Dessin de Delaw.
Nos bons chauvins approuveront l’outrance.
Ah! ce jour-là, le plus indifférent,
En apprenant que le Kaiser se rend
Et que la peur au ventre l’éperonne,
S’exclamera, délirant et vibrant :
Il n’est qu’un mot, c’est le mot de Cambronne !
Dans ton estime, hélas ! mais je suis franc ;
De l’Élysée au faubourg de Charonne,
En ce Paris, pour les gens de tout rang,
Il n’est qu’un mot, c’est le mot de Cambronne.
Georges Docquois.
— Comment qu’ils s’appellent tous ces soldats-là, papa?
— Mais... ce sont les soldats du « train », sans doute, mon enfant.
Nos bons chauvins approuveront l’outrance.
Ah! ce jour-là, le plus indifférent,
En apprenant que le Kaiser se rend
Et que la peur au ventre l’éperonne,
S’exclamera, délirant et vibrant :
Il n’est qu’un mot, c’est le mot de Cambronne !
Dans ton estime, hélas ! mais je suis franc ;
De l’Élysée au faubourg de Charonne,
En ce Paris, pour les gens de tout rang,
Il n’est qu’un mot, c’est le mot de Cambronne.
Georges Docquois.
— Comment qu’ils s’appellent tous ces soldats-là, papa?
— Mais... ce sont les soldats du « train », sans doute, mon enfant.