A LA COMÉDIE-FRANÇAISE
sen^a rigore, les figures aux attraits magiciens d’un Nicolas Manuel et d’un Hans Baldung
Grün... Troisième nouveauté importante : l’Iphigénie à Delphes de M. Gerhardt Haupt-
mann, traduite (à l’occasion du 80e anniversaire de la naissance de son auteur) par
M. Pierre du Colombier, lequel avait déjà traduit pour la Comédie VIphigénie en Tauride
de Goethe; cette dernière succédant sur notre scène, en 1941, à l’Iphigénie à Aulis d’Euri-
pide (traduction Jean Moréas). Notre dessein est de clore bientôt ce « cycle'des Iphigénie »
Renaud et Armide. .— Décor de M. Christian Bérard.
par l’Iphigénie française, celle de Jean Racine. Mise en scène par M. Pierre Bertin, l’œuvre
de M. Gerhardt Hauptmann a été jouée dans un décor de M. Ed.-M. Pérot et accom-
pagnée d’une musique de scène de M. André Jolivet.
C’est aussi dans un décor de M. Ed.-M. Pérot qu’a été représenté Le Sicilien ou
L’Amour peintre de Molière; décor à vrai dire non entièrement construit pour cet ouvrage,
puisqu’il avait été antérieurement conçu, dans ses éléments et sa structure, pour Les Mar-
rons du feu de Musset. Si les lecteurs de cette revue veulent bien se reporter au fascicule
d’octobre-novembre 1942, ils se rendront compte de quelle façon extrêmement ingénieuse
M. Escande a modifié, pour la mise en scène du Sicilien, le décor de M. Pérot.
Les autres ouvrages nouveaux de la saison passée sont des ouvrages en un acte.
Certains étaient destinés à commémorer des anniversaires. C’est pour fêter le premier
<un>thîsterisdies Institut
Tü b ï n 5 a n
sen^a rigore, les figures aux attraits magiciens d’un Nicolas Manuel et d’un Hans Baldung
Grün... Troisième nouveauté importante : l’Iphigénie à Delphes de M. Gerhardt Haupt-
mann, traduite (à l’occasion du 80e anniversaire de la naissance de son auteur) par
M. Pierre du Colombier, lequel avait déjà traduit pour la Comédie VIphigénie en Tauride
de Goethe; cette dernière succédant sur notre scène, en 1941, à l’Iphigénie à Aulis d’Euri-
pide (traduction Jean Moréas). Notre dessein est de clore bientôt ce « cycle'des Iphigénie »
Renaud et Armide. .— Décor de M. Christian Bérard.
par l’Iphigénie française, celle de Jean Racine. Mise en scène par M. Pierre Bertin, l’œuvre
de M. Gerhardt Hauptmann a été jouée dans un décor de M. Ed.-M. Pérot et accom-
pagnée d’une musique de scène de M. André Jolivet.
C’est aussi dans un décor de M. Ed.-M. Pérot qu’a été représenté Le Sicilien ou
L’Amour peintre de Molière; décor à vrai dire non entièrement construit pour cet ouvrage,
puisqu’il avait été antérieurement conçu, dans ses éléments et sa structure, pour Les Mar-
rons du feu de Musset. Si les lecteurs de cette revue veulent bien se reporter au fascicule
d’octobre-novembre 1942, ils se rendront compte de quelle façon extrêmement ingénieuse
M. Escande a modifié, pour la mise en scène du Sicilien, le décor de M. Pérot.
Les autres ouvrages nouveaux de la saison passée sont des ouvrages en un acte.
Certains étaient destinés à commémorer des anniversaires. C’est pour fêter le premier
<un>thîsterisdies Institut
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