A LA COMÉDIE-FRANÇAISE
Les Boulingrin. — Décor de M. André Villebœuf.
thèmes : Les Dialogues lyriques ; Eloa ; Jocelyn ; La Fin de Satan ; Ovide et les Ecrivains fran-
çais ; Il y a cent ans ; José-Maria de Heredia ; Francis Jammes ; Guillaume Apollinaire ; Henri
de Légnier ; Tristan Derème ; MM. Paul Claudel, Paul Fort et Paul Valéry ; les notices de ces
matinées avaient été rédigées par MM. Marcel Arland, Jean Aubry, Henri Martineau, Jean
Nepveu-Degas, Maurice Rat, Max Terrier, André Salmon, et par le signataire de ces lignes.
La scène dialoguée Un Jour, montée pour la matinée Francis Jammes, fut donnée ensuite
en soirée et semble devoir demeurer au répertoire.
*
* *
D’autre part, on permettra à l’ancien Conservateur de Carnavalet de dire deux
mots des collections et des expositions de la Comédie-Française. En attendant de pou-
voir organiser, hors du théâtre, une exposition faite de l’ensemble de ces collections, nous
avons entrepris, avec la collaboration éclairée de M. Nepveu-Degas, de faire nettoyer ou
restaurer nombre de tableaux qu’enrobait une crasse séculaire. Certains d’entre eux, délaissés
ou oubliés dans des corridors ou dans des escaliers, ont ainsi retrouvé leur fraîcheur et leur
éclat; par exemple le Duga^on de Colson, le Le Kain de Roslin, ou le Dancourt de Gabriel
Gence. En même temps, les expositions se succédaient au foyer du public, commentant
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Les Boulingrin. — Décor de M. André Villebœuf.
thèmes : Les Dialogues lyriques ; Eloa ; Jocelyn ; La Fin de Satan ; Ovide et les Ecrivains fran-
çais ; Il y a cent ans ; José-Maria de Heredia ; Francis Jammes ; Guillaume Apollinaire ; Henri
de Légnier ; Tristan Derème ; MM. Paul Claudel, Paul Fort et Paul Valéry ; les notices de ces
matinées avaient été rédigées par MM. Marcel Arland, Jean Aubry, Henri Martineau, Jean
Nepveu-Degas, Maurice Rat, Max Terrier, André Salmon, et par le signataire de ces lignes.
La scène dialoguée Un Jour, montée pour la matinée Francis Jammes, fut donnée ensuite
en soirée et semble devoir demeurer au répertoire.
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D’autre part, on permettra à l’ancien Conservateur de Carnavalet de dire deux
mots des collections et des expositions de la Comédie-Française. En attendant de pou-
voir organiser, hors du théâtre, une exposition faite de l’ensemble de ces collections, nous
avons entrepris, avec la collaboration éclairée de M. Nepveu-Degas, de faire nettoyer ou
restaurer nombre de tableaux qu’enrobait une crasse séculaire. Certains d’entre eux, délaissés
ou oubliés dans des corridors ou dans des escaliers, ont ainsi retrouvé leur fraîcheur et leur
éclat; par exemple le Duga^on de Colson, le Le Kain de Roslin, ou le Dancourt de Gabriel
Gence. En même temps, les expositions se succédaient au foyer du public, commentant
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