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https://doi.org/10.11588/diglit.6354#0021
REVUE COMIQUE
Paris On s'abonne chez tous les libraires de France et de l'Etranger. Départements
Cn M 2i fr un an.................. 26 fr.
Sir mois.'.".!!'.!'.!!!!!'!!'. 13fr! Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un bon sur Paris Trofofmois*8 fr
Trois mois.............. 7 Ir. ou sur la posté, ou de timbres-poste. 1 les abonnements'partent '
Etranger port en sus. La ventfl au numéro, à Paris, chez M. Saillant, rue du Croissant, 10. du ler et du 16 de chaq"e mois'
r*rix du Numéro : 1* ai vis, KO o. ; — Départements, GO o.
Rédaction : rue Boissy-d'Anglas, n° 33. Administration : rue d'Argout, n° 8.
LE REPUBLICAIN
JOURNAL QUOTIDIEN
Paraîtra le 31 Octobre courant
UN SOU LE NUMÉRO
ABONNEMENTS :
Pour Paris et le département de la Seine :
— Un mois : 1 fr. 50 c. — Trois mois : 4 fr.
50 c. — Six mois : 9 fr, — Un an : 1S fr.
Pour la province et l'Algérie : Un mois : 8 fr.—
Trois mois : 6 fr.— Six mois : t« fr. — Uu an :
*4 fr.
Toute personne qui, d'ici au 31 octobre cou-
rant, prendra un abonnement, n'aura à payer,
pour Paris, que 3 fr. 50 pour trot» «mois; —
7 fr. pour six mois ; — 14 fr. pour nu au ;
— pour la province, que 5 fr. pour trois
mois: — ÎO fr. pour six mois; — *0 fr.
pour un au.
Envoyer un mandat sur la poste à l'adminis-
tration du journal le Républicain, à Paris, rut
du 4 Septembre, 26.
Pour tout ce qui concerne la rédaction, écrire
à Paris, 5, rue Coq-Héron, au secrétaire de la
rédaction, M. J. Liurent-Lapp, ancien aérant
du Courrier du Dimanche, pendant la carrière
militante et républicaine de cMe feuille.
Le Républicain sera un journal conservateur,
français et nuancier. A ces titres, il combattra
pour" le maintien et la consolidation de la Répu-
blique. _ ,
Conservateur, il fera tous ses efforts pour que
la République soit fortement assise, car la France,
débilitée par quarante ans de gouvernements bâ-
tards, éprouvée ensuite par des désastres inouïs
et par des déchirements terribles, a un pressant
besoin d'ordre et de repos. Cet ordre et ce repos,
la'République seule peut nous les donner. Rien
que pour se produire, une monarchie quelconque
serait forcée de provoquer et d'étouffer une in-
surrection. Elle serait condamnée à supprimer
la liberté pour donner au pays les apparences
trompeuses de l'ordre matériel dans les rues. En
dehors du gouvernement républicain, il n'y a
pas de gouvernement capable de nous faire faire
l'économie d'une nouvelle révolution. Pouvoir
anonyme, le gouvernement républicain peut se
montrer implacable pour les fauteurs de troubles.
Pouvoir de tou3 pour la sécurité et la dignité de
chacun, le gouvernement républicain vit de li-
berté et par la liberté. Jamais ou n'a encore vu
un peuple s'insurger pour se priver tout à la fois
de l'ordre et de la liberté.
Français, ce journal sera encore pour la Ré-
publique, car nous laissons aux rêveurs l'espoir
de la paix perpétuelle et aux ignorants des af-
faires européennes la confiance de relever la
France dans le monde avec l'aide et l'appui
d'alliances princières. L'Europe monarchique
subit la domination de la Prusse. Le titre d'em-
pereur d'Allemagne ne satisfait point l'ambition
de Guillaume et de Bismarck. Dep jis Pékin jus-
qu'à Stamboul, il y a plusieurs empereurs. Puis,
ce titre d'empereur a infiniment peidu de son
prestige depuis que Soulouque, Théodoros, Maxi-.
milien et autres ont porté la couronne impériale
M. de Bismarck veut asservir l'Europe, et son
rêve, son idée-maîtresse, c'est la création d'un
troisième empire romain. Le chancelier de
Guillaume l'a ait : « Je conduirai le Roi à Rome
et je le ferai couronner là. » Or, malgré nos dé-
faites, c'est encore la France qui fera obstacle à
la réalisation de ce plan. On médite donc de sup-
primer la France. Pour la supprimer, notre im-
placable contempteur se sert de la maison de
Savoie, la plus vaillante, mais aussi la plus am-
bitieuse et la moins scrupuleuse de toutes les
maisons régnantes d'Europe. Le gouvernement
italien projette de chasser la France de la Mé-
diterranée en s'emparant de la régence de
Tunis et en nous obligeant, de là, à abandonner
l'Algérie.
Un publiciste célèbre, qui s'inspire à la Cour
de Florence, vient de déclarer que la France de-
vra bientôt devenir la Pologne de l'Ocident, et
que ce n'est qu'à cette condition que le Royaume
d'Italie peut subsister. » Eh bien ! par la Répu
blique, essence du droit et de la justice, nous
prévaudrons contre les desseins de nos ennemis.
Rentrée dans son génie traditionnel, national,
puissant par l'organisation et l'originalité, la
France sera pour l'Kurope le contre-poison, l'an-
tidote de la féodalité oppressive et conquérante
qui régne aujourd'hui avec la Prusse et par la
Prusse sur le monde. République, libre, calme,
laborieuse, industrielle, industrieuse, prospère,
résumant et réalisant les aspirations de la dé-
mocratie moderne, la France sera recherchée
par tous les peuples, et même par quelques sou-
verains. Le Czar de Russie, allié déjà de la Ré-
publique américaine, préférera s'allier k une
grande république française plutôt qu'à un roi
éphémère ou à un empereur avili.
Financier, ce journal sera encore, sera toujours
pour la République, car, dans la situation qui est
faite à la France, l'intérêt financier prime tout
le reste. La fortune publique et la fortune privée
sont à refaire. Il d'y a plus de riches. Mais le
pays de France reste toujours le plus fécond, le
mieux doué, celui qui recèle le plus de trésors.
Il faut seulement aborder avec décision les
grandes questions de travail et de crédit qui in-
téressent le développement de la production. La
question sociale est intacte. On se peut la sup-
primer ni l'éluder. Le premier ministre de l'An-
gleterre, M. Gladstone a appelé le dix-neuvième
siècle le siècle des ouvriers. Mais il est néces-
saire et juste de concilier, par un nouveau sys-
tème d'impôts et par l'organisation de l'associa-
tion et de la mutualité, les besoins des ouvriers
avec les principes essentiels de la société. On
n'aura pas encore vu un journal financier Di plus
complet ni plus investigateur que le Républicain.
Il publiera la cote officielle de la Bourse, il sera
le meilleur conseiller des placements sûrs; il
donnera les motifs de la hausse et de la baisse
des valeurs et publiera la liste de tous les ti-
rages.
Le public français aime à lire beaucoup pour
se distraire.
Le journal Le Républicain donnera un grand
soin à la partie littéraire. Il publiera des articles
de critique, des récits de voyages et des romans
choisis et émouvants. Le premier roman dont
Le Républicain commencera lapublicatioa, dès le
31 octobre, sera une œuvre importante et drama-
tique :
LE SPECTRE DES TUILERIES
Nous rappelons à nos lecteurs les publications
de la maison Cadort et Luce, 58, rue Neuve-des-
M&thurins : Paris incendie, Souvenirs artistiques
du Siège de Paris. Paris pendant le Siège, Pari- et
ses avant-postes, et Saint-Cloud brûlé, de MM. Mar-
tial et Maxime Lalanne.
Nous ne saurions trop recommander ces belles
œuvres, qui appartiennent à l'histoire. Ces gra-
vures, que nous serrons soigneusement dans
nos collections, acquerront plus tard un prix
inestimable. La postérité les appellera en témoi-
gnage, et elles déposeront dans le procès que
l'avenir fera à l'Empire au sujet de la guerre de
18"Î0. Nos petits-fils chercheront dans chacune
de ces planches, pour ainsi dire souffertes, les
traces de nos douleurs, le secret de notre héroïs-
me, le mystère de notre défaite. Sous la plume
et sous la pointe de cet habile artiste qui s'ap-
pelle Martial, ils suivront heure par heure cette
lente agonie d'un grand peuple qui n'a peut-être
été, destiné à la mort que pour revivre épuré,
éclairé, régénéré.
MALADES ou BLESSÉS
soulagés par lits et fauteuils
mécaniques. Vente et loc.
Dupont et Fillard, suce, de
Celle, rue Serpente, 1«.
GRANDE FABRIQUE »E FOURRURES
Fondée eu 1804
Maison (i. ItO\HB4R. 5G, nie d'Aboutir
UN ASSORTIMENT DE
DEUX MILLIONS DE FOURRURES
sera mis en vente à partir de ce jour dans les
Magasins de gros, rue d'Aboukir, 5(i, à Paris.
I ufférence comme prix et qualité de 40 0/0 avec
le détail.
Rotondes de soie, paletots de dames as-
trakan, doublés soie, à................ 'îSfr.
Paletots de chasse ségoviens imperméa-
bles, à................................ 45 fr.
Manchons, garnitures de manteaux, boaw et
cravates.
Expédition en province contre mandat de poste
au-dessus de 25 fr. franco port.
56, rue d'Aboukir, au S110.
Y'irrt nii Ç;i]Y[ft Maladie de la peau, des
î H.li.i UU îl l \\i voies urinaires et des or-
ganes internes, cancers, épilepsies, asthmes, etc.
aY VI' |> 1 ||l les honoraires qu'après guérison,
il ilJj I R<>bi>e, médecin homreopathe, r.
d'Amsterdam, 42, de 3 à 5 heures. (Affranchir.)
ACHÈTE tes DIAMANTS „ BIJOLX
et paie l'argenterie plus cher que la monnaie
BRUNSWICK, orfèvre-bijoutier, 30, pass. Colbert.
LA CAISSE DE PRÊTS SIR TITRES
8, rue Neuve-Saint.Augustin,
Avance sur toutes valeurs cotées, reçoit les or-
dres de Bourse au comptant et à" terme.
le MONITEUR des FONDS PUBLICS
et des Valeurs industrielles (3eannée), paraît
le jeudi. 16 pages de texte. 6 f. par an en mandat
ou timb.-poste, ad. au dr, 8, r. Ne-Saint-Augu.stin.
VINS ET SPIRITUEUX
I.Oï'IS VESîlïOJS
Propriétaire à Bourg (Gironde), 25, rue Molière
Vins d'office à CO, 70 et 80 centimes le litre.
Dépôt des vins des côtes du Rhône
de MM. l. Deloche et Ce, propriétaires au coteau
de l'Hermitage, a Tain.
Paris On s'abonne chez tous les libraires de France et de l'Etranger. Départements
Cn M 2i fr un an.................. 26 fr.
Sir mois.'.".!!'.!'.!!!!!'!!'. 13fr! Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un bon sur Paris Trofofmois*8 fr
Trois mois.............. 7 Ir. ou sur la posté, ou de timbres-poste. 1 les abonnements'partent '
Etranger port en sus. La ventfl au numéro, à Paris, chez M. Saillant, rue du Croissant, 10. du ler et du 16 de chaq"e mois'
r*rix du Numéro : 1* ai vis, KO o. ; — Départements, GO o.
Rédaction : rue Boissy-d'Anglas, n° 33. Administration : rue d'Argout, n° 8.
LE REPUBLICAIN
JOURNAL QUOTIDIEN
Paraîtra le 31 Octobre courant
UN SOU LE NUMÉRO
ABONNEMENTS :
Pour Paris et le département de la Seine :
— Un mois : 1 fr. 50 c. — Trois mois : 4 fr.
50 c. — Six mois : 9 fr, — Un an : 1S fr.
Pour la province et l'Algérie : Un mois : 8 fr.—
Trois mois : 6 fr.— Six mois : t« fr. — Uu an :
*4 fr.
Toute personne qui, d'ici au 31 octobre cou-
rant, prendra un abonnement, n'aura à payer,
pour Paris, que 3 fr. 50 pour trot» «mois; —
7 fr. pour six mois ; — 14 fr. pour nu au ;
— pour la province, que 5 fr. pour trois
mois: — ÎO fr. pour six mois; — *0 fr.
pour un au.
Envoyer un mandat sur la poste à l'adminis-
tration du journal le Républicain, à Paris, rut
du 4 Septembre, 26.
Pour tout ce qui concerne la rédaction, écrire
à Paris, 5, rue Coq-Héron, au secrétaire de la
rédaction, M. J. Liurent-Lapp, ancien aérant
du Courrier du Dimanche, pendant la carrière
militante et républicaine de cMe feuille.
Le Républicain sera un journal conservateur,
français et nuancier. A ces titres, il combattra
pour" le maintien et la consolidation de la Répu-
blique. _ ,
Conservateur, il fera tous ses efforts pour que
la République soit fortement assise, car la France,
débilitée par quarante ans de gouvernements bâ-
tards, éprouvée ensuite par des désastres inouïs
et par des déchirements terribles, a un pressant
besoin d'ordre et de repos. Cet ordre et ce repos,
la'République seule peut nous les donner. Rien
que pour se produire, une monarchie quelconque
serait forcée de provoquer et d'étouffer une in-
surrection. Elle serait condamnée à supprimer
la liberté pour donner au pays les apparences
trompeuses de l'ordre matériel dans les rues. En
dehors du gouvernement républicain, il n'y a
pas de gouvernement capable de nous faire faire
l'économie d'une nouvelle révolution. Pouvoir
anonyme, le gouvernement républicain peut se
montrer implacable pour les fauteurs de troubles.
Pouvoir de tou3 pour la sécurité et la dignité de
chacun, le gouvernement républicain vit de li-
berté et par la liberté. Jamais ou n'a encore vu
un peuple s'insurger pour se priver tout à la fois
de l'ordre et de la liberté.
Français, ce journal sera encore pour la Ré-
publique, car nous laissons aux rêveurs l'espoir
de la paix perpétuelle et aux ignorants des af-
faires européennes la confiance de relever la
France dans le monde avec l'aide et l'appui
d'alliances princières. L'Europe monarchique
subit la domination de la Prusse. Le titre d'em-
pereur d'Allemagne ne satisfait point l'ambition
de Guillaume et de Bismarck. Dep jis Pékin jus-
qu'à Stamboul, il y a plusieurs empereurs. Puis,
ce titre d'empereur a infiniment peidu de son
prestige depuis que Soulouque, Théodoros, Maxi-.
milien et autres ont porté la couronne impériale
M. de Bismarck veut asservir l'Europe, et son
rêve, son idée-maîtresse, c'est la création d'un
troisième empire romain. Le chancelier de
Guillaume l'a ait : « Je conduirai le Roi à Rome
et je le ferai couronner là. » Or, malgré nos dé-
faites, c'est encore la France qui fera obstacle à
la réalisation de ce plan. On médite donc de sup-
primer la France. Pour la supprimer, notre im-
placable contempteur se sert de la maison de
Savoie, la plus vaillante, mais aussi la plus am-
bitieuse et la moins scrupuleuse de toutes les
maisons régnantes d'Europe. Le gouvernement
italien projette de chasser la France de la Mé-
diterranée en s'emparant de la régence de
Tunis et en nous obligeant, de là, à abandonner
l'Algérie.
Un publiciste célèbre, qui s'inspire à la Cour
de Florence, vient de déclarer que la France de-
vra bientôt devenir la Pologne de l'Ocident, et
que ce n'est qu'à cette condition que le Royaume
d'Italie peut subsister. » Eh bien ! par la Répu
blique, essence du droit et de la justice, nous
prévaudrons contre les desseins de nos ennemis.
Rentrée dans son génie traditionnel, national,
puissant par l'organisation et l'originalité, la
France sera pour l'Kurope le contre-poison, l'an-
tidote de la féodalité oppressive et conquérante
qui régne aujourd'hui avec la Prusse et par la
Prusse sur le monde. République, libre, calme,
laborieuse, industrielle, industrieuse, prospère,
résumant et réalisant les aspirations de la dé-
mocratie moderne, la France sera recherchée
par tous les peuples, et même par quelques sou-
verains. Le Czar de Russie, allié déjà de la Ré-
publique américaine, préférera s'allier k une
grande république française plutôt qu'à un roi
éphémère ou à un empereur avili.
Financier, ce journal sera encore, sera toujours
pour la République, car, dans la situation qui est
faite à la France, l'intérêt financier prime tout
le reste. La fortune publique et la fortune privée
sont à refaire. Il d'y a plus de riches. Mais le
pays de France reste toujours le plus fécond, le
mieux doué, celui qui recèle le plus de trésors.
Il faut seulement aborder avec décision les
grandes questions de travail et de crédit qui in-
téressent le développement de la production. La
question sociale est intacte. On se peut la sup-
primer ni l'éluder. Le premier ministre de l'An-
gleterre, M. Gladstone a appelé le dix-neuvième
siècle le siècle des ouvriers. Mais il est néces-
saire et juste de concilier, par un nouveau sys-
tème d'impôts et par l'organisation de l'associa-
tion et de la mutualité, les besoins des ouvriers
avec les principes essentiels de la société. On
n'aura pas encore vu un journal financier Di plus
complet ni plus investigateur que le Républicain.
Il publiera la cote officielle de la Bourse, il sera
le meilleur conseiller des placements sûrs; il
donnera les motifs de la hausse et de la baisse
des valeurs et publiera la liste de tous les ti-
rages.
Le public français aime à lire beaucoup pour
se distraire.
Le journal Le Républicain donnera un grand
soin à la partie littéraire. Il publiera des articles
de critique, des récits de voyages et des romans
choisis et émouvants. Le premier roman dont
Le Républicain commencera lapublicatioa, dès le
31 octobre, sera une œuvre importante et drama-
tique :
LE SPECTRE DES TUILERIES
Nous rappelons à nos lecteurs les publications
de la maison Cadort et Luce, 58, rue Neuve-des-
M&thurins : Paris incendie, Souvenirs artistiques
du Siège de Paris. Paris pendant le Siège, Pari- et
ses avant-postes, et Saint-Cloud brûlé, de MM. Mar-
tial et Maxime Lalanne.
Nous ne saurions trop recommander ces belles
œuvres, qui appartiennent à l'histoire. Ces gra-
vures, que nous serrons soigneusement dans
nos collections, acquerront plus tard un prix
inestimable. La postérité les appellera en témoi-
gnage, et elles déposeront dans le procès que
l'avenir fera à l'Empire au sujet de la guerre de
18"Î0. Nos petits-fils chercheront dans chacune
de ces planches, pour ainsi dire souffertes, les
traces de nos douleurs, le secret de notre héroïs-
me, le mystère de notre défaite. Sous la plume
et sous la pointe de cet habile artiste qui s'ap-
pelle Martial, ils suivront heure par heure cette
lente agonie d'un grand peuple qui n'a peut-être
été, destiné à la mort que pour revivre épuré,
éclairé, régénéré.
MALADES ou BLESSÉS
soulagés par lits et fauteuils
mécaniques. Vente et loc.
Dupont et Fillard, suce, de
Celle, rue Serpente, 1«.
GRANDE FABRIQUE »E FOURRURES
Fondée eu 1804
Maison (i. ItO\HB4R. 5G, nie d'Aboutir
UN ASSORTIMENT DE
DEUX MILLIONS DE FOURRURES
sera mis en vente à partir de ce jour dans les
Magasins de gros, rue d'Aboukir, 5(i, à Paris.
I ufférence comme prix et qualité de 40 0/0 avec
le détail.
Rotondes de soie, paletots de dames as-
trakan, doublés soie, à................ 'îSfr.
Paletots de chasse ségoviens imperméa-
bles, à................................ 45 fr.
Manchons, garnitures de manteaux, boaw et
cravates.
Expédition en province contre mandat de poste
au-dessus de 25 fr. franco port.
56, rue d'Aboukir, au S110.
Y'irrt nii Ç;i]Y[ft Maladie de la peau, des
î H.li.i UU îl l \\i voies urinaires et des or-
ganes internes, cancers, épilepsies, asthmes, etc.
aY VI' |> 1 ||l les honoraires qu'après guérison,
il ilJj I R<>bi>e, médecin homreopathe, r.
d'Amsterdam, 42, de 3 à 5 heures. (Affranchir.)
ACHÈTE tes DIAMANTS „ BIJOLX
et paie l'argenterie plus cher que la monnaie
BRUNSWICK, orfèvre-bijoutier, 30, pass. Colbert.
LA CAISSE DE PRÊTS SIR TITRES
8, rue Neuve-Saint.Augustin,
Avance sur toutes valeurs cotées, reçoit les or-
dres de Bourse au comptant et à" terme.
le MONITEUR des FONDS PUBLICS
et des Valeurs industrielles (3eannée), paraît
le jeudi. 16 pages de texte. 6 f. par an en mandat
ou timb.-poste, ad. au dr, 8, r. Ne-Saint-Augu.stin.
VINS ET SPIRITUEUX
I.Oï'IS VESîlïOJS
Propriétaire à Bourg (Gironde), 25, rue Molière
Vins d'office à CO, 70 et 80 centimes le litre.
Dépôt des vins des côtes du Rhône
de MM. l. Deloche et Ce, propriétaires au coteau
de l'Hermitage, a Tain.