vj AVERTISSEMENT.
ne comptoit y trouver quelque chofe de relatif a fon
ohjèt.
Voici les Avantages qui étahlijjent en gétiéral l'uti-
lité des Tables des Auteurs & des Matières.
On trouve des faits pardculiers > qui nont aucun
rapport au titre des Sçiences , ou qui tiy ont quuti
rapport très - éloigné. Mais en mêrne temps, on dé-
couvre aufî des Règles gétiérales, des Principes , des
Axiomes propres à répandre une vive lumière fur les
Sctences.
Cefl je crois rendre fervice au Puhlic , de lui pré-
fenter le précis d’utie infinité de Volumes.
Si quelquun trouvoit ce Plan défeclueux en quel-
que point, il fera plaiflr d’en avertir ; & de marquer
ce qu’il jugeroit qiion dut y ajouter ou diminuer,
pour le rendre plus parfait. Nous navons eû d’au-
tres vuès, que de le rendre le plus utile qu’il fe pourra ;
nous fommes dans la difpofition de profiter des aver-
dfemens , qiion voudra bien nous donner.
Je nen dirai pas davantage à ce fujèt. Quelques
Amis m’ont fouvent répété, que quelquefots je par-
lois trop peu ; & d’autrefoLs trop longuement fur ces
matières. A Fégard du premier reproclie , je crois ne
devoir pas nien juflifier : mais ne pourrois - je pa$
ne comptoit y trouver quelque chofe de relatif a fon
ohjèt.
Voici les Avantages qui étahlijjent en gétiéral l'uti-
lité des Tables des Auteurs & des Matières.
On trouve des faits pardculiers > qui nont aucun
rapport au titre des Sçiences , ou qui tiy ont quuti
rapport très - éloigné. Mais en mêrne temps, on dé-
couvre aufî des Règles gétiérales, des Principes , des
Axiomes propres à répandre une vive lumière fur les
Sctences.
Cefl je crois rendre fervice au Puhlic , de lui pré-
fenter le précis d’utie infinité de Volumes.
Si quelquun trouvoit ce Plan défeclueux en quel-
que point, il fera plaiflr d’en avertir ; & de marquer
ce qu’il jugeroit qiion dut y ajouter ou diminuer,
pour le rendre plus parfait. Nous navons eû d’au-
tres vuès, que de le rendre le plus utile qu’il fe pourra ;
nous fommes dans la difpofition de profiter des aver-
dfemens , qiion voudra bien nous donner.
Je nen dirai pas davantage à ce fujèt. Quelques
Amis m’ont fouvent répété, que quelquefots je par-
lois trop peu ; & d’autrefoLs trop longuement fur ces
matières. A Fégard du premier reproclie , je crois ne
devoir pas nien juflifier : mais ne pourrois - je pa$