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Revue égyptologique — 5.1887/​88

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Nr. 4
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Revillout, Eugène: Corrections à la grammaire démotique de Brugsch
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https://doi.org/10.11588/diglit.12683#0219

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Corrections a la grammaire démotique de Brugsch.

175

3 =%. t =15 &>=§

X = (au lieu de <=V >/) = D (au lieu de ts^>).

1 fii nu les cintres

ICL'LUl Cl5 IclUooCS^ 1L/ JJtllIU. llCO t

i nois cians

la grammaire, nous signa-

lerons :







= m (comme dans

le premier ouvrage 4?—

= ah.



de Brugsch).



= men.



2r- = &-



= er.



„/ — swok.



= X<>t.



£_ ----- an (fois).



= het.



= own.



= noum.



$ = £HT.

/~SZT transcrit sep au lieu de emew sep.

^ = tri.

y

= 0m71.



\/b = ma.

■*

== Ae.



/L_ = ayem.



= «ai.



~&— = Seni.



= hour3.



^ = ma.

ri

= er.



4 1 = set.

l^

= t'ep (au

lieu de Sep).

i/ = a.



= J'ep (au

lieu de Sep).





= not.



= «s.



— tôt:







= ut'a * (à

distinguer de Yf ):

1 Voir une des notes précédentes. Quant aux éléments dont Brugsch tire cette ligature, ils n'ont
aucun rapport possible avec elle.

2 Sous cette forme c'est le signe arf. Tu n'a qu'une analogie do forme très lointaine avec le signe,
fort différent, donné par Brugsch.

3 La valeur merci que lui attribue ailleurs Brugsch, est également fausse et doit être remplacée par
t&ï. Je l'ai récemment démontré par les transcriptions grecques du papyrus de Leide, comme la valeur
uhô. = faut du signe que, malgré les mêmes transcriptions, Brugsch a toujours lu sa, la valeur i = i du
signe que, malgré les mêmes transcriptions, il s'obstine à lire ak, la valeur m, ei du signe que malgré
d'autres nombreuses transcriptions grecques il lit as, la valeur iiçêt des signes que malgré les mêmes
transcriptions il lit nyat, la valeur «.mt du signe que, malgré les mêmes transcriptions, il lisait ma, la valeur
fc.il du signe que, malgré les transcriptions, il lit sek. Les lectures ei, tc.u-, fc.it, cfc., ûor, »-e/ (p^), etc.
que Brugsch n'a pu reconnaître malgré les transcriptions grecques formelles qui s'étalaient sous ses yeux
soit dans les papyrus gnostiques à transcriptions de Leide etc., soit dans les autres bilingues qu'il avait
publiés et cités sans cesse. Il faut avouer que c'est là un aveuglement incroyable. Au lieu de rêver
Brugsch n'aurait-il pas mieux fait de consulter les textes élémentaires?

4 Ce signe correspond à ^ aau dans les trilingues et signifie «puissance». Le signe ut'a est nota-
blement différent et on ne peut jamais le confondre avec aau, comme le fait BnuGscn.
 
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