Le rire: journal humoristique (5.1898-1899 (Nr. 209-260))

fois par jour ,aux

1.. Înnm. HnnR

lois peu Ju'';^anS

Madame Tapautôjir, consierge;^^papautoW'trouva le moyen de se
sollicitations des chanteurs de coup. Madame i
Cette ennuyeuse besogne par un lapin.

NOTRE SAISIE

ln certain nombre de
Confrères étrangers s’étant
mépris, — avec bonne foi,
espérons-le, — sur l’aven-
ture survenue au numéro
du Rire consacré à la
Tournée Guillaume II,
nous tenons à bien préci-
ser ce qui s’est, passé à
ce sujet, — ou du moins
ce que nous en savons, —
en attendant que la récla-
mation que nous adres-
sons au Ministre de la
Justice, nous fixe définiti-
vement .

Nous avons appris par
une note parue simulta-
nément dans la Liberté
et dans les Débats du
94 fintob.i« -1 -« "''o

ne gagnerait-elle pas à être conduite aux sa-
medis classiques de l’Odéon ! Do même les
habitants de Pantin à l’Opéra. Mais surtout,
Monsieur, réfléchissez aux avantages que
pourrait rendre l’omnibus do la Porte-Saint-
Martin. S’arrêtant à l’Ecole militaire, on le
remplirdit de jeunes gens enclins aux actions
guerrières, et ce serait ainsi une pépinière
d’officiers. Puis, leurs études terminées,
quand ils auraient conquis l’épaulette, on les
conduirait rue Taitbout, et de là, par le tram-
way, à la Muette.

« Oh! la Muette! la Muette! la grande
Muette!... Honneur!... Patrie!... Armée!...
Drapeau! >•

Et le vieillard laissa retomber sa tète sur

ses genoux.

11 était mort.

Et je m’en lus (prière do no pas ajouter un
o) tout rêveur, mais
un peu effrayé par ce
que m’avait dit cet
homme étrange. J’en-
viais la douce sécurité
des gens qui habitent
Asnières ou Bois-Co-
lombes, et qui ne font
que traverser Paris
pour se rendre à Vil--
leneuve-Saint-Geor-
ges ou à Corbeil.Ceux-
là, l’omnibus les prend
à l’arrivée de la gare
Saint-Lazare, et les
dépose précieusement
au départ de la gare
de Lyon.

« dans les Débats du ' ,

-4 octobre, « qu’à la requête de 1 ambassade
magne, le parquet faisait saisir le Dire »• .

. Or, nous avons vainement attendu pendant P ^
Jours la notification de cette saisie, et au‘ W" on
1 réfet de police, comme au Ministère de 1 ln >

nous a déclaré qu’il n’y avait pas de saisie. . jJ

1 ambassade d’Allemagne affirmait n avon

, Alors? comment se fait-il que dans quelques kiosque ,

a Paris, dans certaines villes de la banlieu ( ,

par exemple), delà province (Lyon par <«emple) ue^
saisies aient eu lieu? Sur quel ordre? Sur fr’nboi-d
fiui? Ou le Rire était saisi et il devint i être d abora
cl'cz l’éditeur; ou il ne l’était pas et il nc ' ! , ,j0 [a

nulle part. 11 est vraisemblable que le parq
Seine, trop zélé, a voulu faire saisir de lui-mune, sa ^
aucune sollicitation de M. de Munster, et que le M
lère à qui il on a rendu compte, a fait annu ,
trop tard, l’ordre donné. ..mires

Le résultat : cent vingt-cinq mille e P
vendus; mais, nous tenons à répéter dune, , ja
tnelle -, 1° que seuls les vendeurs ont P , ,.

tnajoration ™n„mn dn nvix des numéros, qu un ceii.

Ça suffit...

Lord Cheminot.

Maintenant la maison est tranquille et madame Tapautour très contente des services de son
lapin 1 Dessin do B. Habier.

" ’ veillants. Ce sont là procédés dont nous n’avons pas

coutume d’user. Le Rire.

> llltt*5j iiuua tcuuuo « -

mai ' fiuc seuls les vendeurs ont profité de la

nml?*’0,? énorme du prix des numéros, qu’un certain donnée nar nous dans un but de ré-

alorùJle v enlro l’ux continuaient à se déclarer saisis, n a p ® pont insinué quelques confrères mal

alors qu’ils savaient ne l’Être pas; 2- que la nouvelle clame,comme lont insinue t i

HISTOIRE DUN PORTRAIT, par G. Wendt.