Les G-a,îtés de la, Rampe
La Belle Épicière, aux Bouffes, a pris livraison de la part de la
presque unanimité de la critique, de plus de vinaigre que miel.
Ce n est ni la faute de Mme Simon Girard, qui a tout ce qu'il faut
pour faire une très belle épicière, ni de M. Varney, qui connaît
tous les assaisonnements musicaux convenables pour une opérette.
Mais voilà, on trouve décidément que l'opérette elle-même est un
peu rance, et qu'il serait temps de renouveler le stock d'intrigues
et de plaisanteries. Ce n'est pas nous qui nous y opposerons, cer-
tainement. Et si les auteurs désirent, comme le cliché veut que le
fassent deux hommes d'esprit, prendre leur revanche, fasse le
Ciel que ce soit
avec autre chose
qu'une opérette.
A laGaitéjUne opé-
rette luxueusement
montée, Panurge.
Puis une pièce
montée... avec
beaucoup de luxe,
paraît-il, par les di-
recteurs du Vau-
deville , tellement
occupés à se gober,
qu'ils n'ont pas le
temps d'être polis
avec ces faquins de
journalistes. Nous
aurions eu plaisir à
parler des Viveurs, j ; £ë£^^L^^^^jk"^- • • .
de notre ami Lave- '\ ' " ~
dan, de qui nous ï /WÊy%W
aimons l'esprit et / jéÊrWm
même à discuter y [Mi Jjj||
peut-être certaines ____;Éj|L âÊÈ/ -__
critiques qui ne lui ^"T WS^Ê^M^gS'
ont pas été ména- 'tsbMWqgggp1'
gées. Mais la direc- —=—«__
tion du Vaudeville Le Peuple. — Ah fichtre ! Et le vm, donc
ayant volontaire-
— Tiens! c'est rigolol... une colonne Morris qui ment négligé le Rire, nous sommes forcés de rire d'autre chose, et les sujets ne man-
jn regarde une autre. quent pas. M. de M. R.
INTÉRIEUR D'UNE FAMILLE D'ACROBATES Dessin de B. Rabier.
La Belle Épicière, aux Bouffes, a pris livraison de la part de la
presque unanimité de la critique, de plus de vinaigre que miel.
Ce n est ni la faute de Mme Simon Girard, qui a tout ce qu'il faut
pour faire une très belle épicière, ni de M. Varney, qui connaît
tous les assaisonnements musicaux convenables pour une opérette.
Mais voilà, on trouve décidément que l'opérette elle-même est un
peu rance, et qu'il serait temps de renouveler le stock d'intrigues
et de plaisanteries. Ce n'est pas nous qui nous y opposerons, cer-
tainement. Et si les auteurs désirent, comme le cliché veut que le
fassent deux hommes d'esprit, prendre leur revanche, fasse le
Ciel que ce soit
avec autre chose
qu'une opérette.
A laGaitéjUne opé-
rette luxueusement
montée, Panurge.
Puis une pièce
montée... avec
beaucoup de luxe,
paraît-il, par les di-
recteurs du Vau-
deville , tellement
occupés à se gober,
qu'ils n'ont pas le
temps d'être polis
avec ces faquins de
journalistes. Nous
aurions eu plaisir à
parler des Viveurs, j ; £ë£^^L^^^^jk"^- • • .
de notre ami Lave- '\ ' " ~
dan, de qui nous ï /WÊy%W
aimons l'esprit et / jéÊrWm
même à discuter y [Mi Jjj||
peut-être certaines ____;Éj|L âÊÈ/ -__
critiques qui ne lui ^"T WS^Ê^M^gS'
ont pas été ména- 'tsbMWqgggp1'
gées. Mais la direc- —=—«__
tion du Vaudeville Le Peuple. — Ah fichtre ! Et le vm, donc
ayant volontaire-
— Tiens! c'est rigolol... une colonne Morris qui ment négligé le Rire, nous sommes forcés de rire d'autre chose, et les sujets ne man-
jn regarde une autre. quent pas. M. de M. R.
INTÉRIEUR D'UNE FAMILLE D'ACROBATES Dessin de B. Rabier.