DOI Heft:
Nr. 8 (Decembre 1943-Janvier 1944)
DOI Artikel:Batiments civils et palais nationaux
DOI Artikel:Danis, Robert: L'aménagement des domaines nationaux "la Route des parcs", II
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.48496#0134
BATIMENTS CIVILS ET PALAIS NATIONAUX
Germain, la place Royale, l’église du Pecq et l’emplacement de l’ancien pont du Pecq, enfin
la place rayonnante du Vésinet.
Grâce à ces mesures, il sera possible de redonner la vie à ce magnifique ensemble de
composition urbaine, délaissé malgré et parce qu’il intéresse à des degrés très différents trois
communes qui donnent l’impression d’avoir perdu de vue les deux siècles d’efforts accomplis
pour le réaliser. Ces communes ne sont cependant pas insensibles aux chefs-d’œuvre excep-
tionnels qui en subsistent, tels que les monumentales terrasses et les rampes majestueuses
de l’ancien château neuf, les restes des jardins autrefois encadrés des anciennes rampes
toscanes et doriques où l’on trouve encore le beau pavillon auquel on a donné le nom de
Sully, le grand voyer de France, enfin le rayonnement des allées du Vésinet avec, au centre,
l’ancienne Allée Royale, celle qui doit de nouveau mener le regard, depuis les terrasses du
château neuf, jusqu’aux limites de l’horizon.
Robert DANIS,
Inspecteur général des bâtiments Civils
et Palais Nationaux.
Terrasses et rampes de l’ancien château neuf de Saint-Germain-en-Laye.
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Germain, la place Royale, l’église du Pecq et l’emplacement de l’ancien pont du Pecq, enfin
la place rayonnante du Vésinet.
Grâce à ces mesures, il sera possible de redonner la vie à ce magnifique ensemble de
composition urbaine, délaissé malgré et parce qu’il intéresse à des degrés très différents trois
communes qui donnent l’impression d’avoir perdu de vue les deux siècles d’efforts accomplis
pour le réaliser. Ces communes ne sont cependant pas insensibles aux chefs-d’œuvre excep-
tionnels qui en subsistent, tels que les monumentales terrasses et les rampes majestueuses
de l’ancien château neuf, les restes des jardins autrefois encadrés des anciennes rampes
toscanes et doriques où l’on trouve encore le beau pavillon auquel on a donné le nom de
Sully, le grand voyer de France, enfin le rayonnement des allées du Vésinet avec, au centre,
l’ancienne Allée Royale, celle qui doit de nouveau mener le regard, depuis les terrasses du
château neuf, jusqu’aux limites de l’horizon.
Robert DANIS,
Inspecteur général des bâtiments Civils
et Palais Nationaux.
Terrasses et rampes de l’ancien château neuf de Saint-Germain-en-Laye.
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