. Il liir. 1-5.
Synonymes : //. Ludersi Zelcbor in coll. Rossmasslei\ et //. siderites Parreyss,
apud Marions : Nachr. Bl. 1871.
Cotes orientales de l'Egypte, probablement au voisinage de l'Isthme de Suez.
Cette espèce syrienne ne vit sûrement pas dans le Delta.
Xerophila (Jacosta) libyea, Ponsunky.
188:5. Kobelt : Nachr. BL. p. 181 el Iconogr. VI, p. 76, fig. 1002.
18!)2. Pilsbby : Manual of Conchol. ; vol. VIII. p. 185, pl. 27. fig. 53-57.
Libye.
Xerophila (Jacosta) Bérénice, Kobelt.,
1883. Kobelt: Nachr. Bl., p. 182. et Iconogr. VI, p. 77, fig. 1093.
1892. Pilsury: Mon. of. Conchol.. p. 185, pl. 27. fig. 58-60.
Libye.
Voici les caractères principaux de celte espèce donnés par Westerlund d'après
l'exemplaire original appartenant à l'Amiral Spratt.
« Coquille à perforation sûb recouverte, globuloïdo-conique, complètement privée
de sculpture, présentant seulement de petites rides et sillons, ça et là dans la croûte
calcaire bleue sale qui recouvre le test presque partout ; tours (5 Va — les 2 vj%
5