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Institut Archéologique <Paris> / Section Française [Hrsg.]
Nouvelles annales — 1.1836

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Orioli, F.: Lettre
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https://doi.org/10.11588/diglit.9421#0060

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50 H. LETTRE A M. ED. GERHARD.

vée , comme toutes les anciennes villes de l'Etrurie ; elle
contient des ruines qui attestent sa préexistence au moyen
âge, elle est peu loin du lacus Vadimonis, où se donna la ba-
taille, époque vers laquelle dut être détruite la ville ancienne;
on connaît enfin., comme je le remarquais tout à l'heure, l'usage
romain de transporter dans la plaine les habitants des villes qui
avaient trouvé dans leur position élevée trop de facilités de ré-
sistance.

C'est ainsi que, d'après l'opinion de Zonaras, furent traitées
Phaleria et Vulsinii, dont il est inutile de nous occuper ici (1),
car la discussion nous entraînerait trop loin.

S'il y a quelque mérite, après avoir restauré le souvenir d'une
ancienne ville d'Italie et de quelques localités célèbres, à mieux
en fixer la position, et à faire connaître les transformations
successives qu'elles ont subies, peut-être, Monsieur, cette lettre
ne vous semblera pas tout-à-fait indigne de trouver un accueil
favorable dans les annales de la science archéologique.

F. ORIOL1.

(1) Quant à Phaleria, je n'ai pas encore bien examiné la question ; mais pour
Vulsln'd, j'adopte tout-à-fait l'opinion de Millier. L'ancienne ville existait à Urbs
vêtus.
 
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