SM
B Kunstbibliothek
Staatliche Museen
zu Berlin
Archiv Nr. 1730
stries de finissage sont parfaitement visibles et n’ont donc pas
Ete attaquees par une alte&ration de plusieurs si&cles et que la
patine artificielle se compose d’une couche exträmement mince
et tenace de sulfure d’ argent bleu fonce; enfin, que Vlobjet
presente une couleur grise blanchätre, rappelant l’argent a plus
de 80% et donc incompatible avec les 30% de cuivre pr6sents.
La statuette a d’abord &te amen6e ä sa forme definitive par
coulee, puis finie; presentant une teinte jaunätre, inacceptable
pour un alliage d’argent egyptien, elle fut recouverte d’une tres
mince couche d’argenture, appliquge probablement par elec-
trolyse. Vint enfin l’oxydation artificielle, ou plus exactement
operation de sulfuration que nos bijoutiers realisent par
emploi du „foie de souffre‘“, ou compose analogue.
Mai 1938. P. Coremans.
B Kunstbibliothek
Staatliche Museen
zu Berlin
Archiv Nr. 1730
stries de finissage sont parfaitement visibles et n’ont donc pas
Ete attaquees par une alte&ration de plusieurs si&cles et que la
patine artificielle se compose d’une couche exträmement mince
et tenace de sulfure d’ argent bleu fonce; enfin, que Vlobjet
presente une couleur grise blanchätre, rappelant l’argent a plus
de 80% et donc incompatible avec les 30% de cuivre pr6sents.
La statuette a d’abord &te amen6e ä sa forme definitive par
coulee, puis finie; presentant une teinte jaunätre, inacceptable
pour un alliage d’argent egyptien, elle fut recouverte d’une tres
mince couche d’argenture, appliquge probablement par elec-
trolyse. Vint enfin l’oxydation artificielle, ou plus exactement
operation de sulfuration que nos bijoutiers realisent par
emploi du „foie de souffre‘“, ou compose analogue.
Mai 1938. P. Coremans.