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De la T he'orie, -iÿ
ours venons de parler; quoiqu’il soit impossible
lr ci à un Homme de les posséder générale»
Ta ment toutes, en quelque espèce de Peinture
[t dt que ce puisTe être. 11 y a même dans les
Art Grotesques une certaine Diférence, il y a
p’fi une Grâce & une Grandeur, qui leur efl
dél propre , que les uns ont mieux posîédées
a n que les autres. Le Feintre en Hifioire esl
ieiir souvent obligé de peindre toutes ces sortes
M de Sujets, dont la plupart font aussi quelque-
là fois Focupation du Feintre en Fortran,
M Mais, outre qu’alors ils peuvent emprun-
mmt ter une main étrangère, les Sujets les moins
làr. essentiels sont, encomparaison de leurs Fi-
> à gures,ce que sont celles d’un Fayjage, qui
s et ne demandent pas Une grande Exaétitude,
n & où l’on ne s’en pique pas.
pats II esl hors de doute, que Y Italie a four-
ni les meilleures Peintures modernes,sur-
îtiè tout dans les genres les plus excellens;qu-
irve- elle a posfédé cet Art, pour ainsi dire,
dan seule, pendant qu’aucune autre Nation du
île Monde, n’en avoit pas seulement une mé-
: 4 diocre connoisîance ; & que, par consé-
iois quent, c’en a été la grande Ecole. 11 y a
silj environ cent ans, qu’on a vu d’excellens
)iri‘ Peintres en Flandres, mais dès que Van-
titt Dyck passa ici, il y aporta la Peinture en
a Fortran ; & depuis ce tems-là, c’est-à-di-
re, depuis plus de quatre-vingts ans, Y An-
utes gleterre l’a emporté sur tout le resie du
0us Monde, dans cette Partie considérable de
ve* l’Art.
 
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