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https://doi.org/10.11588/diglit.18640#0231
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0.5
1 cm
— i r 5 —
Pacte n'offre aucune particularité à noter, si ce n'est peut-être la
présence de ce Scipion Bruisbal, peintre de Catherine de Médicis,
complètement inconnu aujourd'hui.
La sœur de François Clouet avait probablement espéré recueil-
lir la succession entière de son frère. Elle se trouvait frustrée, aussi
employa-t-elle tous les moyens pour dépouiller ses nièces de l'hé-
ritage paternel. Mais, si celles-ci étaient trop jeunes pour se défendre,
leur tuteur, maître Hector Gedouyn, nommé par justice, veillait
à leurs intérêts. Il fit si bien qu'après avoir épuisé toutes les juri-
dictions, après avoir obtenu, par un premier arrêt du 13 février 1684,
l'allocation d'une provision de trois cents livres de rente pour
chacune de ses deux pupilles, il leur fit enfin restituer la totalité
de l'héritage paternel =— 88.
qui mit un terme à ce E. WVlf/^ se'~
gnements de premièn = " J^S^g^J de
François Clouet, cell E_
Voici donc Diane c = w
de rente sur l'Hôtel d'E
Que vont-elles deven E- S
seconde nous échappe E_r a
suite d'une démarche E_ ■*-* J
compagnie de sa sœuiE ° ^
peintres en titre d'office = co U
Bourgeois, les artistes lcsE CE
M. de Laborde a signahjE. "TT
au Cabinet des estampes E co U
portant au crayon la sigrE }~.
Laborde n'hésite pas à'r.E- r—
Clouet. E . 5
Jal a retrouvé la date d E O ^
Marie Michel qui eut une E" O
autrefois dans les Archive Ejo
avait eu, le 25 novembres ^
Michel, un fils, nommé l'ieE. m
avoir lu à la suite du nom™
qui indiquerait une nais:
«Sistres de Saint-Eustacr
V°vez aussi un article E * w
Archives (Va, I03), qui t=~ OQ
Pierre Foulon, naturalisé =■
devant les pièces que noE n ± §
biographie de Benjamin i=~" —'
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Pacte n'offre aucune particularité à noter, si ce n'est peut-être la
présence de ce Scipion Bruisbal, peintre de Catherine de Médicis,
complètement inconnu aujourd'hui.
La sœur de François Clouet avait probablement espéré recueil-
lir la succession entière de son frère. Elle se trouvait frustrée, aussi
employa-t-elle tous les moyens pour dépouiller ses nièces de l'hé-
ritage paternel. Mais, si celles-ci étaient trop jeunes pour se défendre,
leur tuteur, maître Hector Gedouyn, nommé par justice, veillait
à leurs intérêts. Il fit si bien qu'après avoir épuisé toutes les juri-
dictions, après avoir obtenu, par un premier arrêt du 13 février 1684,
l'allocation d'une provision de trois cents livres de rente pour
chacune de ses deux pupilles, il leur fit enfin restituer la totalité
de l'héritage paternel =— 88.
qui mit un terme à ce E. WVlf/^ se'~
gnements de premièn = " J^S^g^J de
François Clouet, cell E_
Voici donc Diane c = w
de rente sur l'Hôtel d'E
Que vont-elles deven E- S
seconde nous échappe E_r a
suite d'une démarche E_ ■*-* J
compagnie de sa sœuiE ° ^
peintres en titre d'office = co U
Bourgeois, les artistes lcsE CE
M. de Laborde a signahjE. "TT
au Cabinet des estampes E co U
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Laborde n'hésite pas à'r.E- r—
Clouet. E . 5
Jal a retrouvé la date d E O ^
Marie Michel qui eut une E" O
autrefois dans les Archive Ejo
avait eu, le 25 novembres ^
Michel, un fils, nommé l'ieE. m
avoir lu à la suite du nom™
qui indiquerait une nais:
«Sistres de Saint-Eustacr
V°vez aussi un article E * w
Archives (Va, I03), qui t=~ OQ
Pierre Foulon, naturalisé =■
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