t?6 Discours sur la Sîence
ceux qui seront plus capables d’en juger, que
moi.
Une autre Partie de l’Histoire, également
digne de l’Atention d'un Homme de Qua-
lité , & nécdîaire à un Connoiffeur , elt
celle qui traite des Vies des Maîtres, en
particulier. Lors qu’on réfléchit sur les vi-
goureuses sorties que quelques-uns de no-
tre Espèce ont flûtes, par îesqueîles ils se
font, pour ainsi dire , alliés à cet Ordre
d’Etres qui est immédiatement au-desliisde
nous ; on doit naturellement souhaiter, de
voir une Relation plus exadedetousles pas
qu’ils ont faits, vers une Dittindion ausli
glorieuse que celle-là. L’avantage qui nous
en reviendra , sera de nous donner de l’E-
mulation , à faire quelque chose qui nous
dislingue avec honneur, & qui mette notre
mémoire en bonne odeur , auprès de la
Poslérité.
Comme, en lisant les Vies des grands
Capitaines, & des habiles Politiques, nous
aprenons l’Histoire de leurs tems ,ausîi bien
que celle de leur Nation & de leurs Voi-
sins; & qu’en lisant celle des Philosophes,
& des Théologiens, nous voïons en quel
état étoit la Sience & la Religion -, de
même , dans les Vies des Peintres, nous
aprenons l’Histoire de l’Art. Je croi, qu’il
y a eu autant de Relations de ces grands
Hommes, qui ont tant fait d’honneur à- la
Nature Humaine , & la plupart aussi-bien
écrites,
écrit
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ceux qui seront plus capables d’en juger, que
moi.
Une autre Partie de l’Histoire, également
digne de l’Atention d'un Homme de Qua-
lité , & nécdîaire à un Connoiffeur , elt
celle qui traite des Vies des Maîtres, en
particulier. Lors qu’on réfléchit sur les vi-
goureuses sorties que quelques-uns de no-
tre Espèce ont flûtes, par îesqueîles ils se
font, pour ainsi dire , alliés à cet Ordre
d’Etres qui est immédiatement au-desliisde
nous ; on doit naturellement souhaiter, de
voir une Relation plus exadedetousles pas
qu’ils ont faits, vers une Dittindion ausli
glorieuse que celle-là. L’avantage qui nous
en reviendra , sera de nous donner de l’E-
mulation , à faire quelque chose qui nous
dislingue avec honneur, & qui mette notre
mémoire en bonne odeur , auprès de la
Poslérité.
Comme, en lisant les Vies des grands
Capitaines, & des habiles Politiques, nous
aprenons l’Histoire de leurs tems ,ausîi bien
que celle de leur Nation & de leurs Voi-
sins; & qu’en lisant celle des Philosophes,
& des Théologiens, nous voïons en quel
état étoit la Sience & la Religion -, de
même , dans les Vies des Peintres, nous
aprenons l’Histoire de l’Art. Je croi, qu’il
y a eu autant de Relations de ces grands
Hommes, qui ont tant fait d’honneur à- la
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