DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.27080#0859
ADDENDA. 75*3
,, dre de la force & de l’ordre requis.
„ Mais ce qui me mortifie davantage,
„ c’est que je me trouve obligé de
„ m’éloigner quelquefois de votre opi-
„ nion , pour ce qui regarde le but
„ que Raphaël a eu dans ce Ta-
„ bleau. Une seule chose me conso-
„ le , c’est que je suis très-persuadé,
„ Meilleurs, par les fréquentes preu-
„ ves que m’en a fournies notre agréa-
„ ble commerce de Lettres, pendant
„ qu’on travailloit à l’Edition Fran-
„ çoije de Vos Ouvrages sur la Pein-
„ ture, je suis, dis-je , très-persuadé,
„ que vous êtes trop généreux pour avoir
„ jamais souhaité que je vous déclaras-
„ se mes sentimens, que d’une maniè-
„ re libre & sincère. Vous conve-
„ nez, avec moi, que l’Art,dont nous
„ traitons, jouît parfaitement de cet
„ avantage , d’aiileurs si rare en plu-
„ sieurs autres choses : Sent ire quæ
„ velis , & quœ fentias , dïcere lie et.
„ C’est aussi de cette manière que j’ai
,, l’honneur de m’expliquer , en sou-
„ mettant cependant mon opinion par-
„ ticulière à vos savantes corrections,
9, par-tout où vous trouverez, que je me
„ suis trompé, puisque je ne propole ma
„ pensée que par un véritable désir de
,, m’instruire. C’est dequçu je vous
Tom. III, B b b „ prie
,, dre de la force & de l’ordre requis.
„ Mais ce qui me mortifie davantage,
„ c’est que je me trouve obligé de
„ m’éloigner quelquefois de votre opi-
„ nion , pour ce qui regarde le but
„ que Raphaël a eu dans ce Ta-
„ bleau. Une seule chose me conso-
„ le , c’est que je suis très-persuadé,
„ Meilleurs, par les fréquentes preu-
„ ves que m’en a fournies notre agréa-
„ ble commerce de Lettres, pendant
„ qu’on travailloit à l’Edition Fran-
„ çoije de Vos Ouvrages sur la Pein-
„ ture, je suis, dis-je , très-persuadé,
„ que vous êtes trop généreux pour avoir
„ jamais souhaité que je vous déclaras-
„ se mes sentimens, que d’une maniè-
„ re libre & sincère. Vous conve-
„ nez, avec moi, que l’Art,dont nous
„ traitons, jouît parfaitement de cet
„ avantage , d’aiileurs si rare en plu-
„ sieurs autres choses : Sent ire quæ
„ velis , & quœ fentias , dïcere lie et.
„ C’est aussi de cette manière que j’ai
,, l’honneur de m’expliquer , en sou-
„ mettant cependant mon opinion par-
„ ticulière à vos savantes corrections,
9, par-tout où vous trouverez, que je me
„ suis trompé, puisque je ne propole ma
„ pensée que par un véritable désir de
,, m’instruire. C’est dequçu je vous
Tom. III, B b b „ prie