GONSÏANTINE
AVANT LA CONQUÊTE FRANÇAISE
£ S 3 7
NOTICE
sur cette ville à l'époque du dernier bey
Par M. Ernest MERCIER
Le 13 octobre 1837, l'armée française pénétrait par la
brèche dans Constanline, après un 'siège aussi glorieux
que meurtrier pour nos armes. Rien de plus curieux et
de plus caractéristique que l'aspect que présentait alors
la vieille ville de Syphax et de Jùgurtha, déjà si pitto-
resque par sa position topographique. L'étonnement des
vainqueurs, à celte vue, a été parfaitement traduit par
l'un d'eux, M. le capitaine de la Tour du Pin, dans sa
Relation de la prise de Constantine : « ......La brèche
est escaladée, dit-il,... ... mais la colonne d'assaut trouve
là quelque chose de plus terrible, de plus sinistre que la
présence de l'ennemi ; une énigme dévorante toute prête
AVANT LA CONQUÊTE FRANÇAISE
£ S 3 7
NOTICE
sur cette ville à l'époque du dernier bey
Par M. Ernest MERCIER
Le 13 octobre 1837, l'armée française pénétrait par la
brèche dans Constanline, après un 'siège aussi glorieux
que meurtrier pour nos armes. Rien de plus curieux et
de plus caractéristique que l'aspect que présentait alors
la vieille ville de Syphax et de Jùgurtha, déjà si pitto-
resque par sa position topographique. L'étonnement des
vainqueurs, à celte vue, a été parfaitement traduit par
l'un d'eux, M. le capitaine de la Tour du Pin, dans sa
Relation de la prise de Constantine : « ......La brèche
est escaladée, dit-il,... ... mais la colonne d'assaut trouve
là quelque chose de plus terrible, de plus sinistre que la
présence de l'ennemi ; une énigme dévorante toute prête