! UU1 iu,3, nue nui ictcumu ie perruquier aes zouaves, quand c’est que
Napoléon III a voulu faire plaisir à la reine d’Angleterre, il lui z’y a envoyé
pour la voir le maréchal Pélissier (s’il vous plaît). La reine elle était dessus
son trône, n’avec, à côté d’elle, le Prince qu’on sort dans les grandes cir-
constances.
Pour « le frichti » il y a rien devbon : il y avait un pâté et un jambonneau
et puis l’reste du lapin de la veille. Le Maréchal, qui s’est pas épaté du tout,
a dit comme ça :
« Majesté, même dans les musées de Sires, j’ai jamais rien vu de plus
beau z’à la foire au pain d’épices ! ! ! » Dessin de Tiret-Bognet,
— Je voudrais bien savoir quel était ce jeune
homme. (Faust.)
les airs célèbres
Elle ne croyait pas dans sa candeur naïve... —Je regardais en l’air...
(Mignon.) (Les Cloches de Cornecille<)
Dessin de Métivet.
Napoléon III a voulu faire plaisir à la reine d’Angleterre, il lui z’y a envoyé
pour la voir le maréchal Pélissier (s’il vous plaît). La reine elle était dessus
son trône, n’avec, à côté d’elle, le Prince qu’on sort dans les grandes cir-
constances.
Pour « le frichti » il y a rien devbon : il y avait un pâté et un jambonneau
et puis l’reste du lapin de la veille. Le Maréchal, qui s’est pas épaté du tout,
a dit comme ça :
« Majesté, même dans les musées de Sires, j’ai jamais rien vu de plus
beau z’à la foire au pain d’épices ! ! ! » Dessin de Tiret-Bognet,
— Je voudrais bien savoir quel était ce jeune
homme. (Faust.)
les airs célèbres
Elle ne croyait pas dans sa candeur naïve... —Je regardais en l’air...
(Mignon.) (Les Cloches de Cornecille<)
Dessin de Métivet.