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https://doi.org/10.11588/diglit.23492#0203
gravures sur bois et sur métal.
181
yere of the reygne of Kynge henry the vu. By me Julyan Notary."
Sur le revers de la feuille se voit, entourée d'une bordure ornée, une
naissance du Christ gravée en manière criblée analogue aux gravures
que Ton voit dans les livres d'heures imprimés à Paris, et au-dessous
cette autre signature: ,,Thys Emprynted at temple barre be me Julyan
Notary. Dwellynge in saynt clementys parysshe," et sa marque de
libraire.
Nous trouvons encore la grande gravure sur métal de la Trinité
entourée de Saints que nous avons vu dans la première et dans la
seconde édition de la „Goklen légende" dans une nouvelle légende d'An-
gleterre, de 1516, avec le titre: ,,Nova legenda Anglie. Impressa Lon-
doniie in domo Winandi de Worde 1516." La seconde feuille porte
les armoiries d'Angleterre, au bas, soutenues par un dragon et un chien,
en haut une rose et deux anges avec la devise dans une. banderole :
„hec rosa virtutis de celo missa tereno. Eternû florès" etc. Sur
la dernière feuille se trouve la marque d'imprimeur ^YV\ ■ Q/ f y
qui est celle de William Caxton. -_AA/ <a v_
Une gravure sur métal médiocre et traitée d'une manière excessive-
ment maigre se trouve dans le Ryal Book ou A Book for a kyng,
de 1484. Elle représente J. C. dans le temple parmi les docteurs.
Une autre encore plus mauvaise, et qui nous montre la crucifixion, se
voit dans le Doctrinal of sapyence qui porte à la fin la signature
suivante: ,,\vhyche is translated out of Erenshe in to englysshe by wyl-
lyam Caxton at westmester etc. mcccclxxxix" (1489).
Caxton donna encore une seconde édition des Taies of Canter-
bury d'après un meilleur texte du poème de Gcoffrey Chaucer et l'orna
de son portrait ainsi que de 47 gravures sur bois représentant les
personnages du poème, de conditions diverses et tous à cheval. Dibdin
dans sa Bibliotheca Spenceriana IV. 292 en donne des facsimile qui
ne manquent pas d'un certain intérêt pour le costume du tems, mais
qui, au point de vue de l'art, sont d'une exécution très-médiocre.
Les gravures sur bois de l'édition du même poème publié par Richard
Pynson, in-fol, sans indication de lieu ou de date, d'après un texte
revu par Caxton, sont encore inférieures aux précédentes. Dibdin en
donne deux facsimile dans l'ouvrage cité IV. 426.
L'ouvrage intitulé „Liber Festivalis", de 1486, in-fol., que
l'on croit imprimé par Bood et Hunt d'Oxford, contient quelques gra-
vures sur bois et sur métal représentant des sujets sacrés et dont le
dessinateur, qui était probablement un allemand ou un néerlandais,
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yere of the reygne of Kynge henry the vu. By me Julyan Notary."
Sur le revers de la feuille se voit, entourée d'une bordure ornée, une
naissance du Christ gravée en manière criblée analogue aux gravures
que Ton voit dans les livres d'heures imprimés à Paris, et au-dessous
cette autre signature: ,,Thys Emprynted at temple barre be me Julyan
Notary. Dwellynge in saynt clementys parysshe," et sa marque de
libraire.
Nous trouvons encore la grande gravure sur métal de la Trinité
entourée de Saints que nous avons vu dans la première et dans la
seconde édition de la „Goklen légende" dans une nouvelle légende d'An-
gleterre, de 1516, avec le titre: ,,Nova legenda Anglie. Impressa Lon-
doniie in domo Winandi de Worde 1516." La seconde feuille porte
les armoiries d'Angleterre, au bas, soutenues par un dragon et un chien,
en haut une rose et deux anges avec la devise dans une. banderole :
„hec rosa virtutis de celo missa tereno. Eternû florès" etc. Sur
la dernière feuille se trouve la marque d'imprimeur ^YV\ ■ Q/ f y
qui est celle de William Caxton. -_AA/ <a v_
Une gravure sur métal médiocre et traitée d'une manière excessive-
ment maigre se trouve dans le Ryal Book ou A Book for a kyng,
de 1484. Elle représente J. C. dans le temple parmi les docteurs.
Une autre encore plus mauvaise, et qui nous montre la crucifixion, se
voit dans le Doctrinal of sapyence qui porte à la fin la signature
suivante: ,,\vhyche is translated out of Erenshe in to englysshe by wyl-
lyam Caxton at westmester etc. mcccclxxxix" (1489).
Caxton donna encore une seconde édition des Taies of Canter-
bury d'après un meilleur texte du poème de Gcoffrey Chaucer et l'orna
de son portrait ainsi que de 47 gravures sur bois représentant les
personnages du poème, de conditions diverses et tous à cheval. Dibdin
dans sa Bibliotheca Spenceriana IV. 292 en donne des facsimile qui
ne manquent pas d'un certain intérêt pour le costume du tems, mais
qui, au point de vue de l'art, sont d'une exécution très-médiocre.
Les gravures sur bois de l'édition du même poème publié par Richard
Pynson, in-fol, sans indication de lieu ou de date, d'après un texte
revu par Caxton, sont encore inférieures aux précédentes. Dibdin en
donne deux facsimile dans l'ouvrage cité IV. 426.
L'ouvrage intitulé „Liber Festivalis", de 1486, in-fol., que
l'on croit imprimé par Bood et Hunt d'Oxford, contient quelques gra-
vures sur bois et sur métal représentant des sujets sacrés et dont le
dessinateur, qui était probablement un allemand ou un néerlandais,