DOI Heft:
Nr. 7 (Octobre-Novembre 1943)
DOI Artikel:Les théatres subventionnés
DOI Artikel:Vaudoyer, Jean Louis: La saison 1942-1943: a la comédie-franc̨aise
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.48496#0031
LES THEATRES SUBVENTIONNÉS
(Studio Harcourt.)
Ce Chevalier à la Mode. — Décor de Mme Suzanne Lalique.
LA SAISON 1942-1943
A LA COMÉDIE-FRANÇAISE
L’an dernier, nous avons entretenu les lecteurs de la Revue des Beaux-Arts de France
de la saison 1941-1942 à la Comédie-Française; saison, disions-nous, qui fut plus
particulièrement consacrée au « répertoire »; et nous exprimions, en terminant, le
vœu de pouvoir dédier la saison à venir aux « créations », aux « nouveautés ».
Voici cette saison (1942-1943) maintenant close. Nous en dresserons ici le tableau
et parlerons d’abord de ces « créations », auxquelles nous nous promettions, l’an passé, de
réserver une place prépondérante.
Ces promesses, nous croyons les avoir tenues : entre l’automne 1942 et l’été 1943,
la Comédie-Française a inscrit à son répertoire sept ouvrages nouveaux (que nous citons
ici dans l’ordre où ils ont été offerts au public) : Fe Cheval arabe de M. Julien Luchaire
(12 novembre 1942); Fa Reine morte de M. Henry de Montherlant (9 décembre 1942);
Fa Nuit racinienne de M. Maurice Rostand (21 décembre 1942); Vidocq cheq, Balzac de
M. Emile Fabre (2 mars 1943); Renaud et Armide de M. Jean Cocteau (13 avril 1943); deux
Proverbes de Carmontelle (13 avril 1943) ; Courteline au travail de M. Sacha Guitry (19 mai 1943) ;
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(Studio Harcourt.)
Ce Chevalier à la Mode. — Décor de Mme Suzanne Lalique.
LA SAISON 1942-1943
A LA COMÉDIE-FRANÇAISE
L’an dernier, nous avons entretenu les lecteurs de la Revue des Beaux-Arts de France
de la saison 1941-1942 à la Comédie-Française; saison, disions-nous, qui fut plus
particulièrement consacrée au « répertoire »; et nous exprimions, en terminant, le
vœu de pouvoir dédier la saison à venir aux « créations », aux « nouveautés ».
Voici cette saison (1942-1943) maintenant close. Nous en dresserons ici le tableau
et parlerons d’abord de ces « créations », auxquelles nous nous promettions, l’an passé, de
réserver une place prépondérante.
Ces promesses, nous croyons les avoir tenues : entre l’automne 1942 et l’été 1943,
la Comédie-Française a inscrit à son répertoire sept ouvrages nouveaux (que nous citons
ici dans l’ordre où ils ont été offerts au public) : Fe Cheval arabe de M. Julien Luchaire
(12 novembre 1942); Fa Reine morte de M. Henry de Montherlant (9 décembre 1942);
Fa Nuit racinienne de M. Maurice Rostand (21 décembre 1942); Vidocq cheq, Balzac de
M. Emile Fabre (2 mars 1943); Renaud et Armide de M. Jean Cocteau (13 avril 1943); deux
Proverbes de Carmontelle (13 avril 1943) ; Courteline au travail de M. Sacha Guitry (19 mai 1943) ;
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