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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 7.1886

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Nr. 2-3
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Maspero, Gaston: Révision des listes géographiques de Thoutmos III
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Loret, Victor: Recherches sur plusieurs plantes connues des anciens égyptiens, [1]
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https://doi.org/10.11588/diglit.12254#0113

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Recherches, etc.

101

«M 1 original, son n° 67 suit immédiatement son n° 65. — N° 76. fl t\ \\\\\

lisible quoique fort endommagé. — X° 77. ^^^^(j^^r^^i, mais peut-être faut-il lire '

- N° 79. — N° 80- °|j^jjîit^> à k fin de k raugée' — N° 81' ^

^ la tin a disparu dans une brisure de la pierre. — K° 82. ^^^PJ~~ K 84-

1CTI^¥^' - N°8T- m¥l§le veste brisé aujom'cVliui- - N°88- M

, le reste brisé aujourd'hui. — N° 93. IWr (J ^; mais 1 oiseau est brise aujour-

N° 96. —^ % ê^, à la fin de la rangée. — N° 102. Shaenk ()t\ ; le tv

est sans doute une erreur du graveur, mais il est fort net sur l'original. — La pierre qui
Portait les nos 103, 101, 105, 106, a été enlevée et se trouve, je crois, au Musée de Berlin;
la série recommence avec le n° 106. — Les derniers cartouches ne sont presque plus lisibles
aujourd'hui.

Boulaq, le 18 mai 1885. G- Maspero.

RECHERCHES

SUE

PLUSIEURS PLANTES CONNUES DES ANCIENS ÉGYPTIENS.

PAE

VlCTOE LOEET.

I. L'olivier et le Moringa.

Nous savons, de trois sources absolument distinctes, que l'olivier était cultivé en Egypte
^ès la plus haute antiquité.

1° Les auteurs classiques mentionnent l'olivier parmi les plantes égyptiennes. « L'olivier

* croît aussi dans cette région1 qui est arrosée, non par les eaux du Nil, distant de plus de

* trois cents stades, mais par des sources qui y sortent de terre en mille endroits. L'huile
"qu'on en tire ne diffère guères de la nôtre, si ce n'est qu'elle exhale une odeur moins
Agréable, parce que le sol ne fournit à la plante que peu de suc. Son bois est dur et,
lorsqu'on le coupe, présente la teinte du bois de lotus2.» — «Il y a en Egypte une espèce

* d'olivier) qu'on nomme olivier égyptien, lequel produit en quantité des olives grosses et char-
nues, mais qui ne fournissent pas d'huile».» — «Le nome Arsinoïte est le seul où vienne

* Olivier, où surtout il grandisse, acquière toute sa croissance et donne, non-seulement de
''''eaux et bons fruits, mais aussi (à condition que la cueille en soit bien faite) de l'huile

* excellente : faute de soins suffisants, la récolte la plus abondante ne donnerait qu'une huile
'a}rant mauvaise odeur. Dans tout le reste de l'Êgypte l'olivier fait défaut, il ne se reu-

!) H s'agit d'une grande forêt du nome thébain.
-) Théophr., Hîst. plant., IV, 2, 9.
3) TnÉopHR., De caus. plant., VI, 8, 7.
 
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